mercredi 6 juin 2018

ENVIE DE PEINDRE ?


Bonjour,

Un concours de peinture ou de dessin (ou de macramé, ou de ce que vous voulez...) le 17 juin à Tornac
Un seul impératif : représenter tout ou partie du château.

mardi 5 juin 2018

Réforme de l’audiovisuel : nouvelles menaces sur la liberté d’expression ? | Contrepoints

Réforme de l'audiovisuel : nouvelles menaces sur la liberté d'expression ? | Contrepoints

Réforme de l'audiovisuel : nouvelles menaces sur la liberté d'expression ?

Par Frédéric Mas.

Françoise Nyssen a dévoilé ce lundi à la presse son projet de réforme de l'audiovisuel public, qui a étonné certains observateurs par sa tonalité « engagée ». Alors que le gouvernement prévoyait la réduction du budget alloué à un secteur très largement décrié et en perte de vitesse, le ministre a fait état de certaines propositions pour le moins déconcertantes, ce qui peut susciter l'interrogation sur les véritables motivations de cette opération de communication politique du gouvernement Macron.

Cet article pourrait vous interesser

En effet, Madame Nyssen a déclaré que le pays des Lumières, sur le sujet de la diversité, était « hautement réactionnaire ». Jouant la connivence avec Delphine Ernotte, la présidente de France Télévisions, la représentante de l'exécutif a clairement désigné l'ennemi, le « mâle blanc de plus de 50 ans », qui devra ainsi s'effacer pour laisser plus de visibilité aux minorités jusqu'à présent trop peu présentes dans les médias. Cette déclaration sur les « mâles blancs » n'est pas sans rappeler celle récente d'Emmanuel Macron à propos du Plan Borloo, et laisse entrevoir quel type d'engagement contre lesfake news le gouvernement Macron présentera aux Français.

Le mâle blanc désigné comme ennemi

Comme le notait le politologue Laurent Bouvet l'expression « mâle blanc » est un produit d'importation d'origine américaine1, qui désigne les hommes qui n'ont pas d'origine ethno-raciale minoritaire spécifique, et qui sont considérés comme majoritaires.

Le terme a bien entendu une connotation péjorative. Il est l'homme qui représente le monde d'hier, le conservateur attaché aux hiérarchies et aux injustices faites aux minorités sexuelles ou raciales, qu'il s'agit d'éradiquer pour atteindre la véritable égalité ou plutôt l'inclusion parfaite.

Comme l'explique Laurent Bouvet :

Le « mâle blanc » a ainsi peu à peu remplacé dans l'imaginaire commun des luttes identitaires depuis les années 1970-80, le bourgeois, le capitaliste, l'exploiteur… qui incarnaient les figures à abattre des luttes sociales depuis le XIXème siècle. Cette évolution s'est faite, politiquement, principalement par la gauche même si l'on retrouve toute une rhétorique symétrique et opposée, à droite, à l'extrême-droite en particulier, de défense de l'identité blanche et de la virilité.

Le mâle blanc est la fiction collectiviste qui sert aujourd'hui à la nouvelle gauche pour se présenter comme radicalement réformiste sur les campus, dans les grands médias et les entreprises de pointe.

L'idiome progressiste

L'exécutif reprend ainsi l'idiome moral progressiste et désigne clairement où vont ses allégeances dans la guerre culturelle qui est en train de se mener partout en Occident, et dont la première des victimes est la liberté. Depuis maintenant l'élection de Donald Trump et le Brexit, la cassure s'est accentuée entre le peuple et ses élites, les réactions populistes et ses réponses élitaires ou technocratiques, crispant l'une comme l'autre partie jusqu'à mettre en danger les démocraties libérales et l'Union européenne.

Si du point de vue d'une grande partie des populations, la défiance règne envers les dirigeants, l'inverse est également vrai : le propos de Françoise Nyssen sur la nécessité de « changer les mentalités » témoigne aussi de cette peur des gouvernants pour ce que Thomas Hobbes appelait « multitude », cette foule d'individus incontrôlables qui n'est pas encore totalement sortie de l'état de nature – et de la barbarie – et qu'il faut cornaquer pour la transformer en un peuple, ce sujet politique docile et disponible aux politiques publiques radieuses proposées par les gouvernants.

