Albert Einstein a dit : le monde est dangereux à vivre, Non pas à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire
dimanche 16 juin 2013
vendredi 14 juin 2013
jeudi 13 juin 2013
La commune est le premier niveau de la République exemplaire que les socialistes ont commencé à bâtir. La commune est aussi le cadre de l’expression démocratique de proximité, le lieu où doit naître et s’épanouir pleinement la citoyenneté
Petite contribution de réflexion après Le Teil
J’étais très curieux du village des possibles que la pluie a contribué à rendre impossible. Donc à suivre.
Ainsi la semaine s’est réduite au week-end de la démocratie réelle à venir, dans une atmosphère souvent chaleureuse et assez humaine, tenu compte de l’amère évidence que la communauté n’existe pas encore et qu’il n’y a que l’illusion d’être ensemble collectivement.
Comment cela pourrait-il changer ? Voilà la question toujours implicite tout le long du rencontre mais souvent tue, au delà des échanges divers, mis en œuvre, avec passion confuse mais sincère, par les citoyens de nulle part que nous sommes.
Tout rencontre spontané laisse sortir les quelques affinités mais surtout les différences entre les individus. C’était le cas à Le Teil, grâce au gros et remarquable travail de préparation de Bernard et de ses quelques amis passionnés de OPDLM qui a constitué le don d’un espace/temps où chacun a pu essayer d’être soi même.
Identités et différences émergent au niveau du comportement autant qu’au niveau de la conscience car les vieux clivages sont loin d’être dépassés (aussi peu d’ailleurs que les frustrations personnelles qui les alimentent). D’ailleurs, les courbatures idéologiques douloureuses augmentent au fur et à mesure que le vieux monde est toujours là, et même plus que jamais, hélas. Derrière chaque militant marche toujours une quelque morale, pas nécessairement cohérente, qui voit en toute négation un reniement, en toute prise de parole une prise de pouvoir.
Quand rien ne change jamais, la moralisation bureaucratique des autres est la dernière activité possible pour cacher notre impuissance (ou manque de passion véritable) à changer le monde. Ainsi les limites inévitables des individus deviennent souvent les boucs émissaires d’un collectivisme de bistrot qui séduit les quelques militants mondains venant en touriste à consommer du discours alternatif.
Il y a donc, dans la faune que nous sommes, le beau parleur narcissique et le bobo à l’affût pour ne pas se laisser faire par aucun discours trop librement étalé. Dénoncer les hiérarchies et le pouvoir est absolument prioritaire. Comment ne pas être solidaires, donc, avec une telle sensibilité même si elle se traduit souvent en une hargne bureaucratique à mesurer le nombre de mots et le temps de parole d’autrui ? Malheureusement, celui qui, au nom de la démocratie, se proclame donneur de parole, finit presque toujours pour en profiter et se donner le droit de parler à son aise pendant qu’il mesure la parole des autres. Il faudra peut-être arriver à régler cette question si importante différemment : que chacun étale ses savoir ou présumés tels en liberté, sans la guillotine d’un peuple frustré qui se contente de partager sa frustration sans jamais dénoncer l’impuissance qui le frustre.
La vraie limite sociale évidente de ceux qui parlent beaucoup c’est d’empêcher les autres d’en faire autant, mais l’égalité ce serait donc que chacun parle à sa guise et non pas que tous parlent si peu. Il n’y a pas d’égalité sans liberté ni sans une protection accrue des différences visibles. Il nous faut du temps, du vrai temps libre des contraintes d’esclaves, et bien sur le droit absolu de rappeler aux parleurs, à chaque instant, le côté névrotique de la prise de parole, l’éventuel excès disharmonique de leur expression et notre envie d’en faire autant.
D’un côté l’occupation narcissique du territoire, de l’autre l’espace octroyé à quelques catégories choisies, voila deux erreurs spéculaires à corriger.
Obliger les jeunes, les femmes ou les pandas à s’exprimer relève du paternalisme de prof ou de psychologue et non pas de la liberté démocratique ou de l’égalité fraternelle.
