Et nous étions en 1939 !!!..mais c'est toujours la même argumentation aujourd'hui.
7 commentaires:
Anonyme
a dit…
Décidément ce sera toujours pareil. Même au temps de l'esclavage, les patrons en difficulté devaient mettre en cause le coût de la nourriture et l'entretien de leurs serviteurs ! Dès qu'il y a crise, c'est toujours le coût du travail qui est remis en cause ? Jamais l'absurdité capitaliste qui consiste à gagner plus d'argent sur le travail des autres que sur son propre labeur n'est vraiment remise en cause ? La mondialisation n'arrange rien et en plus, rend quasiment impossible les sursauts "salutaires mais tragiques" nationaux qui ont toujours permis aux sociétés d'avancer. Une déflagration mondiale est hélas le seul espoir des classes laborieuses, c'est à dire plus de 80% de l'humanité ! Même ceux qui ne le savent pas ou ne veulent pas l'admettre, en font partie.
Bien sûr ! C'est toujours un problème de main-d'oeuvre, jamais de dirigeants ? Et pourtant, les choix stratégiques de Peugeot et de Renault, ce n'est pas les ouvriers qui les ont fait. "Qui casse les verres les fait payer aux autres" telle est la devise dune grande partie du patronat et de l'actionnariat français !
La situation des constructeurs français est essentiellement due aux erreurs de leurs patrons. On nous bassine avec l'Allemagne et ses constructeurs au top, mais leurs modèles ne prétendent pas concurrencer les véhicules "low coast" des pays émergents. Sauf régression sociale extrême ? La France ne pourra jamais rivaliser avec ces pays là. C'est les patrons "non visionnaires" que les actionnaires devraient penser à licencier en premier, ou alors qu'ils arrêtent de se lamenter !
Les patrons "visionnaires" ne construisent pas des voitures aujourd'hui : l'automobile a son futur derrière elle, pas comme en 1939 où sa généralisation débutait à peine. Il est tout à fait "à côté de la plaque" de comparer les deux situations même si les mots sont les mêmes, les contextes sont à l'opposé.
@ 15:42 T'étais peut-être pas né en 39 et tu t'en fous ? Ok. Mais maintenant t'es né et le bordel qui nous guette, tu ne pourra pas t'en foutre ! T'auras les deux pieds dedans, ducon !
7 commentaires:
Décidément ce sera toujours pareil. Même au temps de l'esclavage, les patrons en difficulté devaient mettre en cause le coût de la nourriture et l'entretien de leurs serviteurs ! Dès qu'il y a crise, c'est toujours le coût du travail qui est remis en cause ? Jamais l'absurdité capitaliste qui consiste à gagner plus d'argent sur le travail des autres que sur son propre labeur n'est vraiment remise en cause ? La mondialisation n'arrange rien et en plus, rend quasiment impossible les sursauts "salutaires mais tragiques" nationaux qui ont toujours permis aux sociétés d'avancer. Une déflagration mondiale est hélas le seul espoir des classes laborieuses, c'est à dire plus de 80% de l'humanité ! Même ceux qui ne le savent pas ou ne veulent pas l'admettre, en font partie.
C'est vrai qu'en 1939 l'Allemagne se préparait à exporter beaucoup de véhicules, avec certains passagers bien équipés dedans !
Bien sûr ! C'est toujours un problème de main-d'oeuvre, jamais de dirigeants ? Et pourtant, les choix stratégiques de Peugeot et de Renault, ce n'est pas les ouvriers qui les ont fait. "Qui casse les verres les fait payer aux autres" telle est la devise dune grande partie du patronat et de l'actionnariat français !
La situation des constructeurs français est essentiellement due aux erreurs de leurs patrons. On nous bassine avec l'Allemagne et ses constructeurs au top, mais leurs modèles ne prétendent pas concurrencer les véhicules "low coast" des pays émergents. Sauf régression sociale extrême ? La France ne pourra jamais rivaliser avec ces pays là. C'est les patrons "non visionnaires" que les actionnaires devraient penser à licencier en premier, ou alors qu'ils arrêtent de se lamenter !
m'en fou j'étais pas né!!!!!!!!
Les patrons "visionnaires" ne construisent pas des voitures aujourd'hui : l'automobile a son futur derrière elle, pas comme en 1939 où sa généralisation débutait à peine. Il est tout à fait "à côté de la plaque" de comparer les deux situations même si les mots sont les mêmes, les contextes sont à l'opposé.
@ 15:42
T'étais peut-être pas né en 39 et tu t'en fous ?
Ok. Mais maintenant t'es né et le bordel qui nous guette, tu ne pourra pas t'en foutre ! T'auras les deux pieds dedans, ducon !
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