Albert Einstein a dit : le monde est dangereux à vivre, Non pas à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire
mercredi 10 mars 2021
Alerte ROUGE : ils nous refont le coup de la chloroquine !
Big Pharma est en train d'enterrer méthodiquement la très efficace ivermectine
Cher(e) ami(e) de la Santé,
Si vous pensez encore qu'il n'y a pas de « complot » sur les traitements contre la Covid-19, lisez bien ce qui suit.
Il y a quelques jours, Emmanuel Macron a fait autoriser la prescription d'un médicament « innovant » à plus de 1 000 euros le traitement.
Ce médicament, appelé bamlanivimab, est très controversé :
- Il n'a même pas passé la phase 2 des expérimentations (normalement un médicament doit avoir passé la phase 3 pour être autorisé) ;
- Les tests préliminaires ne montrent pas d'efficacité probante… et on sait déjà que ce médicament sera inefficace contre les nouveaux variants ;
- Il doit être prescrit à l'hôpital, donc bien après le début des symptômes, alors qu'il n'a de chances d'être efficace qu'au début de l'infection ;
- Et pour couronner le tout, c'est le genre de médicament qui favorise l'apparition de nouveaux variants[1].
Bref, il n'y a vraiment aucune bonne raison d'accorder une « autorisation temporaire d'utilisation » à ce médicament.
Mais c'est pourtant ce que vient de faire l'Agence du Médicament.
« Une autorisation temporaire d'utilisation délivrée sur un niveau de preuve aussi faible, c'est probablement du jamais-vu »[2], a déclaré le Pr Mathieu Molimard, chef de service de pharmacologie clinique au CHU de Bordeaux.
Alors pourquoi avoir fait une chose pareille ?
Pour une seule raison : il y a derrière ce médicament un Big Pharma au lobbying puissant, le laboratoire Eli Lilly.
Les grands laboratoires comme Eli Lilly ont des relais chez les « grands pontes » de la médecine, les politiques et les hauts fonctionnaires bien placés.
Généralement, on ne sait pas trop qui a corrompu qui, qui a influencé qui.
Mais ici, on en a appris de belles !
Figurez-vous que parmi les grands directeurs du laboratoire Eli Lilly, on trouve une certaine Béatrice Cazeneuve.
Or, tenez-vous bien[3] :
- Son mari, Jean-René Cazeneuve, est député LREM, le parti d'Emmanuel Macron ;
- Son fils, Pierre Cazeneuve, est conseiller technique à l'Elysée ;
- Sa fille, Marguerite Cazeneuve, était cheffe du pôle santé, solidarités et protection sociale auprès du Premier ministre Jean Castex.
Comme cela a été résumé sur twitter :
« Donc le médicament miracle identifié par Macron qui ne marche pas (1) est commercialisé par Eli Lilly, dont la directrice des nouveaux produits France (2) est l'épouse d'un député LREM (3), la mère de l'adjoint au chef de cabinet de l'Élysée (4) et de sa conseillère santé (5). » [4]
Et comme si cela ne suffisait pas, le mari de la fille, Marguerite Cazeneuve, est le très influent patron de l'agence régionale de santé (ARS) d'Ile-de-France !!
Et voilà comment un médicament à 1 000 euros, inefficace et risqué a été approuvé par nos autorités.
C'est honteux.
Mais ce qui est beaucoup plus grave, c'est que ce sont les mêmes autorités qui bloquent un traitement pas cher, qui sauve des vies.
Etc…………
Pouvez-vous vous faire vacciner ?
Pour mieux vous y retrouver dans la stratégie vaccinale, après de nombreux changements et mises à jour, voici un tableau reprenant les différentes infos ainsi qu'un déroulé chronologique de comment ça a évolué en France.
Bonjour .
Pour mieux vous y retrouver dans la stratégie vaccinale, après de nombreux changements et mises à jour, voici un tableau reprenant les différentes infos ainsi qu'un déroulé chronologique de comment ça a évolué en France.
Dates passées :
27 décembre 2020 : Les résidents des Ehpad et des unités de soins de longue durée peuvent se faire inoculer le vaccin Pfizer-BioNTech.
5 janvier 2021 : Les infirmiers sont autorisés à vacciner, en plus des médecins.
8 janvier 2021 : Le vaccin Moderna est autorisé.
18 janvier 2021 : L'ensemble des personnes à très haut risque peuvent se faire vacciner.
D'autre part, l'ensemble des plus de 75 ans peuvent se faire vacciner.
19 février 2021 : Le vaccin AstraZeneca est autorisé pour les 50-64 ans à très haut-risque.
25 février 2021 : Les médecins généralistes et les pharmaciens peuvent inoculer le vaccin AstraZeneca.
1er mars 2021 : Les 65-75 ans à très haut risque peuvent se faire inoculer le vaccin AstraZeneca.
2 mars 2021 : Les plus de 75 ans peuvent se faire inoculer le vaccin AstraZeneca.
8 mars 2021 : Au total, 3,9 millions de Français ont reçu au moins une dose de vaccin, soit 5,9 % de la population totale.
Dates à venir :
Fin mars : L'objectif est que les deux tiers des plus de 75 ans aient pu recevoir au moins une dose de vaccin.
Début avril : Possible début de l'extension de la campagne vaccinale à tous les plus de 65 ans.
Mi mai : L'objectif est que tous les plus de 50 ans aient pu se voir proposer une première dose.
Fin août : L'objectif est que tous les Français aient pu se voir proposer une première dose.
Note du réboussier :
Ne vous fiez pas au cinéma des vaccinations de ces derniers jours , il ne s’agissait que d’ écouler les doses Astra-Zénéca que les soignants ne voulaient pas .
les rdv sont toujours presque impossibles à prendre pour les + de 75 ans n’ en parlons pas pour les autres
Ne vous inquiétez pas vous ne serez pas vaccinés demain ou alors avec des restes hors services
mardi 9 mars 2021
Difficile d’imaginer faire un “burn-out” dans ces conditions.
Anonyme a ajouté un nouveau commentaire sur votre article "Gard : 70% des communes concernées d'accord pour u..." :
"Récemment mise à l'honneur dans le long-métrage Antoinette dans les Cévennes, sélectionné pour les César 2021, la beauté du parc national des Cévennes n'est plus à présenter.
Dans ce décor de film, des hommes et des femmes travaillent. Passionnés par leur métier, les agents du parc national parcourent quotidiennement des paysages somptueux. Difficile d'imaginer faire un "burn-out" dans ces conditions. Et pourtant, depuis une dizaine d'années, la réduction des effectifs affecte le bien-être de ces agents, mais aussi leur capacité à accomplir correctement leur mission."
Au-delà de la carte postale, l'enjeu des effectifs
(...)
https://france3-regions.francetvinfo.fr/occitanie/parc-national-des-cevennes-les-conditions-de-travail-des-agents-se-degradent-1985062.html