mercredi 23 avril 2025

Le centre hospitalier d'Alès-en-Cévennes régule l'accueil aux urgences

Le centre hospitalier d'Alès-en-Cévennes régule l'accueil aux urgences

https://www.francebleu.fr/infos/sante-sciences/le-centre-hospitalier-d-ales-regule-une-nouvelle-fois-l-accueil-aux-urgences-8302486 via ici

6 commentaires:

Anonyme a dit…

L'EMPLÂTRE SUR UNE JAMBE EN BOIS...

"Pour lutter contre les déserts médicaux, le premier ministre, François Bayrou, a dévoilé vendredi 25 avril son plan, à l’occasion d’un déplacement dans le Cantal. Le chef du gouvernement a annoncé son ambition d’imposer aux médecins jusqu’à deux jours par mois de temps de consultation dans les zones prioritaires du territoire.

Alors que 6 millions de Français n’avaient pas de médecin traitant en 2024, ce « principe de solidarité » du corps médical est présenté par M. Bayrou comme une contre-proposition à la « fin de la liberté d’installation » des médecins. Cette « régulation autoritaire », rejetée par M. Bayrou et dénoncée par les médecins, est inscrite dans une proposition de loi transpartisane dont l’article-clé a été adopté contre l’avis du gouvernement au début d’avril par l’Assemblée nationale, et dont l’examen de la suite du texte est prévu au début de mai.

Cette mesure de régulation rencontre une vive opposition chez les médecins qui comptent manifester le 29 avril dans toute la France, tandis que les jeunes médecins ont lancé un appel à une grève dure avec fermeture des cabinets à partir du 28 avril."
(…)


https://www.lemonde.fr/sante/article/2025/04/25/deserts-medicaux-le-gouvernement-souhaite-imposer-aux-medecins-jusqu-a-deux-jours-par-mois-de-consultation-dans-les-zones-prioritaires_6599987_1651302.html

Anonyme a dit…

ALLAH BOSNIAQUE !

"Je l’ai fait, ton Allah de merde", lâche le meurtrier, à deux reprises, alors qu’il est en train de filmer la victime agonisante avec son téléphone portable, avant de réaliser qu’il est aussi filmé par les caméras de surveillance à l’intérieur de la mosquée.

"Je vais être arrêté, c’est sûr", lance alors l’homme, qui était toujours en fuite samedi. Confirmant à l’AFP la tenue de ces propos par le meurtrier, le procureur de la république d’Alès Abdelkrim Grini a précisé que "toutes les pistes étaient envisagées, dont celle d’un acte à dimension islamophobe", et a confirmé que le parquet national antiterroriste (Pnat) était "en évaluation" de ce dossier pour éventuellement s’en saisir.

Mais samedi à la mi-journée, l’enquête, confiée au groupement de gendarmerie du Gard, à la section de recherches (SR) de Nîmes et à la police judiciaire, restait bien sous la houlette du parquet d’Alès, a précisé le magistrat, soulignant que le suspect était "activement recherché"."
(…)


https://www.midilibre.fr/2025/04/26/ton-allah-de-mde-les-propos-glacants-du-meurtrier-de-la-mosquee-de-la-grand-combe-qui-sest-filme-pendant-lattaque-au-couteau-12660202.php

Anonyme a dit…


La France insoumise
@FranceInsoumise

« Hier dans le Gard, Aboubacar, 22 ans, a été tué par plusieurs coups de couteaux. Son meurtrier aurait proféré des paroles islamophobes.

L’islamophobie tue. Nous ne la laisserons jamais passer.