Ici, changer les mentalités signifie adopter la rhétorique racialiste et victimaire de la gauche post-moderne qui sévit sur les campus et dans certaines franges médiatiques, culturelles et politiques dominantes.

Et si on faisait confiance au marché ?

Reste à déterminer si cette saillie contre les hommes blancs ne vise pas, un peu comme les déclarations parfois tonitruantes de madame Schiappa dans ce gouvernement, ou celles de Frédéric Lefebvre dans celui de Sarkozy, à détourner l'attention des vrais problèmes. Dans le domaine de l'information et la communication en France, il y en a au moins trois.

Premièrement, ne s'agirait-il pas de susciter l'émotion et la colère pour détourner l'attention sur l'absence de réforme réelle dans le domaine de l'audiovisuel public ? Tout le monde attendait la réduction du train de vie de ces médias en déclin, rien n'a vraiment été proposé de révolutionnaire.

Deuxièmement, en matière d'information, pourquoi ne pas faire confiance au marché, et laisser les individus choisir ce qui leur convient sans recours à un paternalisme étatique qui est aux antipodes de l'esprit du libéralisme ? Bien entendu, la réponse qui pourra être avancée est connue : les citoyens français, ces incapables majeurs, sont distraits par les fausses nouvelles, le complotisme, les médias étrangers qui nous endoctrinent.

Mais dans ce cas, nous arrivons au troisième problème : mettre des millions dans une plateforme de rééducation idéologique assez peu soucieuse de la neutralité du service public n'est-il pas une manière de poser un paravent commode devant l'échec à intégrer et former de l'Éducation nationale ? Il y a fort à parier que ces questions resteront sans réponses.

  1. Il s'agit même d'une traduction littérale, qui n'a pas de sens en français.

Hulot annonce 100 millions d’euros pour l’hydrogène

Hulot annonce 100 millions d'euros pour l'hydrogène

Hulot annonce 100 millions d'euros pour l'hydrogène

Adobestock

Le ministre de la Transition écologique, Nicolas Hulot, doit annoncer le lancement d'un plan visant à développer la filière hydrogène ce 1er juin. Mais il a déjà dévoilé une partie de ces mesures hier. Où en est-on aujourd'hui du développement de la mobilité hydrogène dans les flottes des collectivités ? Qu'attendent les acteurs de ce plan ?

Interrogé à l'Assemblée nationale mercredi 30 mai lors des questions au gouvernement, Nicolas Hulot a déclaré que l'hydrogène jouera un rôle important dans la transition énergétique. « C'est une révolution potentielle. Le plan pour l'hydrogène que je présenterai ce 1er juin vise à faire de la France un leader mondial dans ce secteur. J'ai décidé de mobiliser 100 millions d'euros pour accompagner les premiers déploiements de cette technologie dans les territoires » a annoncé le ministre de la Transition écologique, sous les applaudissements nourris des députés.

Montée en puissance dans les territoires

Depuis le projet Trifyl dans le Tarn, dont le pilote a été inauguré en 2014, jusqu'au lancement des vélos à hydrogène (Bhyke) dans la Manche cette année, de nombreuses collectivités se sont ...

dimanche 3 juin 2018

Crise budgétaire ou monétisation de la dette américaine ? | Contrepoints

Crise budgétaire ou monétisation de la dette américaine ? | Contrepoints

Crise budgétaire ou monétisation de la dette américaine ?

Par Nicolas Perrin.

La Fed projette de diviser son bilan par deux d'ici 2022 et la demande étrangère est « en grève » depuis quatre ans. Les autorités comptent sur les particuliers pour souscrire à la dette américaine.

Est-ce réaliste ?

Soutenabilité de la dette américaine

Les auteurs des différentes analyses sur la soutenabilité de la dette américaine s'accordent sur un point : si la Fed diminue la taille de son bilan, toute cette dette ne pourra pas être écoulée sans solliciter les particuliers.

Voici la conclusion que font Hamilton et le blog Economica :

Il reste donc au public national à acheter l'ensemble des nouvelles émissions (en croissance) de dette, ainsi que la part qu'est en train de laisser tomber la Fed (et, bientôt, les participations intra gouvernementales) […], et ce avec peu ou pas d'aide des étrangers (avec même la possibilité que leur grève se transforme en liquidation pure et simple !?!).

