la commission "intercommunalité" a déjà rendu ses conclusions.
Le collectif demandait aussi à s'exprimer devant les conseillers municipaux qui vont voter sur l'adhésion au CAGAC jeudi 2 juillet.
Albert Einstein a dit : le monde est dangereux à vivre, Non pas à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire
mardi 30 juin 2009
DE L'AIR PUR La fète de la musique Tornac partie: 02
On ne doit pas savoir lire ou alors ...
« Que ce soit à la 2C2A …ou à la CAGAC cette compétence (l’urbanisme) reste communale. Il n’est pas prévu de transférer cette compétence. »
"Dans tous les cas, le droit du sol, l’aménagement du territoire, l’élaboration des P.L.U et/ou la modification des P.O.S sont une compétence municipale."
http://www.mairie-anduze.com
Et on lit dans la liste des compétences du Grand Alès:
ligne 14 " Opérations structurantes d'urbanisme (rénovation urbaine ,nouveaux aménagements urbains et ruraux)
ligne 21 "Aménagement de l'espace:élaboration d'un schéma directeur d'aménagement et d'urbanisme,création de zones d'aménagement concerté,élaboration d'un POS de communauté"
http://www.agglo-grandales.fr/
+
"Dans tous les cas, le droit du sol, l’aménagement du territoire, l’élaboration des P.L.U et/ou la modification des P.O.S sont une compétence municipale."
http://www.mairie-anduze.com
Et on lit dans la liste des compétences du Grand Alès:
ligne 14 " Opérations structurantes d'urbanisme (rénovation urbaine ,nouveaux aménagements urbains et ruraux)
ligne 21 "Aménagement de l'espace:élaboration d'un schéma directeur d'aménagement et d'urbanisme,création de zones d'aménagement concerté,élaboration d'un POS de communauté"
http://www.agglo-grandales.fr/
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Fable locale LE COQ ET LE RENARD
Un coq de village étant devenu Maire
avait de plus été promu général.
Tout fier de son bel arsenal
Il avait juré d’être débonnaire.
Hélas le compte n’y était pas
Dans les grains dépensés
On le lui fit remarquer
Et payer cher son faux-pas.
Tournant le dos à son village
Notre coq, fort estourbi
Se lança dans le maquis.
Pour faire passer sa rage
Il alla voir un renard
Qui nichant fort près de là
Etait le roi du bla-bla
Et se prenait pour César.
Il prit langue avec lui
Oubliant qu’il en avait médit.
Stupéfait de voir icelui
Sottement lui faire crédit
Notre renard lui dit sans détour
Qu’il amenât sa basse-cour
Promettant de veiller lui-même
sur le bonheur du harem.
Aussitôt dit, aussitôt fait,
Le coq n’écoutant personne
Dans sa démarche bouffonne
procéda à son forfait.
Que croyez-vous qu’il en advint ?
En riant bien, entre deux vins
Le renard des poules se régala
Et le lendemain le coq viola.
La Fontaine du Plan de Brie
+
Envoyé par le réboussierpouètinconnu
+
avait de plus été promu général.
Tout fier de son bel arsenal
Il avait juré d’être débonnaire.
Hélas le compte n’y était pas
Dans les grains dépensés
On le lui fit remarquer
Et payer cher son faux-pas.
Tournant le dos à son village
Notre coq, fort estourbi
Se lança dans le maquis.
Pour faire passer sa rage
Il alla voir un renard
Qui nichant fort près de là
Etait le roi du bla-bla
Et se prenait pour César.
Il prit langue avec lui
Oubliant qu’il en avait médit.
Stupéfait de voir icelui
Sottement lui faire crédit
Notre renard lui dit sans détour
Qu’il amenât sa basse-cour
Promettant de veiller lui-même
sur le bonheur du harem.
Aussitôt dit, aussitôt fait,
Le coq n’écoutant personne
Dans sa démarche bouffonne
procéda à son forfait.
Que croyez-vous qu’il en advint ?
