vendredi 31 mai 2024

Le Point du matin – Feu vert de Biden à l’Ukraine, Trump coupable, et le groupe TF1 boycotté pa


10 commentaires:

Anonyme a dit…

"Y’a un sketch de Thomas ngijol jcrois il avait dit si Hitler était encore en vie à notre époque ça l’aurait normal invité à la télé"...

https://x.com/AUSECOUUUUURS/status/1796162247154135348

Anonyme a dit…

A là là
Benjamin est encore sous te traumatisme de la Shoah il réitère
Un peu comme un enfant violé qui devient un adulte pédophile

Anonyme a dit…

Le BOUCHER de GAZA à la TÉLÉ ! 😠 🇵🇸 (Netanyahu sur LCI)
Canard Réfractaire



https://youtu.be/09HoHFVDsrs?si=PgST8zQYka8xxwPV



Le journalisme français ira jusqu'au bout de sa déchéance...
Franchement ils ont osé donner la parole à ce malade mental ??






Anonyme a dit…

LESUEUR BAIGNE DANS LAMOTTE DU CONSERVATISME...

Un rapport publié ces derniers jours pointe le manque de diversité politique parmi les invités des médias publics. Et surtout sur France Inter, qui battrait tous les records d’impartialité.
Problème : les chiffres concernant cette station sont faux.

"C’est un rapport qui a fait le tour des médias conservateurs ces derniers jours. Titré «L’audiovisuel public français est-il pluraliste ?» ce document écrit par Jean-Thomas Lesueur et Aymeric de Lamotte, respectivement directeur et directeur général adjoint de l’institut libéral Thomas More, entend prouver que les chaînes de télé et radios financées sur deniers publics sont loin de refléter, sur leurs antennes, la diversité des opinions en France. A commencer par France Inter, auquel est consacré un chapitre, et qui serait très éloignée de ses obligations légales relatives au pluralisme des invités politiques.

Des règles qui imposent aux médias audiovisuels de consacrer, hors période électorale, un tiers du temps d’expression politique à l’exécutif, le reste devant être réparti entre tous les partis, dont la majorité, au prorata de leur poids politique, mesuré en fonction des résultats des élections et des sondages."


Etrange choix

"Pour cet exercice, les auteurs du rapport ont choisi, pour la mesure des invités politiques, le dernier trimestre 2023, et pour le poids politique, le premier tour des législatives de 2022. Selon eux, sur les trois derniers mois de 2023, France Inter, a accordé, hors exécutif, 50 % du temps de parole politique aux formations de gauche, alors que ces dernières n’ont rassemblé que 33,2 % des suffrages en juin 2022, et 10 % seulement du temps d’antenne."
(…)


https://www.liberation.fr/checknews/france-inter-les-erreurs-du-rapport-de-linstitut-thomas-more-qui-accuse-la-station-de-favoriser-la-gauche-20240601_BFOUTRWUAVC3HA7I4BGKAR2JT4/



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"Jean-Thomas Lesueur
Directeur général
Analyse de la politique française • Décentralisation, démocratie locale et société civile • Immigration et enjeux culturels et identitaires (France et Europe) • Avenir institutionnel et politique de l’Union européenne"

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"Aymeric s’est engagé très jeune en politique. Au niveau national, il participe à la création des Libéraux démocrates, en 2019, aux côtés du sénateur Alain Destexhe, afin de contribuer à l’émergence d’un courant libéral-conservateur dans le paysage politique belge. Il a aujourd’hui quitté le parti. Élu à 21 ans dans la commune bruxelloise de Woluwe-Saint-Pierre, il siège aujourd’hui en tant que conseiller communal indépendant, membre d’aucun parti.

Il écrit régulièrement dans la presse belge et française, notamment dans La Libre Belgique et Le Figaro. Aymeric est l’auteur d’un premier livre, un récit de voyage intitulé Tempête sur l’Aconcagua, qui sortira en mars 2022 aux éditions Transboréal.

Aymeric rejoint l’équipe de l’Institut Thomas More pour accélérer son développement et renforcer son influence et son rayonnement en Belgique."


https://institut-thomas-more.org/2024/05/24/laudiovisuel-public-francais-est-il-pluraliste/

Anonyme a dit…

"Cette réforme, qui vient d’être décidée par le gouvernement, « pénalise particulièrement les salariés mobilisés pendant les Jeux car elle pénalise tous ceux qui travaillent dans les secteurs d’emploi discontinus, notamment le tourisme, l’hôtellerie, la restauration, la sécurité », a déclaré Mme Binet. « S’ils décident de se mettre en grève parce que le mois de travail pendant les Jeux ne leur permet plus de vivre, parce que, derrière, ils n’ont plus accès à l’allocation-chômage à cause de la réforme du gouvernement, je ne vais pas leur donner tort », a-t-elle ajouté.