Pour favoriser l’expression de chacun, il faudrait plutôt laisser agir librement les affinités électives qui tendent spontanément à diriger chacun dans le collectif le plus attirant. J’ai apprécié, par exemple, dans l’atelier que j’étais appelé à animer, l’absence d’un certain nombre d’individus qui ne trouvent probablement pas sympathique ce prétentieux transalpin venu faire la leçon, cette espèce de philosophe marginal qui parle beaucoup.
La magie fait que souvent une antipathie légère se révèle aussi réciproque que les coups de foudre et c’est très bien ainsi. Cela n’empêche pas de boire un pot ensemble, ou parfois même de communiquer un peu. On peut aimer un peu tout le monde, mais pas faire l’amour avec tout le monde, même pas en théorie.
Donc, que chaque jouissance cherche et trouve son interlocuteur possible, en théorie comme en pratique. L’ensemble des différences étalées fera un monde nouveau selon la sensibilité de Fourier et non pas de Staline.
La peur est effectivement partout, mais elle est un symptôme et non pas une justification. L’insécurité est un sentiment phobique. Il faut donc la traiter comme un alibi symptomatique et non pas comme une juste revendication ou une sage précaution.
Ainsi on dépassera, peut-être, le jeu hypnotique et sadomaso qui porte à se soulager de façon solitaire en accusant tous les autres de sa solitude. Nous sommes seuls tous ensembles et on se réunira véritablement le jour où on satisfera ensemble quelques désirs plutôt que revendiquer obsessionnellement, comme des syndicalistes du quotidien, des tragiques besoins culpabilisants.
De ma part, la seule partie que je peux assumer, je dis : assez des intellectualismes confusionnistes qui pour se réapproprier des mots se revendiquent du populisme et du nationalisme. Pourquoi, alors, ne pas se réapproprier aussi du fascisme et du racisme ?
Tolérance pour tous, dépassement des idéologies, bien sur, mais au-delà des droites et des gauches, il reste toujours nécessaire de choisir son camp, camarades ! Donc je partage encore avec l’IS cette devise pratique : pas de dialogue avec les provocateurs, pas de dialogue avec les cons ! (Je n’oublie pas, néanmoins, que nous sommes tous le con de quelqu’un d’autre, d’où l’importance des affinités électives).
Assez de thérapies de laboratoire pour soigner l’économie, alors qu’il s’agit de sauver les hommes de la pathologie économique.
La vraie réappropriation des mots c’est de leur faire dire ce que leur étymologie laisse entendre. L’économie est la bonne gestion de la « maison », donc une économie domestique. Un point c’est tout.
Un populiste est un démagogue manipulateur du peuple et non pas un ami du peuple. La cause du peuple est celle du peuple lui-même et non pas celle de ses pasteurs autoproclamés.
Un nationaliste n’est pas un patriote d’une nation vivante, mais un autoritaire mettant sa nation idéologique devant celles d’autrui qui ne reconnaît même pas.
Assez aussi des quelques touristes de la révolution qui participent aux rencontres comme à un festival ciné. Ils sont émus aux larmes après un film, comme si les grecs et les Mapuche n’existaient pas sinon dans la projection.
Si on pense que la révolution est en Grèce, c’est là qu’il faut aller voir, sinon on pourrait plutôt intervenir ici et maintenant dans notre vie quotidienne qui ne manque pas non plus de révolutions nécessaires dans nos affectivités, notre activité, notre exclusions intimes et sociales, etc. Cela est une forme de solidarité avec les autres moins spectaculaire à mes yeux.
Les poètes bureaucrates adorent toujours le calcul obsessionnel des doigts qui se lèvent vers le ciel car cela est la meilleure manière d’ignorer la lune qu’on a honte d’avoir raté tout le long d’une vie perdue à la gagner sans broncher.
Que cela soit à propos d’un discours, d’une personne ou d’un livre, les suiveurs éternels d’une vérité indiscutable et changeante comme les idéologies, finissent toujours par être déçu des gourous qu’ils n’arrêtent pas de chercher frénétiquement. Tant mieux, mais quand arrêteront-ils de suivre avant et de haïr ensuite ?
Tout cela n’a plus de sens car plus rien de l’ancien monde hiérarchique ne peut participer au dépassement nécessaire de la société du spectacle.
Sans la prétention de tout comprendre ou dire, mes mots expriment une bonne partie de mon sentiment.