En riant bien, entre deux vins
Le renard des poules se régala
Et le lendemain le coq viola.
La Fontaine du Plan de Brie
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Envoyé par le réboussierpouètinconnu
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CE SOIR 20H à MASSILLARGUES ATUECH MAIRIE
CE SOIR 20H MAIRIE DE MASSILLARGUES-ATUECH
REUNION COLLECTIF VENEZ NOMBREUX ET PARLEZ EN
ANDUZIENS ON VOUS MENT ! (1)
Extrait du rapport sur l’intercommunalité de la commune d’Anduze Paragraphe Urbanisme
Il n’est pas prévu de transférer cette compétence.
« Que ce soit à la 2C2A …ou à la CAGAC cette compétence (l’urbanisme) reste communale. Il n’est pas prévu de transférer cette compétence. »
« Dans tous les cas, le droit du sol, l’aménagement du territoire, l’élaboration des P.L.U et/ou la modification des P.O.S sont une compétence municipale. »
Extrait du rapport Balladur page 95
« Le Comité recommande que les plans locaux d’urbanisme relèvent systématiquement de l’échelon intercommunal ou métropolitain… »
Il n’est pas prévu de transférer cette compétence.
« Que ce soit à la 2C2A …ou à la CAGAC cette compétence (l’urbanisme) reste communale. Il n’est pas prévu de transférer cette compétence. »
« Dans tous les cas, le droit du sol, l’aménagement du territoire, l’élaboration des P.L.U et/ou la modification des P.O.S sont une compétence municipale. »
Extrait du rapport Balladur page 95
« Le Comité recommande que les plans locaux d’urbanisme relèvent systématiquement de l’échelon intercommunal ou métropolitain… »
ANDUZIENS ON VOUS MENT ! (2)
Extrait du rapport sur l’intercommunalité de la commune d’Anduze Paragraphe Déchets
« La CAGAC ne dispose pas de CSDU mais via le SMIRITON auquel elle adhère un centre de tri traitement d’une capacité de 50 000 t/an prévu pour Salindre a déjà reçu l’avis favorable des commissaires enquêteurs »
Les conclusion de la Commission d’enquête
La commission prend acte de l’absence de réponse aux questions concernant le SMIRITOM ou les EPCI. Elle regrette fortement cet état de fait.
Elle rappelle que, dans son préambule aux questions pour le mémoire en réponse, elle avait demandé que les questions relevant du SMIRITOM lui soient posées puisqu’il est le partenaire de SITA dans le cadre du contrat de Partenariat Public Privé, et que c’est lui qui a imposé le choix du site et du process.
La commission rappelle que le sigle SMIRITOM veut dire : Syndicat Mixte Intercommunal de Réalisation des Installations et du Traitement des Ordures Ménagères.
.
Considérant les besoins en matière de traitement de déchets sur la zone nord-est du Gard :
Il est nécessaire de trouver un moyen adéquat de traiter les déchets sur le territoire du SMIRITOM, en respectant les obligations européennes de recyclage et de valorisation et le plan départemental d’élimination des déchets,
Le projet de TMB, comme tout autre projet de traitement de déchets est une amélioration par rapport à la situation existante : enfouissement sans traitement, transport de la totalité des ordures sur environ 150 km (aller-retour),
Considérant le site retenu ;
Il a été choisi arbitrairement sans prise en compte des études préalables dans lesquelles il n’apparaissait pas,
Il demeure des incohérences et incertitudes quant à la pollution des sols et des eaux de surface sur le site choisi du fait de sa proximité aux usines chimiques et au bassin, raison pour laquelle la commission d’enquête a demandé au tribunal administratif la nomination d’un expert, nomination toujours attendue à ce jour,
La localisation géographique n’est pas idéale en raison de :
o concentration d’industries, avec 10 ICPE dont 3 Seveso, un Projet d’Intérêt Général en cours de redéfinition, et un Plan de Prévention des Risques technologiques qui est en réflexion mais n’est pas encore prescrit ; de nouvelles règles pourraient s’imposer par la suite au projet,
