Albert Einstein a dit : le monde est dangereux à vivre, Non pas à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire
vendredi 25 octobre 2019
Pour la présidente du groupe PS, Valérie Rabault, le gouvernement fait peser «sur le mouvement des gilets jaunes, le futur déficit de la sécurité sociale». (...)
Anonyme a ajouté un nouveau commentaire sur votre article "Le Média vient de mettre une vidéo en ligne" :
«D'une certaine façon, vous faites payer aux gilets jaunes ce que vous leur avez donné il y a quelques mois», a fait valoir le député LR Philippe Gosselin dans l'hémicycle, repris en écho par le communiste Sébastien Jumel. «Vous faites peser sur le peuple le poids de vos propres turpitudes», a dénoncé ce dernier, s'adressant à la ministre de la Santé, Agnès Buzyn. Pour la présidente du groupe PS, Valérie Rabault, le gouvernement fait peser «sur le mouvement des gilets jaunes, le futur déficit de la sécurité sociale». (...)
https://www.liberation.fr/france/2019/10/23/le-cout-des-mesures-gilets-jaunes-sera-bien-supporte-par-la-secu_1759231
jeudi 24 octobre 2019
mercredi 23 octobre 2019
Pourquoi la situation pourrait se tendre
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Pourquoi la situation pourrait se tendre pour Macron à la Réunion
Le Président, aujourd'hui, dans l'avion le menant aux îles Glorieuses, avant son arrivée à la Réunion. (Sipa)
Jusqu'à vendredi, Emmanuel Macron est en visite à la Réunion, où il est accueilli... par une grêve générale, à l'appel des syndicats pour dénoncer "la situation sociale" du département. Une situation qui a déjà déclenché des blocages et manifestations monstre pendant deux mois, il y a un an, au moment où les Gilets jaunes manifestaient dans la métropole. Voici les raisons de la colère :
> un coût de la vie très élevé à cause d'une inflation record en 2018 (+,1,8%) et de l'octroi de mer, une taxe imposée par l'Etat sur tous les produits importés ;
> un chômage qui touche 1 Réunionnais sur 4 ;
> des tensions entre les fonctionnaires, surrémunérés, et le reste de la population.
Déjà à l'arrivée à l'aéroport du chef de l'Etat cet après-midi, une centaine de personnes l'attendaient, répondant à l'appel des syndicats. Aux jets de bouteilles et de pierres par des manifestants, les forces de l'ordre ont répondu par des gaz lacrymogènes.