Le public national détient actuellement environ 6 000 milliards de dollars en dette du Trésor et devra acheter annuellement plus de 1 500 milliards de dollars (indéfiniment) pour absorber le rachat de la dette que la Fed laisse tomber et les nouvelles émissions.

Si le public le fait 'de son plein gré' à des taux d'intérêt bas, cela représentera 7,5% du PIB qui se dirigeront vers les achats de bons du Trésor dont les rendements sont bien inférieurs à ce qu'ils devraient être.

C'est également le scénario sur lequel tablaient les experts du Congressional Budget Office (CBO) au mois de mars.

Ces fonctionnaires verraient bien les particuliers détenir à nouveau autant de dette publique que… hé bien après la Seconde Guerre mondiale !

Les choses évoluent d'ailleurs déjà dans cette direction, puisque comme le fait remarquer Deutsche Bank, la dette publique américaine détenue par les particuliers a triplé en 10 ans.

D'accord, me direz-vous, mais quid si l'épargnant américain refuse de continuer à placer son épargne dans la dette américaine publique ? Car après tout, certains analystes, notamment chez Bank of America, commencent à s'interroger sur le statut de valeur refuge des bons du Trésor US

Si les particuliers américains se mettaient eux aussi en grève ?

Voici ce qu'en dit Hamilton :

Si le public ne le fait pas 'de son plein gré', les taux d'intérêt vont s'envoler beaucoup plus haut que ce que ce que nous avons montré précédemment (4%), et les États-Unis seront submergés par le service de la dette.

La seule autre option est que la Réserve fédérale fasse demi-tour et relance le QE pour ouvertement s'engager dans une monétisation sans fin.

Y a-t-il une lueur au bout du tunnel ? Qu'est-ce qui pourrait maintenir les taux longs à la baisse ?

C'est la question que s'est posée Natixis dans un Flash Économie en date du 25 avril. Pour la banque, il y a certes « normalisation monétaire progressive aux États-Unis et dans la Zone euro », mais il ne faut pas oublier qu'un certain nombre de forces vont maintenir les taux vers le bas : « l'aversion pour le risque a remonté ; la liquidité mondiale est en croissance rapide ; la croissance potentielle en volume est faible ; l'inflation reste faible ; la croissance a passé son pic ».

« Tout ceci plaidant pour une hausse lente et faible des taux d'intérêt à long terme », Natixis juge qu'il n'y aura « certainement pas une remontée forte des taux d'intérêt à long terme ».

Voilà donc un scénario diamétralement opposé à ceux que nous venons de passer en revue.

En cas de problème, la Fed réagira comme elle l'a toujours fait par le passé

À titre personnel, je penche plutôt pour un dénouement tel que l'envisage ZeroHedge :

Le point culminant et le résultat de ces processus est une crise budgétaire et de la dette souveraine… à moins que la Fed ne monétise à nouveau le déficit comme elle l'a fait sur la période 2009-2015, ce qui fera plonger les taux au fur et à mesure que le prochain et dernier épisode de QE sera dévoilé. Ce qui est d'ailleurs (…) la raison pour laquelle Goldman commence déjà à charger sa remorque avec tous les bons du Trésor qu'il peut acheter.

Quant au déclenchement de l' « option nucléaire » par les étrangers, c'est-à-dire la vente des stocks de bons du Trésor :

La question est alors de savoir si la Fed laissera tomber les faux-semblants de reprise économique et fera ce qu'elle a toujours fait face à un problème insurmontable de flux de capitaux américains : déclencher le QE et monétiser le déficit. En d'autres termes, alors qu'il reste à vérifier qu'en représailles les étrangers se dessaisiraient bien des bons du Trésor américains, il est aujourd'hui certain que le sort de l'administration Trump est entre les mains de la Réserve fédérale.

C'est sans doute pourquoi les positions spéculatives vendeuses des traders n'ont jamais été aussi élevées sur le 10 ans US, comme en témoigne ce graphique en date du 28 avril (1,1 million de contrats futures).

Source ZeroHedge

Vous voilà prévenus !

Pour plus d'informations, c'est ici.