La nouvelle réforme de l’assurance-chômage, appelée à entrer en vigueur le 1er décembre, comprend notamment une durée d’indemnisation réduite à quinze mois, et la nécessité d’avoir travaillé huit mois (contre six mois actuellement) sur les vingt derniers mois pour être indemnisé. Seront donc particulièrement touchées, selon Sophie Binet, les personnes qui ont des contrats souvent saisonniers."
(…)


https://www.lemonde.fr/politique/article/2024/06/02/sophie-binet-n-exclut-pas-des-greves-contre-la-reforme-de-l-assurance-chomage-pendant-les-jo_6236913_823449.html

Anonyme a dit…

TOUSSAINT, LA NUPES EN VERSION AFFADIE !

"A une semaine de l’élection européenne, la tension est palpable à gauche, alors qu’une partie de l’électorat n’a pas encore arrêté son choix. Par estrades interposées, socialistes, « insoumis » et écologistes, en meeting ce week-end à Marseille, à Toulouse et à Paris, se sont affrontés, plus ou moins brutalement. Dimanche 2 juin, quelque 1 600 militants (selon les organisateurs) étaient venus applaudir leur candidate, Marie Toussaint, aux Docks d’Aubervilliers (Seine-Saint-Denis). En difficulté dans les sondages, la tête de liste écologiste, qui s’en est d’abord pris à son rival du Rassemblement national, Jordan Bardella, un « fasciste bien coiffé, avec des costumes ajustés, mais un fasciste quand même », n’a pu s’empêcher de cibler cette « gauche » qui reprend les idées écolos dans une « version affadie ». Elle a ensuite fait allusion à l’appel de sa rivale de La France insoumise (LFI), Manon Aubry, qui avait invité les électeurs écologistes à reporter leurs voix sur la liste « insoumise ». « Avec des amies comme elle, pas besoin d’ennemis », a-t-elle commenté, considérant que « la guerre des gauches est une erreur ». Car, après le 9 juin, il faudra bien se « retrouver », mais ne surtout pas chercher à jouer « l’hégémonie ».

Un avertissement qui s’adresse aussi bien au leader de LFI, Jean-Luc Mélenchon, qu’au candidat de Place Publique et du Parti socialiste (PS), Raphaël Glucksmann. Ce dernier a proclamé que cette élection devait « trancher les lignes », autrement dit redéfinir le centre de gravité de la gauche post-présidentielle de 2022, quand LFI avait pris la tête de la Nouvelle Union populaire écologique et sociale (Nupes), rompue au moment des massacres du Hamas en Israël le 7 octobre 2023. Quasiment au même moment, dimanche, le candidat du Parti communiste français, Léon Deffontaines, rejetait depuis Marseille les deux gauches, avec d’un côté, « celle de [l’ancien président de la République (2012-2017)] François Hollande, la gauche libérale qui a tourné le dos aux travailleurs », et de l’autre, « la gauche outrancière qui cherche à diviser ». Visant ainsi d’un côté Raphaël Glucksmann, soutenu par l’ancien dirigeant socialiste, et de l’autre, LFI.

Mais la principale passe d’armes avait eu lieu la veille. En meeting à Toulouse, la « ville rouge » où le mouvement est en terrain conquis, LFI a livré une nouvelle charge contre la liste socialiste, qui domine la gauche dans les sondages. Privée d’un grand rassemblement en plein air après un cafouillage avec les services de la préfecture, l’organisation s’était repliée sur le centre de congrès Pierre-Baudis. « A défaut de réveiller l’Europe, comme le dit leur slogan de campagne, Raphaël Glucksmann aura au moins réveillé le fantôme de François Hollande », a fustigé Manon Aubry devant quelque 3 000 personnes, selon le mouvement. Elle a aussi renvoyé l’eurodéputé au « bilan » de l’ancien président et ses mesures phares, comme « le CICE [crédit d’impôt pour la compétitivité et l’emploi], la déchéance de nationalité, les cadeaux fiscaux aux plus grandes entreprises, la loi travail ». Ironie du week-end, vingt-quatre heures plus tard, Aurore Bergé, ministre chargée de l’égalité entre les hommes et les femmes, considérait sur Radio J qu’au contraire, le « vote Glucksmann, c’est de fait un vote Nupes », dont Manon Aubry continue de défendre le programme."
(…)


https://www.lemonde.fr/politique/article/2024/06/03/elections-europeennes-2024-la-gauche-regle-ses-comptes-par-estrades-interposees_6236963_823448.html

Anonyme a dit…

ATTAL À LE MANSPLAINING DU CONCIERGE !

