"J’ai dit à ma maman que je voulais être scénariste" : le comédien Lionnel Astier retourne dans sa propre école pour le bonheur des enfants de Cendras - midilibre.fr
LOCALE La mobilisation générale se poursuit à l’école Rabelais
"Pour faire suite aux récentes déclarations (lire le Midi Libre du 4 mars 2025) de la représentante des parents d’élèves de l’école de Rabelais, également membre de l’association Les Écoles d’Aramon (LÉA), les parents d’élèves et enseignants de l’école Rabelais se sont mobilisés en masse, ce mardi 4 mars, en présence de la maire et d’élus pour exprimer leur vive opposition à l’annonce du 10 février, prévoyant une fermeture d’une classe au sein de cet établissement en 2026.
Par ces contestations, les protagonistes, qui ne souhaitent que défendre la qualité de l’enseignement et le bien-être des enfants, espèrent un revirement de l’inspectrice académique qui doit statuer du sort de l’école Rabelais le 11 mars. La maire a adressé, le 26 février, un courrier dans ce sens, à la direction académique des services de l’éducation nationale (Dasen), argumentant et exprimant sa profonde inquiétude et son opposition à la suppression d’une classe au sein de l’école. Les parents d’élèves, enseignants et la municipalité appellent à la mobilisation générale pour faire entendre leur voix et obtenir le maintien de la classe, estimant que l’avenir de leurs enfants et la vitalité de leur village sont en jeu.
Un rendez-vous est fixé le 10 mars devant l’école
« Il faut se rendre à l’évidence que toutes les écoles du village seront impactées dans les prochaines années, c’est pourquoi nous comptons poursuivre notre mobilisation », déclare la présidente de l’association des parents d’élèves. Laurence Imbert ajoute : « On donne donc rendez-vous lundi 10 mars, à 8 h 15, à l’école Rabelais, à tous les parents des quatre écoles primaires et maternelles, pour faire part de notre mécontentement au directeur académique des services de l’Éducation nationale. »
Et pour ceux qui souhaitent poursuivre, un rendez-vous est prévu entre le Dasen et les syndicats, à Nîmes, mardi 11 mars, à 9 heures, devant l’hôtel Edouard Mouret."
Jeudi 06 mars 2025 https://kiosque.midilibre.fr/reader/0e58f5c6-63a7-4d41-811c-0b9418e3
Dans le Gard, Uzès et sa région à la pointe de la mobilisation
"Cette année encore, l'Uzège Pont du Gard s'empare du 8 Mars et organise de nombreux événements à l'occasion de la journée internationale des droits des femmes. Programme et rencontres dans ce dossier. "
Coupes budgétaires, évaluations qui menacent les filières fréquentées par les étudiants des classes populaires… La colère monte à l’université tant côté étudiants qu’enseignants. Une première grande journée de mobilisation nationale est prévue ce 11 mars.
« À Poitiers, on a décidé que seuls les élèves qui étudiaient dans les bâtiments concernés pouvaient les bloquer. Résultats 50% à 60% des bâtiments de la fac sont bloqués ce 5 mars, c’est énorme« , décrit Jordan, secrétaire fédéral Solidaires étudiant·es. Avec 33 000 étudiants, l’université de Poitiers fait partie des pôles importants de la vie universitaire hors Paris. Depuis le mois de février, les étudiants y sont particulièrement mobilisés contre les coupes budgétaires visant l’enseignement supérieur et la recherche (ESR). Ce 6 mars, ils organisaient d’ailleurs une nouvelle journée de manifestation. « Depuis le mois de février, on a fait des assemblées générales (AG) où on était 800, c’est plus que pendant le mouvement contre la réforme des retraites, qui avait pourtant été très suivi ici. On occupait trois amphis, il fallait coordonner la vidéo en simultanée… Il y a aussi eu des manifestations où plus de 700 étudiants étaient présents. Les vacances (qui se sont terminées le 3 mars, ndlr) n’ont pas mis de frein à la mobilisation. Au contraire, elle a grossi à la rentrée« , continue le syndicaliste, étudiant en master à l’université de Poitiers.
En ce début d’année 2025, si toutes les universités françaises sont loin d’afficher le même niveau de mobilisation que celle de Poitiers, un frémissement est pourtant en cours à l’échelle nationale. Alors que les vacances de février viennent de se terminer, des assemblées générales ont été organisées dans une vingtaine d’universités. « Cette semaine, nous étions une centaine en AG. C’est un début. La semaine prochaine on fera le tour des salles de cours pour faire débrayer les élèves et on ira manifester le 11 mars et le 13 mars« , explique Alexis, militant au Poing Levé à Paris 8 (Saint-Denis). En effet, une journée de mobilisation nationale est organisée le 11 mars à l’appel d’une large intersyndicale étudiante et enseignante. Quant au 13 mars : une manifestation parisienne inter-fac a été appelée par l’AG des étudiants de Nanterre." (…)
3 commentaires:
LOCALE
La mobilisation générale se poursuit à l’école Rabelais
"Pour faire suite aux récentes déclarations (lire le Midi Libre du 4 mars 2025)
de la représentante des parents d’élèves de l’école de Rabelais,
également membre de l’association Les Écoles d’Aramon (LÉA), les parents
d’élèves et enseignants de l’école Rabelais se sont mobilisés en masse, ce mardi
4 mars, en présence de la maire et d’élus pour exprimer leur vive opposition à
l’annonce du 10 février, prévoyant une fermeture d’une classe au sein de cet
établissement en 2026.
