dimanche 9 juin 2024

FRENFRENFREN

 Le RN


Mais oui bien sur !

Le programme égrené par ce parti

Est une liste interminable (dans interminable il y a minable)

De tout ce qui ne va pas chez nous 

Les solutions ne sont pas évoquées , ils n’en ont pas !

Ils ont oublié La Covid 

Peut être que … si ils avaient été contre « la Covid » 

moi qui en suis malade

J’ aurai voté pour eux

Quel dommage !


Lereboussiercovidé

10 commentaires:

Anonyme a dit…

https://www.francetvinfo.fr/elections/carte-resultats-des-elections-europeennes-2024-decouvrez-qui-est-arrive-en-tete-dans-votre-ville_6584196.html

Anonyme a dit…

Bonjour,
tu nous a manqué chez Ton hier .
prends soins de toi
Régis

Anonyme a dit…

"Ce n’est pas une surprise, puisque le RN était déjà arrivé en tête en 2019, comme en 2014 : Jordan Bardella s’impose dans l’Hérault. Aisément. Largement. Avec 34,98 % des suffrages, il améliore son score de plus de six points. Surtout, quand il n’en comptait "que" neuf d’avance sur sa rivale LREM il y a cinq ans, il creuse un écart encore plus considérable : 20 points sur Glucksmann (14,41 %) 6e en 2019 qui cette fois décroche la 2e place ; 23 points sur Hayer (11,35 %) qui devance tout juste Aubry (10,92 %). La majorité présidentielle s’effondre dans le département et ce n’est pas ce qui va rassurer les députés Renaissance dans la perspective des législatives à venir. Les trois élus restaient d’ailleurs sur la réserve dimanche.

Et pour cause, Jordan Bardella place le RN en tête dans la quasi-totalité des communes de l’Hérault. Entre autres exemples : 51,39 % à Valras-Plage ; 49,32 % à Agde ; 42,17 % à Palavas-les-Flots ; 39,72 % à Mauguio… Même dans des villes où le parti lepéniste est habituellement à la peine, il gagne : 24,72 % à Grabels ; 23,63 % à Prades-le-Lez ; 21,2 % à Castelnau-le-Lez.

Un score record pour l’extrême droite

Si l’on y ajoute les scores de Reconquête !, au-dessus de sa moyenne nationale dans l’Hérault (6,06 %), ainsi que ceux de François Asselineau (1,10 %) et de Florian Philippot (0,97 %), l’extrême droite est même portée ce dimanche au résultat record de 42,04 % dans le département.

À Montpellier, LFI et PS au coude-à-coude

Et encore, Montpellier, avec son poids électoral prédominant dans le département, parvient encore à contrebalancer la performance du RN et de ses satellites. Comme en 2019, Jordan Bardella n’y est que 3e (16,68 %). En revanche, quand la majorité présidentielle s’imposait alors, elle n’est cette fois que 4e (11,09 %). C’est la gauche qui se partage cette fois – et logiquement – les deux premières places du podium : 24,18 % pour Aubry et 19,61 % pour Glucksmann. Comme lors de la présidentielle, la ville s’affiche mélenchoniste, mais l’écart qui se réduit incitera le maire socialiste Michaël Delafosse à appuyer une solide candidature face à la députée insoumise Nathalie Oziol sur la 2e circonscription, la seule 100 % montpelliéraine. Il appelait dimanche soir à "une alternative écologique, sociale et républicaine face à l’extrême droite. On ne s’impose pas dans le bruit et la fureur", confiait-il clairement à minuit, satisfait du score de Raphaël Glucksmann.

Les trois circonscriptions en partie montpelliéraine que se partagent les députés Renaissance s’annoncent toutefois encore plus indécises. Sur la 1re, détenue par la ministre Patricia Mirallès, le RN est largement au-dessus de 30 % sur les six autres communes, même à Pérols (37,35 %), son fief où elle a organisé un meeting de campagne fin mai. Sur la 9e, malgré un fort ancrage de terrain, Patrick Vignal devra batailler sur ce territoire où le RN a conforté son assise dans les villes du littoral et de petite Camargue, particulièrement à Lunel (39,56 %). Laurence Cristol, sur la 3e, est peut-être celle qui semble la moins menacée sur l’Ouest montpelliérain… Toutefois, c’est dans des duels avec des adversaires Nupes que ces trois députés s’étaient imposés en 2022. Si la gauche ne part pas unie, ce peut-être des candidats RN qu’ils retrouveraient au second tour… Et là, l’issue pourrait être plus incertaine.

