vendredi 2 mars 2018

LA NEWSLETTER POLITIQUE

http://tr.news.lexpress.fr/do?099CE9B99214C14904545B10927B3144ED911A016446A494FDACC0CCD655E99A027A1D7D50F13162C66263798FB9FE7430BA94217667764EA4C3BAA86DAE602CC6BE1432BF56E462314E9ED8E26AC785

3 commentaires:

Anonyme a dit…

Qui n'accepte pas les résultats des sondages?
Un tout Petit Grain de Sable.

https://youtu.be/uFTPU6fwiGU

La déferlante sondagière a encore frappé. Tout faire pour maquiller les chiffres devient une sinécure...
la machine libérale met de l'huile dans ses rouages pour nous faire avaler tout et n'importe quoi.
La stratégie de la diversion fonctionne à plein régime. Forcément, le programme n'étant pas structuré, les surenchères sont permanentes... une illusion qui commence à se voir!

Anonyme a dit…

https://www.politis.fr/articles/2018/03/lettre-ouverte-a-mes-collegues-cheminotes-et-cheminots-38453/

Anonyme a dit…

GOUVERNEMENT POIDS PLUME.

Ce n’est pas parce que les oppositions à Macron sont éparses et, pour l’heure, globalement faibles, que Macron est assuré de sa force. Son habileté ne saurait masquer ses propres faiblesses : en Europe, des partenaires de centre-droit et de droite fragilisés ; en France, peu d’alliés politiques, un socle sociologique certes puissant mais minoritaire, un humanisme évanescent (du fait du durcissement de sa politique migratoire et sécuritaire) et des fissures qui commencent à se dessiner.

Mais le plus frappant reste l’extraordinaire inconsistance du gouvernement, dont même les supposés poids lourds (Hulot, Darmanin, Le Maire, Nyssen, Pénicaud…) ont été rendus quasi aphasiques quand les jeunes seconds se contentent de vulgaires plans de com. Les deux qui dépassent d’une tête, Blanquer et Collomb, accentuent le déport très à droite. Le premier en mettant en scène ses convictions ultra-laïcistes, le second en s’excusant à peine de marcher sur les migrants. Et ce ne sont pas les députés La République en marche, tantôt soumis tantôt absents, qui seront d’un quelconque renfort ni réconfort. L’exécutif connaît la fragilité politique de son dispositif, au point qu’il le contourne lui-même : c’est ce qui explique que, disposant pourtant d’une très forte majorité parlementaire, il choisisse de réformer, pour la deuxième fois en moins de six mois, par ordonnances.

Chronique de Pouriah AMIRSHAHI dans Politis n°1492 du 1er au 7 mars.