Ce 1er mai, le peuple s'est levé !
Les actualités de la France insoumise
Les manifestations du 1er mai ont été de véritables succès populaires et ont rassemblé des centaines de milliers de personnes partout en France et à l'étranger !
Face à la guerre sociale menée par Macron et son gouvernement, les insoumis·es ont répondu présent·es pour défendre les droits des travailleur·ses, de pouvoir vivre dignement de son salaire et le retour de la retraite à 60 ans.
Face à l'hécatombe des suppressions d'emplois, nous étions notamment aux côtés des salarié·es en lutte d'ArcelorMittal pour obtenir la nationalisation des hauts fourneaux de Dunkerque et empêcher la fermeture des sites.
Face au génocide à Gaza, les insoumis·es étaient mobilisé·es pour la paix et la solidarité internationale avec les peuples du monde entier.
Face à l'offensive de l'extrême droite, nous étions également mobilisé·es pour un 1er mai antiraciste. L'unité du peuple est notre force. Nous avons marché pour faire vivre l'universalisme humaniste.
Ce 1er mai, le peuple s'est levé. La lutte continue et vous pouvez compter sur les insoumis·es pour organiser la riposte populaire !
Les prochains grands événements
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Vendredi 16 mai, Loïc Prud'homme, Mathilde Feld, Nadège Abomangoli et Pierre-Yves Cadalen seront en meeting à Bordeaux pour la 6e République et la paix.
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Matériel militant
Le nouveau tract « Le capitalisme détruit, la France insoumise répare » est disponible sur le site matériel d'Action populaire. Commandez-le dès maintenant !
La note de blog de la semaine
À l'occasion d'une grande messe organisée par François Bayrou la semaine dernière, le gouvernement a fait feu de tout bois pour préparer les esprits à un nouveau carnage social pour le budget 2026. Retrouvez l'analyse de Manuel Bompard dans sa dernière note de blog, Matraquage social en bande organisée.
Lire la note de blog →
Solidarité avec les femmes polonaises
Dans un contexte d'offensive réactionnaire contre les droits des femmes en Pologne, Mathilde Panot et Manon Aubry se sont rendues sur place pour témoigner leur solidarité et ont apporté des pilules abortives et des contraceptifs d'urgence. En Pologne, des femmes meurent chaque année faute d'avoir accès à un avortement légal et sûr. Face à l'extrême droite, la sororité sauve des vies !
L'actualité de l'Institut La Boétie
Les articles de L'Insoumission
Les vidéos de la semaine
Albert Einstein a dit : le monde est dangereux à vivre, Non pas à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire
dimanche 4 mai 2025
Fwd: Ce 1er mai, le peuple s’est levé !
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9 commentaires:
SIC, SIC, SIC !!!
ARRÊTEZ LE GAZ, LA CAFETIÈRE DE LOLO ATTEINT L'ÉBULLITION !
«Il règne dans notre pays une forme de privilège rouge : une tolérance médiatique et politique coupable vis-à-vis des dérives de l’extrême gauche et de ses accointances avec les islamistes.»
(…)
https://www.lefigaro.fr/actualite-france/laurent-wauquiez-propose-la-creation-d-une-commission-d-enquete-sur-les-liens-entre-lfi-et-les-reseaux-islamistes-20250503
Shoah.<< A quoi penserai-je quand
retentira la sirène>>
"Chaque année, le 27e jour du mois de Nissan, Israël commémore le Jour de la Shoah. Pendant une minute une sirène retentit et tout s'arrête dans le pays. À l'occasion de cette journée,
Gideon Levy, membre de la direction du journal !sraélien Haaretz, a écrit sur sa colère concernant la guerre contre Gaza dans une chronique parue le 23 avril 2025, veille de la
commémoration.
Nous la publions ici.
Publié dans Haaretz, sous le titre original « My Thoughts During the Siren » et publié le 23 avril 2025
"Israël ne commet pas une Shoah contre le peuple palestinien. Pourtant, ces 19 derniers mois, il
s'en est rapproché à une vitesse effrayante. Cela doit être dit, et avec encore plus d'insistance aujourd'hui.
Comme chaque année,je me tiendrai au garde-à-vous lorsque la sirène retentira, et mes pensées erreront. Elles passeront du souvenir de mes grands-parents, Sophie et Hugo, dont j'ai vu les noms gravés sur le mur commémoratif du vieux cimetière juif de Prague, aux images de Gaza., qui ne me quitteront plus.