o la digue et le bassin de décantation de Rhodia où sont stockés 11 millions de tonnes de déchets industriels surplombent le site ; aucune prescription ne concerne actuellement la remise en état de ce bassin mais un arrêté préfectoral est envisagé ; de nouvelles règles pourraient s’imposer par la suite au projet,
o urbanisation qui se développe au sud,
o proximité d’un CAT (moins de 400 m) non considéré comme population riveraine dans plusieurs études (bruits, odeurs), bien qu’il soit fréquenté par 130 personnes le jour, et 35 personnes la nuit,
Certaines études de l’état initial sont actuellement manquantes, ou nécessitent une mise à jour (étude de pollution atmosphérique de la zone industrielle),
Le projet n’est qu’un maillon de la filière de traitement des déchets sur le territoire du SMIRITOM, et les communes où il faudra établir les quais de transfert et le centre d’enfouissement ultime ne sont pas encore définies. La commission regrette que le SMIRITOM ait abandonné son projet global de gestion. Ceci qui ne permet pas de dire si le site choisi est le plus favorable en termes de diminution des transports des ordures, et des gaz à effet de serre induits,
Considérant le process, tel qu’il a été défini :
Il ne répond pas, notamment à la hiérarchie évoquée dans l’article 4 de la directive européenne 2008/98/CE : préparation au vu du réemploi (collecte sélective efficace en amont) et recyclage (avant valorisation),
avec 44.70 % de refus, le projet est en accord avec l’actuel plan départemental des déchets, mais il devra être modifié pour être en accord avec les normes européennes qui sont – de 40 % de déchets ultimes.
la FFOM des OM apparaît surestimée et ne permettra pas d’obtenir 7 500 t de compost. Il apparaît donc que la quantité de produit à éliminer sera donc plus importante que prévue.
le procédé de compostage n’est pas totalement explicite (pas d’indication du structurant),
un tri sélectif sévère en amont est nécessaire pour améliorer la qualité du compost produit, et ainsi diminuer les refus nécessitant une mise en décharge. Par ailleurs, ce tri sélectif améliorera le taux de recyclage en amont permettant de satisfaire à la norme européenne, et diminuera les tonnages entrants dans l’unité,
SITA n’a conclu aucun engagement de vente du compost produit. Par ailleurs, les besoins en agriculture biologique, dont le développement est soutenu localement, sont en augmentation. Or le compost issu d’ordures ménagères dont la fraction fermentescible n’est pas triée à la source est interdit. dans ce cas,
Considérant les effets induits par le projet :
Effets amoindris sur les odeurs et l’émission de particules fines et de pathogènes du fait du traitement prévu (abattement des odeurs à 95%), mais qui s’ajoutent aux nuisances déjà présentes dues à l’environnement industriel,
Augmentation des trafics induits localement, et risque que les camions de collecte n’utilisent le réseau routier secondaire plutôt que les itinéraires prévus, plus longs en distance,
Risque d’accentuation de problèmes locaux d’inondation, le bassin de rétention des eaux pluviales paraissant mal adapté aux phénomènes climatiques cévenols très violents,
Consommation importante d’eau (moitié recyclage et moitié eau potable) : 6,6 m3 / t de compost produit,
Considérant les réponses apportées au public :
Nombre de questions du public n’ont pas reçu de réponse et aucune contre-proposition, même celle qui avait reçu un avis favorable lors du Grenelle de l’environnement, n’a été étudiée. Cette absence de réponse est regrettable, car elle montre un manque de considération vis-à-vis du public qui s’est fortement impliqué, ce qui est contraire aux principes de concertation,
Considérant le rapport coût / bénéfice attendu du projet :
La commission a eu beaucoup de difficultés à analyser l’économie du projet, par manque d’informations chiffrées dans le dossier, par la diversité des chiffres dans le contrat de partenariat, ainsi que par l’absence de réponses aux questions posées à ce sujet.
