Anonyme a ajouté un nouveau commentaire sur votre article "Violences policières : C'est mots sont inacceptabl..." :
Les gens qui meurent - Les Goguettes (en trio mais à quatre)
Les Goguettes
https://youtu.be/eYY15t9XjP8
sur l'air de "Un homme heureux" par William Sheller
avec Valentin au chant / Clémence au piano!
Sur une idée de Yann Boudier
Images : Aleth Chapoy-Favier / montage : Valentin Vander / mixage : Paul Vanderhaegen
Albert Einstein a dit : le monde est dangereux à vivre, Non pas à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire
jeudi 11 juin 2020
Les gens qui meurent
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2 commentaires:
PUBLICATION
Encadrer la pub et l’influence des multinationales : un impératif écologique et démocratique
La publicité et la com’ des multinationales ne servent pas seulement à vendre toujours plus de produits, souvent pas très bons pour le climat ou la santé. Elles servent aussi à influencer, sans le dire, l’opinion publique et les décideurs pour protéger leurs modèles de profit. Une nouvelle publication, dont l’Observatoire des multinationales est partenaire, propose plusieurs mesures pour protéger notre démocratie de l’intoxication.
"Le 20 mai dernier, quelques jours après la première étape du déconfinement, le groupe Orange a inauguré à sa manière le « monde d’après » en lançant une opération de communication de grande envergure dans plusieurs médias. Profitant de la chute du prix des espaces publicitaires, il s’est acheté des pages dans plusieurs grands quotidiens. Pas moins de six rien que dans Le Figaro, affichant fièrement sur fond noir la nouvelle « raison d’être » adoptée par l’entreprise héritière du service public des télécommunications : « être l’acteur de confiance qui donne à chacune et à chacun les clés d’un monde numérique responsable ». Apparemment, les communicants d’Orange n’ont pas noté la contradiction flagrante qu’il y a à afficher sa responsabilité et son engagement pour la planète au moyen de quantités massives de papier et d’encre. Du côté du Figaro, on était probablement trop préoccupé par la dégringolade des revenus publicitaires pour faire la fine bouche. Discours sociétaux vaporeux, gâchis de ressources, appropriation des aspirations au changement, dépendance des médias... Cet exemple résume à lui tout seul tout ce qui ne va pas avec la pub aujourd’hui."
.../...
En France, 600 grandes entreprises contrôlent 80 % du marché publicitaire
"L’invasion publicitaire et les manipulations de la com’ des grandes entreprises ne sont donc pas une simple affaire de « baratin ». C’est un enjeu central, dont dépendent à la fois leurs profits, leur « acceptabilité sociétale », leur liberté d’action et leur influence vis-à-vis des pouvoirs publics. Il suffit de considérer les chiffres. Au niveau global, les dépenses de communication des multinationales ont dépassé 1300 milliards de dollars en 2018. En France, 600 grandes entreprises contrôlent 80 % du marché publicitaire, avec des dépenses annuelles de communication de plus de 45 milliards d’euros. Plusieurs poids lourds du CAC 40, comme L’Oréal ou LVMH, dépensent largement plus pour communiquer que pour fabriquer les produits qu’ils vendent (lire Les folles dépenses publicitaires du CAC 40). ExxonMobil, Chevron, BP, Shell et Total dépensent près de 200 millions de dollars par an en publicité pour se doter d’une image positive sur l’enjeu du climat.
Face à la capacité de nuisance démocratique de la com’ des multinationales, le laisser-faire qui prévaut actuellement est-il encore une option ? Cette nouvelle publication propose un arsenal de mesures pour y remédier, depuis des « lois Evin pour le climat » interdisant la pub pour les produits et services les plus nocifs jusqu’à une refonte des aides à la presse pour favoriser les titres qui servent vraiment des objectifs d’information et d’intérêt général, en passant par un contrôle plus strict des contenus et une taxation des dépenses de communication. Autant de gestes barrières pour protéger notre démocratie de l’intoxication."
Olivier Petitjean
https://www.bastamag.net/encadrer-la-pub-influence-multinationales-imperatif-ecologie-democratie
Résistons au virus de la désinformation ! – Appel de Michel Collon
Investig'Action
https://youtu.be/hjq2ZweVarc
Vous savez qu’on nous a beaucoup menti lors de la gestion du « Covid-19 » et sur les causes profondes de cette crise. À quelle info se fier ? Dans cette crise angoissante, il fallait se protéger non seulement du Coronavirus mais aussi du Propaganda virus.
Dès le 13 mars, notre équipe Investig’Action s’est réorganisée et mobilisée pour vous apporter des infos absentes et surtout l’analyse des causes profondes de cette crise. Grâce à notre réseau international et en interrogeant des témoins, des experts, et des analystes éclairants. Nous avons fourni de nombreux articles, deux newsletters par semaine et plus de 30 émissions Michel Midi Spécial Coronavirus, vues plus de trois millions de fois.
Les médias dominants ont confirmé qu’ils n’étaient pas libres. Ce n’est pas moi qui le dis, mais Le Soir, le quotidien belge dit « de référence » :
« L’équation est assez simple : les gens ne consomment pas. Du coup, les annonceurs ne sont plus là. Car ils n’ont tout simplement rien à vendre. Or, pour les médias, la pub, c’est le nerf de la guerre, la poutre maîtresse sans laquelle tout l’édifice s’effrite. »
Bien dit. Votre survie dépend donc de la publicité des multinationales. Alors comment pourriez-vous investiguer et dénoncer ?
Seuls des médias véritablement indépendants - donc sans pub, ni capitaux extérieurs - peuvent enquêter sans tabous sur tout cela ! L’info fiable est fondamentale. Et urgente car ceux qui nous ont amenés dans cette situation, nous promettent maintenant – la main sur le cœur – que « l’après » sera différent de l’avant. Attention ! Si on les laisse faire, l’après sera pire que l’avant. Car ils vont nous présenter la facture de ce qu’ils ont, je ne dis pas provoqué, mais considérablement aggravé. Comme en 2008 où nous avons payé – avec nos retraites et notre pouvoir d’achat – à la place des banques spéculatrices qui se sont dépêchées de recommencer.
Ils nous promettent «le retour à la normale». Mais attention, c’est leur "normale» qui nous a menés à cette crise et nous ne sommes pas préparés aux autres pandémies qui menacent. Il est donc urgent de réfléchir aux causes profondes et de tirer les bonnes leçons.
Je lance un appel pour nous renforcer. Vous avez besoin de nous et nous avons besoin de vous. Nous devons encore renforcer Investig’Action ! en développant notre secteur vidéo, décisif pour toucher de nouveaux publics. Il nous faut un nouveau budget pour produire – avec des pros – davantage de vidéos y compris des enquêtes et des reportages.
Je sais que je peux compter sur vous. Vous nous avez déjà permis d’embaucher Federica, David et Stéphanie. Aidez-nous à franchir cette nouvelle étape !
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