Depuis mon enfance, j'ai toujours imaginé un grand incendie
consumant tout pendant la
sirène. Avant la guerre à Gaza, j'imaginais des juifs y brûler. Cette année, je reverrai aussi les bébés brûlés vifs la semaine dernière dans leur tente servant d'abri à Khan Younès, et avec eux les milliers d'enfants, de femmes et d'hommes qu'Israël a tués sans pitié.
L'EXECUTION DE QUINZE SECOURISTES PALESTINIENS
Comment peut-on rester au garde-à-vous aujourd'hui sans penser à l'horrible enquête de Yaniv Kubovich sur l'exécution de 15 secouristes palestiniens par des soldats israéliens, qui les ont abattus de sang-froid avant de détruire leurs ambulances et d'enterrer leurs corps dans le sable ? Sans penser à l'habitant de Sinjil, en Cisjordanie, dont les maisons ont été incendiées par des colons, après quoi des soldats sont venus lui lancer des gaz lacrymogènes jusqu'à ce qu'il succombe à une crise cardiaque, comme l'a rapporté Hagar Shezaf mercredi [22 avrilJI. Sans penser à la communauté pastorale d'Umm al-Khair, dans les collines au sud
d'Hébron, et aux pogroms incessants que ces paisibles habitants subissent de la part de l'armée et des colons, qui ont uni leurs forces pour les expulser de leurs terres?
Comment ne pas penser à l'article courageux et choquant de la chercheuse Orit Kamir
[Haaretz, version hébraïque, 22 avril] sur les Israéliens qui restent indifférents face à cette guerre, ce qui, selon elle, invalide leur droit de se plaindre des Allemands qui ont agi de la même manière, et être d'accord avec chaque mot qu'elle a écrit? Ou à l'article non moins choquant de l'historien de la Shoah Daniel Blatman sur les enfants de Gaza et les enfants de l'Holocauste [Haaretz, version hébraîque, 23 avril] ? Il écrit que le jour où les combats ont
repns à Gaza restera gravé comme une infamie dans l'histoire des juifs. On ne peut qu'espérer que ce sera bien le cas. "
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Blatman écrit :
"J'étudie l'Holocauste depuis 40 ans. J'ai lu d'innombrables témoignages sur le pire de tous les génocides, perpétrés contre le peuple juif et d'autres victimes. Cependant, la réalité, celle des récits de massacres commis par l'Etat juif, par leur ressemblance effrayante, me rappelle les témoignages des archives de Yad Vashem; cette réalité était impensable, même dans mes
pires cauchemars.
Il ne s'agit pas là d'une comparaison avec !'Holocauste, mais d'un terrible avertissement quant à la direction que prennent les événements. Ne pas y penser aujourd'hui revient à trahir la mémoire de la Shoah et de ses victimes. Ne pas penser à Gaza aujourd'hui revient à renoncer à sa propre humanité et à profaner la mémoire de l'Holocauste. C'est un signal d'alarme quant à ce qui est à venir.
En Israël, on a tendance à prétendre que le 7 octobre est la pire catastrophe qui ait frappé le
peuple juif depuis la Shoah. Il s'agit, bien sûr, d'une comparaison perverse qui dévalorise la mémoire de la Shoah. Il n'y a aucune similitude entre l'attentat meurtrier et unique du
7 octobre et la Shoah. Mais ce qui a suivi évoque bel et bien son souvenir. Il n'y a pas d'Auschwitz ni de Treblinka à Gaza, mais il y a des camps de concentration. Il y a aussi la famine, la soif, le déplacement des personnes d'un endroit à l'autre comme du bétail et un blocus sur les médicaments."
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« C'EST UN BAIN DE SANG, PAS UN COMBAT»
Ce n'est pas encore la Shoah, mais l'un de ses éléments fondateurs est en place depuis longtemps : la déshumanisation des victimes, qui s'était installée chez les nazis, frappe
désormais de plein fouet en Israël. Depuis la reprise de la guerre [le 23 mars 2025], 1 600 Palestiniens ont été tués à Gaza. C'est un bain de sang, pas un combat. Il se déroule non loin de chez nous, perpétré par les meilleurs de nos fils. Il advient dans le silence et l'indifférence nauséabonde de la plupart des Israéliens.