Le projet a un coût global important (14,5 millions d’€), qui s’élève à 22 millions d’€ avec les intérêts d’emprunts. Il devrait théoriquement permettre d’économiser au maximum 40 €/t par rapport à la situation actuelle. Toutefois, la nécessité d’adapter la collecte, de produire un compost vendable (qualité et débouchés), de répondre aux normes réglementaires diminuent forcément cette économie apparente pour la collectivité et les contribuables,
Le coût est élevé pour un recyclage très faible (1000 t de récupérées sur 6000 t de gisement pour les cartons comme pour les plastiques entrants et 2000 t de fer qui représente la totalité du gisement, le fer étant facile à extraire), et une production de compost limitée : le compost représente 15 % du tonnage des ordures entrantes, et près de 27 % de la fraction fermentescible des ordures ménagères.
L’absence partielle de réponse ne permet pas à la commission de rendre un avis éclairé sur certains éléments du projet.
Toutefois, la commission d’enquête émet à l’unanimité de ses membres, un avis favorable assorti de 2 réserves et de 4 recommandations, à l’implantation d’une unité de tri mécano-biologique sur la commune de Salindres (zone industrielle du Synerpôle)
Cet avis est assorti de 2 réserves expresses :
1. Le projet doit être établi sur un site plus favorable, qui ne cumule pas autant d’incertitudes et de défauts. En effet, certains des points évoqués dans les considérants ne sont pas à eux seuls si problématiques, mais c’est leur accumulation qui entraîne la commission à émettre cette réserve.
2. Le process doit être amélioré, afin de favoriser le réemploi et le recyclage, avant la valorisation, conformément à la directive européenne.
Recommandations
1. Le SMIRITOM devrait répondre publiquement aux questions posées lors de l’enquête (cf. récapitulatif des questions restées sans réponse en annexe de la conclusion),
2. Le tri individuel en amont devrait être amélioré en qualité et en quantité,
3. Les fermentescibles devraient, même partiellement (points d’apports volontaires), être collectés de manière sélective et le compostage individuel encouragé en zone rurale,
4. Le contrat de partenariat devrait être revu notamment quant au coût de traitement à la tonne pour deux raisons principales :
les tonnages entrants provenant du SMIRITOM vont diminuer du fait de l’amélioration du tri, ce qui permettrait à SITA d’apporter plus d’entrants pour son propre compte,
l’amélioration de la collecte et du tri est à la charge des EPCI et du SMIRITOM. Elle allègera le process et favorisera la qualité du compost et ses possibilités de débouchés, donc devrait réduire le coût global du traitement. Les collectivités supportant le coût du tri sélectif en amont, les bénéfices espérés devraient leur revenir,
Fait à Anduze, le 1er juin 2009,
Jean Camplan, président de la commission d’enquête
Catherine Legrand, Assesseur
Jeannine Bourrely, Assesseur
Commentaires :
En conclusion « oui » au projet mais pas sur le site proposé et pas avec le process proposé !
Et c’est ce que le Maire d’Anduze présente comme un avis favorable !
+
« La CAGAC ne dispose pas de CSDU mais via le SMIRITON auquel elle adhère un centre de tri traitement d’une capacité de 50 000 t/an prévu pour Salindre a déjà reçu l’avis favorable des commissaires enquêteurs »
Les conclusion de la Commission d’enquête
La commission prend acte de l’absence de réponse aux questions concernant le SMIRITOM ou les EPCI. Elle regrette fortement cet état de fait.
Elle rappelle que, dans son préambule aux questions pour le mémoire en réponse, elle avait demandé que les questions relevant du SMIRITOM lui soient posées puisqu’il est le partenaire de SITA dans le cadre du contrat de Partenariat Public Privé, et que c’est lui qui a imposé le choix du site et du process.
La commission rappelle que le sigle SMIRITOM veut dire : Syndicat Mixte Intercommunal de Réalisation des Installations et du Traitement des Ordures Ménagères.
.