Un RN partout renforcé

Les députés LFI Sébastien Rome (4e circonscription) et Sylvain Carrière (8e), tous deux vainqueurs de justesse en 2022, auront aussi face à eux un RN renforcé, que ce soit dans l’arrière-pays (34,24 % à Ganges, 30,26 % à Lodève) ou sur les berges de l’étang de Thau (45,75 à Mèze ; 44,12 % à Frontignan) où il a encore amélioré ses scores de 2019."
(…)


https://www.midilibre.fr/2024/06/10/elections-europeennes-jordan-bardella-largement-en-tete-lherault-futur-eldorado-du-rn-12005769.php

Anonyme a dit…

https://www.huffingtonpost.fr/politique/article/apres-la-dissolution-de-l-assemblee-ruffin-veut-un-front-populaire-les-appels-a-l-union-des-gauches-s-enchainent_235232.html

Anonyme a dit…

L’oligarchie place l’extrême droite au seuil du pouvoir. La gauche et les écologistes doivent être à la hauteur de ce danger, et s’unir sans barguigner.

"S’unir, se regrouper, s’allier, faire front, faire face, se rassembler, arrêter de barguigner, de tergiverser, de palabrer, de s’invectiver, de se quereller : cette injonction que des millions de personnes disent depuis des semestres à des partis divisés et fragmentés, il faut aujourd’hui même, face au danger, que Les Écologistes, que la France insoumise, que le Parti socialiste, que le Parti communiste, que d’autres, l’entendent et agissent.

Car le panorama politique n’a jamais été aussi clair : après des années de politique ultralibérale et de matraquage orchestré par des médias aux mains des milliardaires, l’oligarchie a placé l’extrême droite au seuil du pouvoir. Tout, y compris le fascisme — un fascisme accommodé à la sauce du XXIᵉ siècle et de l’intelligence artificielle —, plutôt que le partage des richesses. Et par un fantastique renversement opéré par une bourgeoisie recroquevillée sur son égoïsme, les descendants de Pétain et des collaborateurs de Hitler, les successeurs des colons et de l’Algérie française, les promoteurs de la xénophobie institutionnalisée sont présentés comme dignes d’assurer le pouvoir.

Est-il besoin d’évoquer ce que signifierait en France l’arrivée du Rassemblement national à la tête de l’État ? Du macronisme taille XXL ! Encore plus de chasse aux étrangers, de répression des écologistes et des mouvements sociaux, une liberté totale à une police raciste et brutale, le déni climatique, et la confortation d’un ordre social aux mains des milliardaires.

Que la gauche et les écologistes s’unissent, c’est tout. Qu’elles partent à la bataille ensemble, pour préserver la liberté, et projeter enfin la vision forte d’une société juste et populaire, d’un avenir qui ne serait pas voué au désastre écologique, mais s’éclaire au contraire de nouveaux modes de vie inspirés par la sobriété et la coopération. Une gauche unie sur des mots d’ordre clairs : taxer les riches, poser la justice comme condition de la paix sociale, et replacer la santé, l’éducation, les transports au cœur de la politique.

Soyons réalistes : il est peu probable qu’une gauche unie obtienne le 7 juillet la majorité. Il serait donc vain, pire, criminel, de s’écharper maintenant sur qui serait le ou la Première ministre. Mais il est vital à l’heure du danger de recréer une dynamique conquérante et joyeuse, pour au minimum constituer un bloc puissant à l’Assemblée nationale et rouvrir les portes d’un avenir désirable."


https://reporterre.net/Une-seule-solution-l-union

Le Réboussier a dit…

Merci !

Anonyme a dit…

"La secousse sismique est évidemment parvenue jusqu’en Occitanie. Au moment de l’annonce du Président Macron de dissoudre l’Assemblée nationale. Mais la première secousse tellurique, beaucoup plus attendue celle-là, était déjà parvenue en région dès 20 h et l’annonce des premiers résultats : Jordan Bardella arrivait en tête dans les treize départements d’Occitanie.

En 2019, il restait trois départements à résister à la vague RN : le Lot, l’Aveyron et la Haute-Garonne. Lors du précédent scrutin, la candidate Nathalie Loiseau avait réussi à limiter l’hégémonie du parti d’extrême droite. Un exploit que n’a pas réédité Valérie Hayer.

Le raz-de-marée se poursuit. Cette fois, Jordan Bardella réalise sans ciller le grand chelem même en Haute-Garonne où l’écart avec Raphaël Glucksmann est le plus faible. Paradoxalement, les grandes villes comme Montpellier et Toulouse continuent de placer les Insoumis en tête. Mais au global, les départements s’offrent au RN. La déferlante RN l’emporte, surtout si on additionne ses voix à celle de Reconquête !.

Le silence de la majorité présidentielle

4,3 millions d’électeurs occitans étaient appelés aux urnes. La liste de Jordan Bardella arrive largement en tête avec près de 35 % des voix. Les villes de Toulouse et Montpellier, dont les bureaux de vote ont fermé en dernier, à 20 h dimanche soir, n’ont rien changé à la vague.