Avec ma sincère amitié,
Sergio Ghirardi
P.S. Sorry for my french, I’m italian !
mercredi 12 juin 2013
Fwd: Communiqué de Benoit Joseph et Juliette Méadel
N'ayons pas peur de faire l'Europe, Parlons d'Europe !
A quelques mois des prochaines élections européennes, dont le résultat aura un impact politique capital pour notre avenir à tous, le collectif "pour un parti d'avenir", se félicite du succes de la convention nationale pour l'Europe organisée par le PS. A l'heure où la droite s'enlise dans des primaires municipales sans vision politique, le parti socialiste démontre une nouvelle fois sa capacité à proposer une vision claire et cohérente aussi bien au niveau européen, national que local.
Cette convention est l'occasion de montrer que, depuis plus d'un an, le Président de la République oeuvre à la mise en place d'une politique de relance européenne radicalement tournée vers l'avenir et non vers la défense des égoïsmes nationaux, comme cela a été le cas durant le quinquennat de Nicolas Sarkozy.
Notre collectif, "pour un parti d'avenir"qui s'est engagé, depuis le congrès de Toulouse, pour plus de transparence et de démocratie dans la vie politique entend rappeler l'importance de la consultation démocratique sur les questions européennes. Les clivages partisans et les calculs politiciens ne doivent pas étouffer la voix des citoyens et des militants. Nous ne pourrons donc que regretter toute tentative qui reviendrait à détourner les choix clairs exprimés par les adhérents du Parti Socialiste à l'occasion du vote de jeudi dernier.
Il nous faut maintenant amplifier cette action en allant convaincre et rassembler le plus largement possible nos partenaires autour de notre projet. Pour y arriver, nous devons assumer notre identité et nos convictions. Nous devons partager notre vision avec nos concitoyens et ne pas fuir le débat, y compris au sein de notre famille politique.
Nous sommes convaincus que c'est en remettant l'Europe au coeur de notre vie démocratique, à l'intérieur du Parti socialiste, au Parlement, dans les collectivités territoriales, dans les écoles et dans nos quartiers que nous parviendrons à construire une Europe démocratique, sociale, durable, innovante, bref, une Europe porteuse d'espoir. C'est en parlant d'Europe avec des mots justes, clairs et transparents que nous relancerons ce fabuleux rêve. N'ayons pas peur de faire l'Europe, n'ayons pas peur de la voix des citoyens, ni de celles des militants : parlons d'Europe !
Juliette Méadel, secrétaire nationale du Parti Socialiste
Benoît Joseph, membre du bureau national du Parti Socialiste
La crise n' existe pas du moins ce que l'on veut bien nous faire croire
Les évasions fiscales à l' échelle mondiale sont visiblement moins bien contrôlées par tous ces tricheurs potentiels aujourd'hui
La gourmandise les a atteint
Les astuces mise en place par les spécialistes de la fiscalité des entreprises et l' expertise des financiers du style HSBC et autres ont trop grossi
, on ne peut plus les cacher
Cet argent qui se déplace dans le monde en quelques secondes sur les réseaux informatiques, n'existe même pas
Ces financiers , ces spécialistes de la fiscalité ont joué les apprentis sorciers
Leur système les dépasse... Ça se voit
Évidemment depuis quelques années on masque , on parle de crise, on demande au petit peuple de se serrer la ceinture, bien sur il faut compenser ces fuites
Les bac plus 10 vous expliquent que c'est fini , on ne pourra plus vivre comme avant
Les gaspillages, les pays émergents etc...
Notre Terre ne pourra plus nous nourrir,
J' oubliai l' énergie il ń y en aura plus
Tout cela foutaise , rideau de brouillard
Les sommes annoncées détournées sont colossales
Mittal doit 1 milliard au fisc
Amazone 198 millions
Etc....
On ne va tout de même pas attendre que tout s'estompe , la sortie de crise peut être ?