Considérant les besoins en matière de traitement de déchets sur la zone nord-est du Gard :
Il est nécessaire de trouver un moyen adéquat de traiter les déchets sur le territoire du SMIRITOM, en respectant les obligations européennes de recyclage et de valorisation et le plan départemental d’élimination des déchets,
Le projet de TMB, comme tout autre projet de traitement de déchets est une amélioration par rapport à la situation existante : enfouissement sans traitement, transport de la totalité des ordures sur environ 150 km (aller-retour),
Considérant le site retenu ;
Il a été choisi arbitrairement sans prise en compte des études préalables dans lesquelles il n’apparaissait pas,
Il demeure des incohérences et incertitudes quant à la pollution des sols et des eaux de surface sur le site choisi du fait de sa proximité aux usines chimiques et au bassin, raison pour laquelle la commission d’enquête a demandé au tribunal administratif la nomination d’un expert, nomination toujours attendue à ce jour,
La localisation géographique n’est pas idéale en raison de :
o concentration d’industries, avec 10 ICPE dont 3 Seveso, un Projet d’Intérêt Général en cours de redéfinition, et un Plan de Prévention des Risques technologiques qui est en réflexion mais n’est pas encore prescrit ; de nouvelles règles pourraient s’imposer par la suite au projet,
o la digue et le bassin de décantation de Rhodia où sont stockés 11 millions de tonnes de déchets industriels surplombent le site ; aucune prescription ne concerne actuellement la remise en état de ce bassin mais un arrêté préfectoral est envisagé ; de nouvelles règles pourraient s’imposer par la suite au projet,
o urbanisation qui se développe au sud,
o proximité d’un CAT (moins de 400 m) non considéré comme population riveraine dans plusieurs études (bruits, odeurs), bien qu’il soit fréquenté par 130 personnes le jour, et 35 personnes la nuit,
Certaines études de l’état initial sont actuellement manquantes, ou nécessitent une mise à jour (étude de pollution atmosphérique de la zone industrielle),
Le projet n’est qu’un maillon de la filière de traitement des déchets sur le territoire du SMIRITOM, et les communes où il faudra établir les quais de transfert et le centre d’enfouissement ultime ne sont pas encore définies. La commission regrette que le SMIRITOM ait abandonné son projet global de gestion. Ceci qui ne permet pas de dire si le site choisi est le plus favorable en termes de diminution des transports des ordures, et des gaz à effet de serre induits,
Considérant le process, tel qu’il a été défini :
Il ne répond pas, notamment à la hiérarchie évoquée dans l’article 4 de la directive européenne 2008/98/CE : préparation au vu du réemploi (collecte sélective efficace en amont) et recyclage (avant valorisation),
avec 44.70 % de refus, le projet est en accord avec l’actuel plan départemental des déchets, mais il devra être modifié pour être en accord avec les normes européennes qui sont – de 40 % de déchets ultimes.
la FFOM des OM apparaît surestimée et ne permettra pas d’obtenir 7 500 t de compost. Il apparaît donc que la quantité de produit à éliminer sera donc plus importante que prévue.