"Les femmes ne sont pas des paillassons"

"Lors de son passage en interview quelques minutes plus tard, François-Xavier Bellamy, tête de liste Les Républicains, a vu dans l'intervention de Gabriel Attal une forme de "mépris" : "La moindre des choses, c'est de laisser la candidate faire campagne". François-Xavier Bellamy pointe une "confusion des rôles" avec "un exécutif qui passe son temps à saturer l'espace médiatique". Et il conteste la prise de parole d'Emmanuel Macron prévue jeudi "à 24 heures de la fin de la campagne". Marie Toussaint, tête de liste Les Ecologistes, elle aussi conviée à s'exprimer dans le cadre de "Demain l'Europe", a souhaité faire part de sa "colère", rappelant que "les femmes ne sont pas des paillassons". "On a le sentiment qu'ils ont envoyé Valérie Hayer mener une bataille qu'aucun d'entre eux n'avait le courage de mener, estime-t-elle. Le Premier ministre a le droit de la soutenir, mais c'est une chose de la soutenir, et c'est une chose de l'invisibiliser." La candidate de la France insoumise Manon Aubry a associé cette intervention au "mansplaining", terme qui définit une explication donnée par un homme à une femme sur un ton paternaliste ou condescendant."


https://www.francetvinfo.fr/elections/europeennes/video-europeennes-2024-quand-gabriel-attal-s-invite-dans-une-interview-de-valerie-hayer-pour-soutenir-la-tete-de-liste-renaissance_6581865.html

Anonyme a dit…

Au moins 10 255 radiations à Toulouse

"Selon Aymeric Chouquet, assistant parlementaire du député de la 4e circonscription de la Haute-Garonne François Piquemal, « Jean-Luc Mélenchon s’est basé sur les statistiques recueillies auprès de la préfecture des Bouches-du-Rhône où 17 274 radiations » ont été constatées le mois dernier. Pour la ville de Toulouse, ce sont pas moins de « 10 255 radiations qui ont été enregistrées », confie la conseillère municipale d’opposition (LFI) de Toulouse Agathe Roby. Elle assure se baser sur les chiffres de la commission de contrôle des élections dans laquelle siègent élus de la majorité et de l’opposition."
(…)


https://www.ladepeche.fr/2024/06/03/elections-europeennes-2024-toulouse-apres-la-mise-en-garde-de-jean-luc-melenchon-lfi-constate-plus-de-10-000-radiations-sur-les-listes-electorales-11992180.php

Anonyme a dit…

MANSPLAINING : ENTRE SUFFISANCE ET CON-DESCENDANCE !...

"La question serait entendue : c’est parce que Valérie Hayer n’imprime pas que la liste Renaissance est créditée d’environ 16 % des voix dans les intentions de vote. Loin de nous l’idée d’affirmer que les Français et les observateurs de la campagne seraient injustement passés à côté du charisme de cette tête de liste par défaut. Mais il faut surtout se rendre à l’évidence, les vrais boulets de la liste Renaissance sont Gabriel Attal et Emmanuel Macron. Et leur omniprésence dans la dernière ligne droite de la campagne a plutôt tendance à mobiliser contre eux les Français qui ne peuvent plus les voir en peinture qu’à battre le rappel du noyau électoral macroniste."
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https://www.liberation.fr/politique/elections-europeennes-2024-valerie-hayer-humiliee-par-gabriel-attal-lillustration-du-melon-au-sommet-de-letat-20240603_YAOKFOXGDZE55CW6E62ZH3LVWM/

Anonyme a dit…

"Dans quelques jours, cela fera exactement huit mois qu’Hassan et sa famille ont quitté leurs terres. Il se souvient parfaitement de cette journée où tout a basculé, faisant passer son statut d’agriculteur à celui de réfugié, de déplacé, mais surtout à celui de rescapé. En cette journée du 14 octobre 2023, l’olivaison battait son plein. Hassan et sa famille s’empressaient de mettre à nu son millier d’oliviers répartis sur ses cinq hectares. La rente de cette récolte devait lui assurer quelques mois de survie dans le sud d’un Liban touché par une crise économique sans précédent.

L’agriculteur s’écorchait les mains sur les épines de ses arbres quand plusieurs lourdes détonations lui ont coupé le souffle. En quelques secondes, de longs tentacules blancs aux extrémités en feu se sont dessinés dans le ciel. Les traînées de fumée ont rapidement défilé sous ses yeux, avant de s’abattre en silence sur son village de Meiss El Jabal, à un kilomètre à peine de la frontière avec Israël."
(…)


https://www.marianne.net/monde/proche-orient/ils-s-attaquent-a-ce-que-j-ai-de-plus-precieux-des-bombes-au-phosphore-blanc-utilisees-par-tsahal-au-sud-liban