Un espoir les États Unis, le royaume. Uni un peu la France prennent ce problème à bras le corps
Mais s' il vous plaît ne parlez plus de sortie de crise
On ne peut pas sortir de quelque chose qui n' existe pas
Ce ne devrait être tout simplement que la récupération de biens détournés
N'essayez pas de comprendre tous ces mécanismes financiers
regardez autrement
Le REBOUSSIER
Envoyé de mon iPad
mardi 11 juin 2013
Des communes fortes, pour une démocratie vivante - Lagazette.fr
La Carrière de Bagard au goût du jour à Anduze
visite carriere de bagard 24juin10 par zimprod
Il a été fortement question de l' extension de cette carrière au dernier conseil municipal d' Anduze de juin 2013
Pourquoi ?
Le maire d' Anduze était plutôt favorable au début du débat , mais avec un conseil pas si favorable que ça , a courageusement freiné et transformer sa brillant conviction en un échappatoire dont il est un brillant spécialiste
Mais soyons vigilant ces spécialistes des carrières promettent toujours l' exemplarité sans tenir leurs promesses , les bâches sur les camions, le reboisement etc ...
Le reboussiervigilant
lundi 10 juin 2013
Benjamin Mathéaud , la synthèse du lundi
Lettre d'information
Madame, Mademoiselle, Monsieur,
Vous l'avez peut-être lu dans la presse locale cette semaine, j'ai interpellé le maire d'Alès sur les conditions d'organisation du séminaire des cadres de la Mairie après avoir appris que ce dernier était organisé dans un luxueux domaine "Golf et spa resort" dans à Saint Endréol dans le Var.
Loin de moi l'idée de vouloir contester l'intérêt de réunions destinées à renforcer le management des cadres de la ville d'Alès et de son agglomération.
Par contre il me semble que par les temps qui courent, il n'était pas nécessaire d'organiser un tel séminaire dans un centre aussi luxueux et qu'il aurait été préférable d'organiser ce séminaire en Cévennes, dans le Gard ou la région Languedoc Roussillon et soutenir ainsi nos professionnels du tourisme. Chaque euro d'argent public dépensé doit être un euro utile.
Vous trouverez ci-dessous :
- Le communiqué en date du 4 juin "La crise, oui mais pas pour les cadres de la Mairie d'Alès" co-signé avec Christophe Clauzel, secrétaire adjoint de la section du PS Louise Michel et Jean-Claude Holdrinet, membre du conseil politique régional d'Europe Ecologie les Verts
- L'article paru dans l'édition du Midi Libre Alès du 5 juin
- L'article paru dans l'édition du Midi Libre Alès du 6 juin (réponse du maire d'Alès)
- Le communiqué en date du 6 juin en réponse aux propos de M. Roustan "Derrière le séminaire, les mauvaises pratiques de M. Roustan"
Restant à votre disposition, je vous prie d'agréer mes sincères salutations.
Benjamin Mathéaud, conseiller municipal d'Alès.
Communiqué du 4 juin 2013 :
La crise, oui mais pas pour les cadres de la Mairie d'Alès
Le séminaire des cadres de la Mairie d'Alès aura lieu du mercredi 5 au vendredi 7 juin 2013 dans le luxueux Domaine de Saint-Endréol « Golf et Spa Resort » (près de Fréjus) dans le Var. (http://azv.r.mailjet.com/redirect/qcm1h1w816o15yox19hgyf/www.st-endreol.com/fr/).
Ce type de séminaire est assurément utile pour manager une équipe et préparer le travail mais en temps de crise avait-on besoin de réserver un hébergement à plus de 160 € la chambre payé par les Alésiens et les Alésiennes dont beaucoup ne partiront pas en vacances faute de moyens.
D'après nos estimations, cette sortie va coûter environ 30 000 euros, ce qui représente la prise en charge des repas de 100 écoliers pendant un an !
Ensuite, que dire du choix d'une destination se situant en Provence Alpes Côte d'Azur ? Pourquoi n'a-t-on pas eu l'audace de programmer ces agapes en Cévennes dans l'un des nombreux établissements de qualité qui y existent ? Il ne suffit pas que notre édile vante partout l'accueil en Cévennes et « l'espace du bien vivre », il faut également que ses actes soient en conformité avec sa communication.
Ces choix montrent bien que M. Roustan pratique la politique du « Fais ce que je dis, mais pas ce que je fais » en montrant ainsi peu d'estime pour les professionnels du tourisme des Cévennes.