Ariel Rubinstein, économiste et lauréat du Prix Israël, a publié un article profond et inspirant
[dans Haaretz en version hébraïque, le 22 avril], dans lequel il explique pourquoi il ne se tiendra pas au garde-à-vous cette année pour la minute de commémoration. Moi, je me tiendrai debout et penserai à mes grands parents, mais surtout à Gaza."
Ersilia Soudais
@ErsiliaSoudais
"Nouvelle victoire judiciaire pour LFI !
Bruno Attal a été condamné en première instance des faits d’injure publique pour les propos suivants : « Si #LFI avait connu la cachette d’Anne Franck, elle n’aurait pas eu le temps d’écrire une seule ligne. #LFIAntisemite ». "
https://x.com/ErsiliaSoudais/status/1891534382201962536
*****
La "racaille culturiste" Attal...!
"Défenseur acharné de la police, le syndicaliste Bruno Attal a eu plusieurs vies. Flic de terrain, fondateur d'une application de rencontres gay et désormais youtubeur à succès, le fonctionnaire pourrait bientôt être rattrapé par son administration. Enquête.
C’était un simple policier anonyme il y a encore un an. Mais quelques mois ont suffi à Bruno Attal, physique de culturiste, chaîne dorée autour du cou sur tee-shirt noir, pour déborder sur Youtube les syndicats de police. Sur sa chaîne « Touche pas à mon flic », il dénonce les « racailles » et fait des clins d’œil à l’extrême droite en parlant des « chances pour la France », cette expression péjorative pour parler des immigrés sans les nommer.
Une recette déplaisante pour de nombreux flics mais gagnante en termes d’audience. Ce gardien de la paix compte désormais plusieurs dizaines de milliers d’abonnés sur plateforme vidéo. Soit dix fois plus par exemple qu’Unité SGP Police-Force Ouvrière, l’un des piliers du syndicalisme dans la police."
(…)
https://www.marianne.net/societe/police-et-justice/site-de-rencontre-et-droite-dure-bruno-attal-le-flic-youtubeur-et-touche-a-tout
⚡"Prise de parole de @CaronAymericoff suites aux révélations de Libe et Le Monde sur le « système LFI » | « J’entends beaucoup de choses sur la @franceinsoumise depuis quelques jours, et notamment sur les fameuses boucles internes.
Je veux juste témoigner d’une chose, en tant qu’élu apparenté FI et donc membre de ces boucles, et participant aux réunions.
Sur ces boucles, et ailleurs, je m’exprime en totale liberté depuis 3 ans, n’hésitant jamais à marquer mes désaccords sur tel ou tel point.
Cela ne m’a jamais été reproché et je n’ai jamais été à ce titre « excommunié » ou « harcelé », même quand je poussais des coups de gueule, ce qui m’est arrivé assez fréquemment.
C’est juste factuel. Signé Aymeric Caron ! Le reste n'est que mensonges à des fin de déstabiliser comme ils ont déjà essayé de faire La France insoumise."
POUR RAPPEL : « C'EST UN BAIN DE SANG, PAS UN COMBAT»...!
« Des enfants sont brûlés, écrasés, décapités »
"Pire : il a accusé « les complices » d’être « nombreux dans cet hémicycle ». Listant « ceux qui se rendent en Israël pour soutenir le gouvernement fasciste de Netanyahou, qui répandent la propagande de l’extrême droite ou qui reçoivent à Paris les ministres d’un État désormais voyou ».
Pendant les deux minutes au cours desquelles il a eu la parole, le député a expliqué que « tous les jours, des enfants palestiniens sont brûlés, écrasés, démembrés, décapités, abattus d’une balle dans la tête, amputés sans anesthésie, emprisonnés ». À la sortie de l’hémicycle, il a assuré devant plusieurs journalistes que ce happening surprise constitue « le minimum de ce qu’on peut faire pour les enfants palestiniens qui sont aujourd’hui complètement ignorés ».
Le 18 mars, l’armée israélienne a unilatéralement décidé de rompre le cessez-le-feu en bombardant la bande de Gaza, tuant plusieurs centaines de personnes. Alors que l’entrée de nourriture et de fournitures y est toujours impossible, Aymeric Caron accuse la France « d’enterrer le droit international »."