Nous serons toujours les gardiens de l’unité du peuple de France ! »

Mathilde Panot à Roubaix."


https://x.com/FranceInsoumise/status/1916176325976408092

Anonyme a dit…

https://actu.fr/occitanie/ales_30007/gard-un-restaurant-parti-en-fumee-dans-la-nuit-a-ales_62563595.html

Anonyme a dit…

https://www.liberation.fr/societe/police-justice/assassinat-dans-la-mosquee-du-gard-le-suspect-sest-rendu-20250428_EPT5ODE75ZCHLFJHCDEPS7VODU/

Anonyme a dit…

LOCALE

"Entre tristesse et colère, une marée
humaine en mémoire d’Aboubakar
Sécurité renforcée pour les
mosquées « L’islamophobie tue », «
ignoble assassinat »

Du silence, du calme, des marques d’amitié. De la tristesse, beaucoup, se lit sur de nombreux visages. Alors qu’elle avait été organisée à la va-vite, avec une déclaration de manifestation posée dans l’urgence par un conseiller municipal, plus de 2 000 personnes, selon les estimations sur place, ont participé, dimanche après-midi, à la marche blanche en hommage à Aboubakar.
Le jeune Malien âgé d’une vingtaine d’années victime d’un meurtre barbare sur le tapis de prière de la mosquée, vendredi.
Devant le lieu de culte, départ de la marche, les fidèles se sont d’abord réunis pour la prière. Pendant ce temps, la foule s’amasse. Beaucoup sont de La Grand-Combe et ont une pensée pour « Babou », comme il était surnommé par certains.

Son frère en tête de cortège

D’autres viennent des alentours, de Nîmes et même des départements voisins.
Est ainsi aperçu le comédien Lionnel Astier. Quelques figures politiques aussi : le maire honoraire de La Grand-Combe, Patrick Malavieille, représente la commune. Sont aussi remarqués Nathalie Oziol et de Raphaël Arnault, les députés LFI de l’Hérault et du Vaucluse. Ils sont les seuls parlementaires présents.
Au premier rang, accompagné par le président de la mosquée, Salim Touazi, et Abdallah Zekri, recteur de la mosquée Sud-Nîmes et vice-président du Conseil
français du culte musulman (CFCM), le jeune Sékou, frère d’Aboubakar, seul représentant de leur famille, marche en silence. « Je veux juste remercier tout le monde d’être là. Mon frère était gentil, il respectait tout le monde », confiera-t-il
quelques minutes plus tard.

L’absence de Bruno Retailleau remarquée

Après environ une heure de marche, la foule se retrouve devant les marches de la mairie. « Un musulman ne tue pas dans une mosquée. C’est un lieu de paix.
» Face à la foule, Abdallah Zekri adresse les condoléances « de tous les musulmans » à la famille d’Aboubakar.
Au même moment, le ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau, est à la sous préfecture d’Alès, où il a fait le point sur l’enquête, avant d’assurer
« la compassion, la solidarité et la mobilisation » du gouvernement et de l’Étatenvers la communauté musulmane.
Il est reparti directement à Paris ensuite. Beaucoup, à La Grand-Combe,espéraient sa venue. « Au fond, c’est peut-être bien qu’il ne l’ait pas fait, quel accueil il aurait reçu ? », s’interroge un groupe.
« Je regrette que les autorités aient réagi très tard : le préfet, le ministre de l’Intérieur, le Premier ministre… C’est quand même lamentable, observe Abdallah Zekri. Parfois ce sont les ministres qui ne respectent pas la laïcité. »
Pour le recteur nîmois, la tragédie de La Grand-Combe laisse entrevoir un
avenir peu serein : « En 2026, il y aura les municipales, en 2027, la
présidentielle. Je peux vous le dire : vous musulmans, vous allez en prendre plein la gueule par les discours de certains racistes ! Alors il faut rester
solidaires. »

Plus de 2 000 personnes ont rejoint, dimanche, la marche blanche en hommage au jeune fidèle tué sauvagement, vendredi, dans la mosquée de la commune.
Le tueur était toujours en fuite."
P. B. et E. D.

Lundi 28 avril 2025
https://kiosque.midilibre.fr/reader/183e805b-5c9e-49e1-8194-2624490...