26 pays s'engagent pour la sécurité de l'UkraineFrançois Bayrou dans le 20 heures de France 2, Bruno Retailleau prépare le 10 septembre, Tsahal contrôle 40% de Gaza, Israël ne souhaite pas la venue d'Emmanuel Macron.
26 pays s'engagent pour la sécurité de l'UkraineDans le cadre de la "Coalition des volontaires", 26 pays en soutien à Kiev "se sont engagés à déployer, comme force de réassurance, des troupes en Ukraine, sur le sol, en mer ou dans les airs, le jour d'après le cessez-le-feu" avec la Russie, a déclaré Emmanuel Macron, à l'issue d'une réunion hybride des pays membres de la coalition à Paris. À ses côtés, le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, a salué cet engagement pris par plus de vingt Etats alliés. Les membres de "la Coalition des volontaires" se sont également entretenus par téléphone avec le président américain. "Nous allons finaliser dans les prochains jours le soutien américain à ces garanties de sécurité", a assuré Emmanuel Macron à l'issue de cet échange. François Bayrou dans le 20 heures de France 2À quatre jours du vote de confiance à l'Assemblée nationale, le Premier ministre était l'invité de Léa Salamé dans le JT de 20 heures de France 2. Les oppositions, dont le Parti socialiste, ont déjà annoncé qu'elles ne voteraient pas la confiance sur l'urgence à résorber la dette. En cas de chute de son gouvernement, François Bayrou ne croit pas que de nouvelles élections législatives constituent une issue politique. "Une dissolution, ça ne résout absolument rien", insiste-t-il. Multipliant les consultations avec les représentants politiques, il a assuré que plusieurs partis, dont le PS et le RN, sont d'accord sur le constat de la situation budgétaire. Le Premier ministre ne se dit par ailleurs pas inquiet au sujet de la journée de blocage du 10 septembre. Bruno Retailleau face au mouvement "Bloquons tout"Dans un télégramme adressé à tous les préfets, Bruno Retailleau leur demande d'entraver "toute tentative de blocage des infrastructures essentielles" lors de la mobilisation du 10 septembre. Les forces de l'ordre devront intervenir sur tous les fronts, "gares, ports, aéroports, transports en commun, axes routiers structurants, les dépôts pétroliers, plateformes logistiques, les centrales électriques, les usines d'incinération de déchets ou les sites de traitement des eaux, ainsi que les principaux centres d'approvisionnement du pays". Les instructions du ministre s'appliquent aussi aux "établissements d'enseignement, notamment universitaires ou secondaires". Le ministre tient également à ce que les institutions de la République fassent l'objet "d'une sécurisation statique" dès que les préfets estimeront "que le niveau de la menace le justifie". L'attention des forces de l'ordre doit aussi se porter sur "la dimension symbolique de certains équipements publics, tels que les radars routiers, ou de certains sites susceptibles d'incarner le capitalisme". L'armée israélienne affirme avoir pris le contrôle de 40% de la ville de GazaLe porte-parole de l'armée israélienne, Effie Defrin, a déclaré que les troupes israéliennes contrôlaient 40% de Gaza-ville, dans une déclaration télévisée, alors qu'Israël a annoncé vouloir s'emparer de la ville. "Aujourd'hui, nous contrôlons 40% du territoire de Gaza-ville. L'opération va se poursuivre et s'intensifier dans les prochains jours", a dit Effie Defrin. L'armée israélienne, qui contrôle aujourd'hui environ 75% de la bande de Gaza, dit préparer une offensive pour s'emparer de la ville située dans le nord, qu'elle présente comme le dernier grand bastion du Hamas dans le territoire palestinien. Selon les estimations de l'ONU, près d'un million de personnes vivent dans Gaza-ville. Des milliers de Palestiniens ont fui la ville ces dernières semaines. Israël ne souhaite pas la venue d'Emmanuel MacronLe ministre des Affaires étrangères israélien, Gideon Saar, a affirmé qu'une visite du président Emmanuel Macron en Israël n'était pas à l'ordre du jour tant qu'il ne reviendrait pas sur sa décision de reconnaître un Etat palestinien. "Macron tente d'intervenir de l'extérieur dans un conflit auquel il n'est pas partie, d'une manière complètement déconnectée de la réalité sur le terrain après le 7 octobre", a également écrit le chef de la diplomatie israélienne dans un message publié sur X. Israël considère que reconnaître un Etat palestinien revient à accorder "une récompense au Hamas", quand Emmanuel Macron affiche l'objectif de "rassembler la plus large contribution internationale à la solution à deux Etats, seule à même de répondre aux aspirations légitimes des Israéliens et des Palestiniens". Spéciale 10 septembre avec plusieurs invités du Monde ModerneLa revue de presse de ce vendredi 5 septembre |
Albert Einstein a dit : le monde est dangereux à vivre, Non pas à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire
vendredi 5 septembre 2025
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