Benjamin Mathéaud, conseiller municipal d'Alès
Christophe Clauzel, secrétaire adjoint de la section PS d'Alès Louise Michel
Jean-Claude Holdrinet, conseiller politique régional d'Europe Écologie Les Verts
L'article en ligne sur le site midilibre.fr.
L'article en ligne sur le site du midilibre.fr
Communiqué du 6 juin 2013
Derrière le séminaire, les mauvaises pratiques de M. Roustan
Après l'article paru le 5 juin 2013, M. Roustan m'a nommément mis en cause lors d'un entretien publié dans l'édition du Midi Libre de ce jour le 6 juin. Je me devais de répondre à ces attaques formulées avec la délicatesse qu'on lui connaît.
Les choix que j'ai dénoncés, concernant l'organisation du séminaire des cadres, sont révélateurs des pratiques en cours à la Mairie et à Alès Agglo.
D'abord, je n'apprendrai rien à personne à Alès en affirmant que dans une mairie où la gestion des carrières se fait "à la tête du client", le premier magistrat n'est pas le mieux placé pour donner des leçons de respect des fonctionnaires.
Respecter les fonctionnaires ce n'est pas seulement inviter quelques cadres dans un domaine golfique. C'est offrir au quotidien à tous les agents de la ville et de l'agglomération quel que soit leur grade, un cadre de travail stimulant et apaisé et c'est avant tout reconnaître la compétence et la reconnaissance du travail accompli comme seuls critères de promotion.
Ensuite, je voudrais dire que même si je reconnais les qualités d'accueil touristique de nos amis varois, je préfère que l'argent public des Alésiens soit dépensé auprès des professionnels gardois du tourisme ou de notre belle région Languedoc Roussillon. Et contrairement à ce qu'affirme M. Roustan, une simple recherche à la portée de tous (*) permet de trouver des propositions d'hébergement pour séminaires, en Cévennes, dans le Gard et en Languedoc Roussillon. En somme, on pourrait dire : le Gard avant le Var !
Enfin, pour ma part, je suis au travail pour proposer aux Alésiennes et aux Alésiens un projet dans lequel la sérénité, la transparence et l'équité seront le fil conducteur de la gestion des affaires publiques de notre ville et où chaque euro d'argent public dépensé devra être utile. Dans le cadre de ce projet, les fonctionnaires territoriaux auront toute leur place pour permettre à notre territoire de relever les défis qui sont aussi les échecs du maire sortant : l'emploi, l'éducation, le logement.
Benjamin Mathéaud, Conseiller municipal d'Alès
(*) Edit du 08/06/12 :
Certains m'ont demandé de fournir des exemples d'hébergement, voici donc une liste non exhaustive et limitée au Cévennes (gardoises) et au Gard de lieux d'hébergements capables d'accueillir un séminaire d'une quarantaine de participants. Pour ne pas vous assommer d'adresses, je me suis limité aux Cévennes gardoises et au Gard, sans aller dans la Lozère, l'Hérault, l'Aude ou les Pyrénées Orientales, les autres départements de notre région Languedoc Roussillon.
Hébergements dans les CévennesVacancèze / 118, rue Victor Hugo / BESSEGESEthic Etape Val de l'Hort / - ANDUZERESIDENCE HOTELIERE DU MONT BOUQUET / - Brouzet-les-AlèsVVF VILLAGES Les Hauts de Cèze – Méjannes-le-Clap
Hébergements dans le GardRésidence Cap'Med *** / Le Grau du RoiHôtel les bains de Camargue **** / Le Grau du RoiRésidence de Camargue *** / Le Grau du RoiLe Mas des Piboulès *** / BeaucaireLe Mas des Sables *** / Aigues-MortesLa Closeraie ** / PouzilhacEthic Etape Le Cart /SommièresL'Etape de Dourbie / DourbiesLa pousterle / SabranLes Gîtes de l'Oliveraie / Saint Jean de MaruejolsDomaine Saint Pancrace / PONT SAINT ESPRIT
.Benjamin Mathéaud
Conseiller municipal d'Alès
Secrétaire fédéral du PS du Gard à la rénovation, l'animation et la vie du parti
Secrétaire de section du PS d'Alès - Robert Gourdon
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