lundi 13 mai 2024

Fwd: Samedi 25 mai à Paris-Aubervilliers, participez au grand meeting avec Jean-Luc Mélenchon et Manon Aubry !

Participez au grand meeting des européennes à Paris
Samedi 25 mai à 15h à Paris-Aubervilliers
 

nt

4 commentaires:

Anonyme a dit…

Bug en direct de la tête de liste macroniste !
Manon Aubry



https://youtube.com/shorts/erh_ogn3obk?si=QImbPA-N-x6X73P2



Vous avez coupé trop tôt...
Dans la séquence intégrale on voyait mieux son embarras !

Anonyme a dit…

"Ce lundi soir, à quatre semaines des élections européennes, n’est pas exactement un jour de foule pour La France insoumise (LFI) à Amiens, mais la salle de 350 places est pleine. Matthias Tavel, directeur de campagne de Manon Aubry, promet un meeting pour lancer la dernière ligne droite de la campagne.

Une occasion de tenir ensemble tous les thèmes voulus par Manon Aubry, du pouvoir d’achat à la lutte contre les traités de libre-échange, en passant par l’exigence d’un cessez-le-feu à Gaza, après un début de campagne marqué par le conflit israélo-palestinien. L’occasion, aussi, de régler quelques comptes avec Raphaël Glucksmann, candidat du Parti socialiste (PS) et de Place publique, en troisième position dans les sondages.

L’industrie s’est invitée en première partie de meeting, avec deux salariés de l’entreprise locale de fabrication d’acides aminés MetEx, placée en redressement judiciaire. Christophe, de la CFE-CGC à MetEx, a défendu un « savoir-faire unique en Europe » et remercié François Ruffin, venu « treize fois en un an ». « Bien au-delà des élections, il a toujours été là », dit-il. Ce dernier, dénonçant l’Europe de Jacques Delors et sa logique, les délocalisations en série vers l’Europe de l’Est, si visibles en Picardie, de Whirlpool à Goodyear, a aussi évoqué un curieux hasard de calendrier : Raphaël Glucksmann vient à Amiens mardi, au lendemain du meeting « insoumis ».

« L’Europe du grand marché, c’est non »

François Ruffin a retenu un public prêt à huer le socialiste – « Calmez-vous, on n’est pas à Saint-Etienne [le socialiste y avait été exfiltré de la manifestation du 1er-Mai]. Tant mieux si les MetEx, les ouvriers d’ici attirent les projecteurs de Paris » – mais c’était pour mieux se lancer dans un réquisitoire en règle envers la tête de liste du PS.

« L’Europe du grand marché, c’est non, de la concurrence libre et non faussée, c’est non, l’Europe ouverte à tous les vents, c’est toujours non. Ce non doit résonner avec clarté, on ne peut pas recommencer avec une gauche qu’on ne comprend pas, une gauche qui cultive le flou et c’est qu’il y a un loup. La retraite à 60 ans, c’est oui ou bien c’est non ? (…) Je le dis avec un profond désir d’unité. Il faudra des gauches réconciliées mais des gauches réconciliées dans la clarté. »
(…)


https://www.lemonde.fr/politique/article/2024/05/14/elections-europeennes-2024-manon-aubry-en-campagne-avec-francois-ruffin-contre-les-delocalisations_6233074_823448.html

Anonyme a dit…

https://www.liberation.fr/politique/europeennes-2024-melenchon-dans-les-quartiers-populaires-une-strategie-rodee-mais-critiquee-20240512_WD4I7MFOQJHNXJDWI5PSBEGJ4M/

Anonyme a dit…

"Il aura fallu s’armer de patience. Quatre mois après les actions de blocage des agriculteurs, le gouvernement tente de mettre fin à la colère paysanne en proposant un projet de loi d’orientation agricole, en examen à l’Assemblée nationale ce mardi 14 mai.

Et l’attente n’a jamais paru aussi longue pour Félix Flandrin. À 33 ans, ce maraîcher qui cultive une trentaine d’espèces de légumes sur 6 hectares au Doulieu, modeste village de 1 500 âmes nordistes, attend beaucoup du projet de loi tant la rudesse du quotidien l’éprouve.

Ce jeudi 9 mai au matin, alors que la moitié du pays profitait de ce jour férié pour prendre des congés, Félix, lui, ne chômait pas. Il était debout dès l’aube, à planter des tomates et des aubergines dans sa serre de 9 mètres par 35. « J’ai pu souffler hier, mais aujourd’hui c’est à mon tour de travailler. J’alterne avec mon collègue », raconte-t-il en riant."
(…)


https://www.humanite.fr/social-et-economie/agriculture/je-nous-donne-encore-deux-ans-linstallation-un-calvaire-pour-les-jeunes-paysans