Par ces contestations, les protagonistes, qui ne souhaitent que défendre la
qualité de l’enseignement et le bien-être des enfants, espèrent un revirement de
l’inspectrice académique qui doit statuer du sort de l’école Rabelais le 11 mars.
La maire a adressé, le 26 février, un courrier dans ce sens, à la direction
académique des services de l’éducation nationale (Dasen), argumentant et
exprimant sa profonde inquiétude et son opposition à la suppression d’une
classe au sein de l’école. Les parents d’élèves, enseignants et la municipalité
appellent à la mobilisation générale pour faire entendre leur voix et obtenir le
maintien de la classe, estimant que l’avenir de leurs enfants et la vitalité de leur
village sont en jeu.
Un rendez-vous est fixé le 10 mars devant l’école
« Il faut se rendre à l’évidence que toutes les écoles du village seront impactées
dans les prochaines années, c’est pourquoi nous comptons poursuivre notre
mobilisation », déclare la présidente de l’association des parents d’élèves.
Laurence Imbert ajoute : « On donne donc rendez-vous lundi 10 mars, à 8 h 15, à
l’école Rabelais, à tous les parents des quatre écoles primaires et maternelles,
pour faire part de notre mécontentement au directeur académique des services
de l’Éducation nationale. »
Et pour ceux qui souhaitent poursuivre, un rendez-vous est prévu entre le Dasen
et les syndicats, à Nîmes, mardi 11 mars, à 9 heures, devant l’hôtel Edouard Mouret."
Jeudi 06 mars 2025
https://kiosque.midilibre.fr/reader/0e58f5c6-63a7-4d41-811c-0b9418e3
Dans le Gard, Uzès et sa région à la pointe de la mobilisation
"Cette année encore, l'Uzège Pont du Gard s'empare du 8 Mars et organise de nombreux événements à l'occasion de la journée internationale des droits des femmes. Programme et rencontres dans ce dossier. "
https://mesinfos.fr/droit-des-femmes-quel-programme-pour-la-journee-du-8-mars-en-france-217863.html
Coupes budgétaires, évaluations qui menacent les filières fréquentées par les étudiants des classes populaires… La colère monte à l’université tant côté étudiants qu’enseignants. Une première grande journée de mobilisation nationale est prévue ce 11 mars.
« À Poitiers, on a décidé que seuls les élèves qui étudiaient dans les bâtiments concernés pouvaient les bloquer. Résultats 50% à 60% des bâtiments de la fac sont bloqués ce 5 mars, c’est énorme« , décrit Jordan, secrétaire fédéral Solidaires étudiant·es. Avec 33 000 étudiants, l’université de Poitiers fait partie des pôles importants de la vie universitaire hors Paris. Depuis le mois de février, les étudiants y sont particulièrement mobilisés contre les coupes budgétaires visant l’enseignement supérieur et la recherche (ESR). Ce 6 mars, ils organisaient d’ailleurs une nouvelle journée de manifestation. « Depuis le mois de février, on a fait des assemblées générales (AG) où on était 800, c’est plus que pendant le mouvement contre la réforme des retraites, qui avait pourtant été très suivi ici. On occupait trois amphis, il fallait coordonner la vidéo en simultanée… Il y a aussi eu des manifestations où plus de 700 étudiants étaient présents. Les vacances (qui se sont terminées le 3 mars, ndlr) n’ont pas mis de frein à la mobilisation. Au contraire, elle a grossi à la rentrée« , continue le syndicaliste, étudiant en master à l’université de Poitiers.
En ce début d’année 2025, si toutes les universités françaises sont loin d’afficher le même niveau de mobilisation que celle de Poitiers, un frémissement est pourtant en cours à l’échelle nationale. Alors que les vacances de février viennent de se terminer, des assemblées générales ont été organisées dans une vingtaine d’universités. « Cette semaine, nous étions une centaine en AG. C’est un début. La semaine prochaine on fera le tour des salles de cours pour faire débrayer les élèves et on ira manifester le 11 mars et le 13 mars« , explique Alexis, militant au Poing Levé à Paris 8 (Saint-Denis). En effet, une journée de mobilisation nationale est organisée le 11 mars à l’appel d’une large intersyndicale étudiante et enseignante. Quant au 13 mars : une manifestation parisienne inter-fac a été appelée par l’AG des étudiants de Nanterre."
(…)
https://rapportsdeforce.fr/classes-en-lutte/11-mars-contre-lausterite-le-debut-dune-lutte-a-luniversite-030723507
Enregistrer un commentaire