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mercredi 30 avril 2025
Fwd: Le bilan économique catastrophique des cent premiers jours de Trump
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2 commentaires:
"Une droitisation du champ médiatique" - La chronique de Salomé Saqué dans "La dernière"
Radio Nova
https://youtu.be/XCpaeKhVPgo?si=bBuZZuU2uUliHR8r
Écrire un livre engagé n'est pas reçu de la même façon par les médias maintenant qu'il y a des années. Salomé Saqué nous explique comment les médias se sont droitisés au fil des années.
Les bergers s'unissent pour défendre leurs droits
"Dormir des semaines dans une tente, travailler pour des clopinettes. Le dénigrement en prime : « Faudrait quand même pas que tu me coûtes plus qu'une botte de foin ! » s'entendent dire certains... Les conditions de travail des gardiens et gardiennes de troupeau sont moyenâgeuses et les relations avec leurs employeurs souvent tendues. Le week-end dernier, plus d'une centaine de bergers se sont réunis dans le Gard à l'appel du Syndicat des gardien⋅nes de troupeaux.
*****
Saint-Jean-du-Gard (Gard), reportage
« Bienvenue à Massif attaque ! » À l’entrée, deux membres du Syndicat des gardien⋅nes de troupeaux (SGT-CGT) assurent l’accueil. Près d’elles, un drapeau avec un poing serré sur la canne de berger traditionnelle armée du crochet pour attraper les animaux, et l’inscription « SGT-CGT, berger⋅es, vacher⋅es, chevrier⋅es, luttons ensemble ! » Les vendredi 25 et samedi 26 avril, plus d’une centaine de personnes ont participé à deux journées d’ateliers de formation, à l’occasion de cette troisième rencontre nationale des gardiens de troupeau syndiqués.
« Déjà, on dit gardien de troupeau, pas berger », dit Damien du SGT de l’Ariège. L’image du Jésus berger, ce n’est pas notre quotidien. » Il dénonce la précarité de son métier : « Nous, on aime notre boulot, mais on ne peut plus accepter les conditions qui nous sont imposées. »
Lors des estives, la garde de troupeaux dans des zones souvent reculées et en altitude, « on s’occupe des animaux jour et nuit, raconte-t-il, on peut faire jusqu’à 80 heures par semaine payées 42 ». À l’accueil, Coline raconte la semaine écoulée durant laquelle elle a vacciné 850 brebis : « J’ai attrapé des brebis pendant cinq jours. J’ai des bleus partout. »
(…)
https://reporterre.net/Etre-berger-On-aime-notre-boulot-mais-on-ne-peut-plus-accepter-les-conditions-qui-nous
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