Logement : les députés mettent fin à l'obligation de rendre 100% des logements accessibles aux handicapés

Logement : les députés mettent fin à l'obligation de rendre 100% des logements accessibles aux handicapés

Logement : les députés mettent fin à l'obligation de rendre 100% des logements accessibles aux handicapés

Le projet de loi, adopté par les députés, a suscité de nombreuses critiques à gauche comme à droite.

Photo de l\'Assemblée nationale, le 16 janvier 2018. 
Photo de l'Assemblée nationale, le 16 janvier 2018.  (S.CAILLET / AFP)

Les députés ont voté une baisse drastique des logements accessibles aux handicapés. Malgré des critiques de la droite et de la gauche, l'Assemblée nationale a adopté, vendredi 1 juin, le projet de loi "Elan", qui fait passer de 100% à 10% la part de logements accessibles aux personnes handicapées dans la construction neuve. Les 90% restants devant être "évolutifs".

Face aux critiques, Julien de Normandie a tenté de se justifier. "Le gouvernement est pleinement mobilisé" pour "la société d'inclusion" et la plupart des logements pourront évoluer tout au long de la vie via des travaux simples, en cas d'accident ou avec le vieillissement notamment, a justifié le secrétaire d'Etat auprès du ministre chargé de la Cohésion des territoires.

Une "grave régression sociale" selon les associations

Les associations représentant les personnes en situation de handicap ont dénoncé une "grave régression sociale". Plusieurs élus de droite et la gauche de la gauche ont relayé ces inquiétudes dans l'hémicycle et cherché en vain à faire supprimer la mesure. Constance Le Grip, députée Les Républicains des Hauts-de-Seine a pointé "une marche arrière sur le principe d'accessibilité universelle". De son côté, Emmanuelle Ménard, députée d'extrême droite, a aussi déploré un "signal extrêmement négatif".

A l'inverse, Jean-Christophe Lagarde, coprésident des députés UDI-Agir-Indépendants, s'est félicité du rétablissement d'un "équilibre" car le 100% accessible était un "excès" selon lui. Roland Lescure, le président LREM de la commission des Affaires économiques, a défendu le passage "de la taille unique au sur-mesure".

samedi 2 juin 2018

RGPD
réglementation européenne pour la protection des données

RGPD
réglementation européenne pour la protection des données

Depuis l 'application de ces directives je ne reçois plus d' avis par mail pour modérer les commentaires
C'est très bizarre
Je dois aller dans la gestion du site pour vérifier si il y a des commentaires à modérer
Ce que je ne peux pas faire à partir de mon tel.
D' ou plus de lenteur …!?

J'espère que ce dysfonctionnement ne sera que passager

Le rebenchef



Envoyé de mon iPad

vendredi 1 juin 2018

un peu d'humour..!!!!!!!



Envoyé par ELTON

JE Pensées profondes

Quelques bonnes…..

      

 

 

     

 

 

    

 

 

      

 

       

 

      

 

        

 

      



Alien eolienne

Abandon par valéco du projet éolien de MARUEJOLS LES GARDON

En voilà une bonne chose si personne ne reprends derrière
Mais :
Il faut refaire tous les baux emphytéotiques …
Et régler les conflits d’intérêts Maire et 7 conseillés 

Ca fait pas mal de chose à régler !
Plus le PLU bien sûr !

ALÈS Les habitants deviennent acteurs de leur sécurité - Objectif Gard

ALÈS Les habitants deviennent acteurs de leur sécurité - Objectif Gard

ALÈS Les habitants deviennent acteurs de leur sécurité

Didier Lauga et Max Roustan ont signé un protocole de participation citoyenne pour la ville d'Alès (Photo Élodie Boschet/Objectif Gard)

Le maire d'Alès, Max Roustan, et le préfet du Gard, Didier Lauga, ont signé ce mercredi un protocole de participation citoyenne. Le 48e du département. Ce dispositif associe les habitants à la lutte contre la délinquance.

Répartis aux quatre coins de la ville, une quarantaine d'habitants se sont déjà portés volontaires pour devenir « référent sécurité » de leur quartier. Si leur dossier est retenu, ces femmes et ces hommes participeront à la protection et à la sécurité de leur environnement pour tenter d'enrayer les phénomènes de délinquance, et notamment les cambriolages. « On ne leur demande pas d'intervenir, mais simplement d'être attentif à ce qu'il se passe autour de chez eux », explique le préfet, Didier Lauga. Ces référents, qui bénéficieront d'une petite formation, seront tenus d'informer les forces de l'ordre de tout fait suspect.