Pour constater une surprise, il fallait donc regarder à la deuxième place. La liste PS de Raphaël Glucksmann dépasse assez largement la liste de la majorité présidentielle en Occitanie. Une grande satisfaction pour la présidente de Région Carole Delga mais aussi l’une de ses vice-présidentes, Claire Fita, élue nouvelle eurodéputée : "C’est une grande fierté mais l’heure est grave, souligne-t-elle. Le score du RN est beaucoup trop élevé. C’est un constat à la hauteur de l’échec du macronisme. Maintenant, il va falloir que la gauche arrive à rassembler au-delà des appareils."

"Macron aurait dû démissionner"

Côté majorité présidentielle, on restait particulièrement discret à l’heure de commenter des mauvais résultats et surtout les nouvelles élections législatives qui se profilent. Pourtant, il leur faudra batailler pour répondre au pari fou enclenché dimanche soir.

En quatrième position, la liste des Insoumis emmenée par Manon Aubry résiste plutôt bien "en dépit des hordes d’insultes dont on a fait l’objet", souligne le député LFI de l’Hérault Sébastien Rome. Lui note que la liste progresse par rapport à 2019, mais aussi que « le macronisme est mort, parce que les électeurs ont préféré l’original à la copie. Il est terminé. Maintenant, on repart en campagne. Il est étonnant d’ailleurs que le Président fasse porter la responsabilité de son échec à l’Assemblée nationale. Il aurait dû démissionner. Il va falloir un grand mouvement d’union à gauche, sinon, on ne sera pas à la hauteur de l’enjeu."
(…)


https://www.midilibre.fr/2024/06/10/la-region-devient-monochrome-en-occitanie-le-grand-chelem-de-jordan-bardella-pour-les-elections-europeennes-12005765.php

Anonyme a dit…

EUROPEENNES - A voté.
"Les résultats du scrutin des élections européennes de ce dimanche 9 juin sont tombés dans la nuit. Qui sont les 720 nouveaux députés européens ? Marqués par une poussée de l’extrême droite dans plusieurs pays, les résultats ont provoqué un séisme politique en France, sans pour autant bouleverser les grands équilibres à Bruxelles. Notre carte, dans l’attente des résultats complets pour l’Irlande, vous le montre.

Les résultats confirment une progression des droites nationalistes et radicales, et un revers cuisant pour les dirigeants des deux premières puissances de l’UE, le chancelier allemand Olaf Scholz et le président français Emmanuel Macron, qui a annoncé une dissolution de l’Assemblée française.

Ce scrutin, où plus de 360 millions d’électeurs étaient appelés aux urnes pour désigner 720 eurodéputés, s’est déroulé depuis jeudi dans un climat alourdi par une conjoncture économique morose et la guerre en Ukraine.

La « grande coalition » centriste de la droite (PPE), des sociaux-démocrates (S&D) et des centristes (Renew Europe), au sein de laquelle se forgent traditionnellement les compromis au Parlement européen, devrait conserver la majorité.

Découvrez ci-dessous notre carte des résultats compilés des 27 pays membres (dans l’attente des résultats complets pour l’Irlande) :
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https://www.huffingtonpost.fr/international/article/elections-europeennes-2024-les-resultats-pays-par-pays-compiles-dans-une-carte-clx1_235219.html

Anonyme a dit…

Dissolution : Macron le flambeur
Pure Politique



https://youtu.be/papgsBiidZg?si=Gi8BKWO1XqK3h0L_



Mais pourquoi Emmanuel Macron a-t-il décidé de dissoudre l’Assemblée nationale? Quel gain espère-t-il en retirer ? Et quelles sont les conséquences qui attendent le pays ? On en parle tout de suite dans ce numéro 84 de Pol’Express.

Journaliste : Serge Faubert
Images : Serge Faubert, Benjamin Danan
Édition : Maxime Hector

Anonyme a dit…

"On observe en France un rebond du Covid : 52% de passage en plus sur une semaine aux urgences et 51% chez SOS Médecins, selon Santé publique France. "En été, ce n'est pas une bonne nouvelle", alerte l'infectiologue Benjamin Davido sur franceinfo ce lundi."
(…)

"La première étape, c'est de se masquer"

À la veille de rendez-vous cruciaux en France, l'infectiologue alerte : "On a plusieurs échéances. La première, c'est celle des élections législatives. On va se retrouver quand même à faire la queue de façon un peu confinée dans des bureaux de vote, souligne-t-il. Surtout, dans moins de cinquante jours, on a les Jeux olympiques."

L'isolement des malades n'est pas obligatoire, les tests non plus, ce que regrette Benjamin Davido. "On aimerait bien que les choses soient pour le mieux contrôlées, avec ce risque infectieux [le Covid] parmi la rougeole et l'augmentation des cas de dengue." Les bons réflexes à réinstaurer selon lui : "La première étape, c'est de se masquer quand on est symptomatique, pour éviter de contaminer les gens." Il rappelle aussi les "bienfaits de la vaccination"."


https://www.francebleu.fr/infos/sante-sciences/rebond-du-covid-en-france-on-le-pensait-enterre-ce-n-est-pas-le-cas-alerte-un-infectiologue-4935409