(…)
https://www.huffingtonpost.fr/politique/video/lfi-rend-hommage-aux-enfants-massacres-a-gaza-avec-ce-happening-a-l-assemblee_248566.html
GUEDJ ET LE PS VIRÉS DE MANIF = ANTISÉMITISME ? L'INCROYABLE MANIPULATION MÉDIATIQUE (ET POLITIQUE)
Le Média
https://youtu.be/aGuB0qpHCzk?si=FUpgu0G_F5sE-81c
Le 1er mai 2025, à Paris, ce ne sont pas les revendications sociales qui ont dominé l’actualité, mais une altercation entre des manifestants du cortège de tête et le stand du Parti Socialiste. Très vite, les chaînes d’information en continu se sont emparées de l’affaire, mettant en avant les images du député Jérôme Guedj exfiltré, tandis que des insultes "traitre" ou "vendu" - mais aussi "sale sioniste" et "génocidaire" fusaient sur son passage. Le PS parle de violences physiques, de bombes agricoles et d’agressions ciblées. Si Guedj lui-même reste flou sur la nature antisémite des attaques, les responsables socialistes, eux, n’ont pas hésité à présenter cette altercation comme un acte motivé par la judéité du député.
Pourtant, les vidéos disponibles et les témoignages sur place ne permettent pas de confirmer cette version avec certitude. Ce que l’affaire révèle en revanche, c’est le décalage entre le récit médiatique et les faits. Très peu de journalistes ont cherché à comprendre le contexte politique ou la rancune que suscite le PS dans une partie de la gauche. La colère qui s’est exprimée ne tombe pas du ciel : elle s’ancre dans une longue liste de trahisons politiques — loi Travail, violences policières, soutien au CICE, ou encore ralliements à Macron — qui ont profondément entamé la crédibilité du PS auprès des mouvements sociaux.
Mais les médias ont préféré se concentrer sur le buzz, dramatiser les images, et simplifier le récit autour d’un antisémitisme supposé qui gangrènerait la gauche, évitant soigneusement d’explorer les racines du conflit. La nuance disparaît derrière l’émotion, le débat s’efface sous les accusations, et le journalisme abdique son rôle critique pour jouer les pompiers pyromanes.
Description
LOI ANTISÉMITISME : LE GOUVERNEMENT VEUT INTERDIRE TOUTE CRITIQUE D'ISRAËL DANS LES UNIVERSITÉS
BLAST, Le souffle de l'info
https://youtu.be/JbXLKCJiCww?si=Ke9D6gquK3nmVBod
Dans un contexte de génocide en cours à Gaza, la France semblent emprunter un chemin dangereux : instrumentaliser la lutte contre l’antisémitisme pour museler la parole critique à l’encontre d’Israel, en particulier dans les universités françaises.
Les enseignants, chercheurs ou étudiants qui prennent publiquement position contre le genocide en cours à Gaza ou qui dénoncent l’occupation israélienne risquent des sanctions disciplinaires, des suspensions, ou des campagnes de diffamation.
Des conférences sont annulées, des colloques censurés, et des chercheurs mis au ban, au nom de la lutte contre “l’antisémitisme”, dont la définition est aujourd’hui instrumentalisée pour étouffer toute critique d’Israël.
Une atmosphère de peur s’est installée et nombreux sont les universitaires qui préfèrent garder le silence.
C’est dans ce contexte que le 20 février dernier, le Sénat a adopté à l’unanimité un projet de loi prétendant renforcer la lutte contre l’antisémitisme dans l’enseignement supérieur. Le texte a été adopté aujourd'hui même à l’Assemblée Nationale. Dans les faits, ce texte est porteur d’un glissement préoccupant pour bons nombres d’universitaires et de spécialiste du droit internationale. En clair, il assimile toute position anti-sioniste à de l’antisémitisme
Blast vous révèle les rouages d’une mécanique de censure faite de pressions institutionnelles et de répression politique et académique.
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Journaliste : Yanis Mhamdi
Montage : Melanie Ciais
Son : Baptiste Veilhan, Abel Rapin
Graphisme : Morgane Sabouret
Production : Hicham Tragha
Directeur des programmes : Mathias Enthoven
Rédaction en chef : Soumaya Benaïssa
Directeur de la rédaction : Denis Robert
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