« L'objectif, poursuit Max Roustan, c'est d'atteindre la sécurité au quotidien pour tous les Alésiens. » Les efforts de la Ville dans ce domaine sont déjà « considérables », selon le préfet du Gard qui cite la mise en place de la vidéoprotection et la forte mobilisation des policiers municipaux pendant la feria. « La sécurité est du rôle de l'État mais elle doit être co-produite », ajoute Didier Lauga. Et avec la signature de ce 48ème protocole dans le Gard, les citoyens alésiens ont désormais leur rôle à jouer.

Élodie BOSCHET

mercredi 30 mai 2018

VIDEO. "Macron, il ne peut pas être impunément violent. Il l’est, violent.", le coup de colère de Benoît Hamon

VIDEO. "Macron, il ne peut pas être impunément violent. Il l'est, violent.", le coup de colère de Benoît Hamon

VIDEO. "Macron, il ne peut pas être impunément violent. Il l'est, violent.", le coup de colère de Benoît Hamon

Benoît Hamon défilait le samedi 26 mai lors de la "marée populaire". Il s'en est pris à la politique d'Emmanuel Macron. Avec virulence.

"Ils enfoncent des grands coups de poignard dans la vie quotidienne des gens et après ils font les vierges effarouchées quand ça pique un peu"', a martelé l'ancien candidat socialiste à la présidentielle. Le fondateur du mouvement Générations a critiqué, sans concession, la politique d'Emmanuel Macron. "Qu'est-ce que c'est que le spectacle d'une photo ou d'un poster de Macron caricaturé par des manifestants (…) par rapport à un réfugié qui voudrait le droit d'asile et qui se fait marcher dessus par des gens qui ne respectent même plus les droits fondamentaux de la République ?", a jugé Benoît Hamon.

"Une forme d'indifférence aux inégalités et à la pauvreté"

L'ancien candidat socialiste a également pointé l'indifférence du chef de l'État face aux difficultés que rencontrent certains Français. "Moi, je ne justifie aucune violence en réponse mais sa violence à lui, elle est frappante, parce qu'elle ignore…", a-t-il lancé. Selon lui, la politique de Macron "marque une forme d'indifférence aux inégalités et à la pauvreté".

"Il en vient à mépriser la protestation des gens (…), mais ils n'ont parfois plus que ça, leur voix, leurs amygdales, pour crier et dire  : 'On en a marre'", a également déclaré Benoît Hamon.

"Et même ça, Macron dit : 'Mais non, non, moi je sais ce qui est bien pour vous. Dormez, braves gens, je m'occupe de vous.'", a-t-il conclu.

PauvreMamoudou.jpg

Alès Agglo : pour tout savoir sur le projet de territoire

Alès Agglo : pour tout savoir sur le projet de territoire

Alès Agglo : pour tout savoir sur le projet de territoire

Alès Agglo : pour tout savoir sur le projet de territoire
Le territoire est au cœur des préoccupations.

a. b.

Voté à l'unanimité en novembre 2013, le premier projet de territoire d'Alès Agglomération, dans sa version 50 communes, a été remanié pour coller aux réalités de la communauté d'agglo à 73 municipalités. Après 18 réunions étalées sur six mois, une commission d'élus, sous la houlette de la conseillère communautaire Ghislaine Soulet, a dégagé trois axes stratégiques : favoriser l'emploi et les activités économiques, améliorer la qualité de vie et développer les solidarités territoriales et sociétales. Des axes qui ont été déclinés en plusieurs orientations, d'où découle un programme d'actions détaillé.

LIRE AUSSI - Alès Agglo : depuis la fusion, une année de réunions

Avant le vote, prévu lors de l'audience publique d'Alès Agglomération du 28 juin, ce projet de territoire est actuellement présenté aux administrés, lors de réunions publiques. La première s'est déroulée ce lundi soir, à Anduze. Les trois prochaines auront toutes lieu à 18 heures : ce mercredi, dans la salle Shoya du pôle mécanique d'Alès ; ce jeudi, dans la salle polyvalente du Chambon ; et lundi 7 juin, au sein de la cave coopérative de Saint-Maurice-de-Cazevieille. L'entrée est libre, pour tous.