le procédé de compostage n’est pas totalement explicite (pas d’indication du structurant),
un tri sélectif sévère en amont est nécessaire pour améliorer la qualité du compost produit, et ainsi diminuer les refus nécessitant une mise en décharge. Par ailleurs, ce tri sélectif améliorera le taux de recyclage en amont permettant de satisfaire à la norme européenne, et diminuera les tonnages entrants dans l’unité,
SITA n’a conclu aucun engagement de vente du compost produit. Par ailleurs, les besoins en agriculture biologique, dont le développement est soutenu localement, sont en augmentation. Or le compost issu d’ordures ménagères dont la fraction fermentescible n’est pas triée à la source est interdit. dans ce cas,
Considérant les effets induits par le projet :
Effets amoindris sur les odeurs et l’émission de particules fines et de pathogènes du fait du traitement prévu (abattement des odeurs à 95%), mais qui s’ajoutent aux nuisances déjà présentes dues à l’environnement industriel,
Augmentation des trafics induits localement, et risque que les camions de collecte n’utilisent le réseau routier secondaire plutôt que les itinéraires prévus, plus longs en distance,
Risque d’accentuation de problèmes locaux d’inondation, le bassin de rétention des eaux pluviales paraissant mal adapté aux phénomènes climatiques cévenols très violents,
Consommation importante d’eau (moitié recyclage et moitié eau potable) : 6,6 m3 / t de compost produit,
Considérant les réponses apportées au public :
Nombre de questions du public n’ont pas reçu de réponse et aucune contre-proposition, même celle qui avait reçu un avis favorable lors du Grenelle de l’environnement, n’a été étudiée. Cette absence de réponse est regrettable, car elle montre un manque de considération vis-à-vis du public qui s’est fortement impliqué, ce qui est contraire aux principes de concertation,
Considérant le rapport coût / bénéfice attendu du projet :
La commission a eu beaucoup de difficultés à analyser l’économie du projet, par manque d’informations chiffrées dans le dossier, par la diversité des chiffres dans le contrat de partenariat, ainsi que par l’absence de réponses aux questions posées à ce sujet.
Le projet a un coût global important (14,5 millions d’€), qui s’élève à 22 millions d’€ avec les intérêts d’emprunts. Il devrait théoriquement permettre d’économiser au maximum 40 €/t par rapport à la situation actuelle. Toutefois, la nécessité d’adapter la collecte, de produire un compost vendable (qualité et débouchés), de répondre aux normes réglementaires diminuent forcément cette économie apparente pour la collectivité et les contribuables,
Le coût est élevé pour un recyclage très faible (1000 t de récupérées sur 6000 t de gisement pour les cartons comme pour les plastiques entrants et 2000 t de fer qui représente la totalité du gisement, le fer étant facile à extraire), et une production de compost limitée : le compost représente 15 % du tonnage des ordures entrantes, et près de 27 % de la fraction fermentescible des ordures ménagères.
L’absence partielle de réponse ne permet pas à la commission de rendre un avis éclairé sur certains éléments du projet.
Toutefois, la commission d’enquête émet à l’unanimité de ses membres, un avis favorable assorti de 2 réserves et de 4 recommandations, à l’implantation d’une unité de tri mécano-biologique sur la commune de Salindres (zone industrielle du Synerpôle)
Cet avis est assorti de 2 réserves expresses :
1. Le projet doit être établi sur un site plus favorable, qui ne cumule pas autant d’incertitudes et de défauts. En effet, certains des points évoqués dans les considérants ne sont pas à eux seuls si problématiques, mais c’est leur accumulation qui entraîne la commission à émettre cette réserve.
2. Le process doit être amélioré, afin de favoriser le réemploi et le recyclage, avant la valorisation, conformément à la directive européenne.
Recommandations
1. Le SMIRITOM devrait répondre publiquement aux questions posées lors de l’enquête (cf. récapitulatif des questions restées sans réponse en annexe de la conclusion),
2. Le tri individuel en amont devrait être amélioré en qualité et en quantité,
3. Les fermentescibles devraient, même partiellement (points d’apports volontaires), être collectés de manière sélective et le compostage individuel encouragé en zone rurale,
4. Le contrat de partenariat devrait être revu notamment quant au coût de traitement à la tonne pour deux raisons principales :
les tonnages entrants provenant du SMIRITOM vont diminuer du fait de l’amélioration du tri, ce qui permettrait à SITA d’apporter plus d’entrants pour son propre compte,
l’amélioration de la collecte et du tri est à la charge des EPCI et du SMIRITOM. Elle allègera le process et favorisera la qualité du compost et ses possibilités de débouchés, donc devrait réduire le coût global du traitement. Les collectivités supportant le coût du tri sélectif en amont, les bénéfices espérés devraient leur revenir,
Fait à Anduze, le 1er juin 2009,
Jean Camplan, président de la commission d’enquête
Catherine Legrand, Assesseur
Jeannine Bourrely, Assesseur
Commentaires :
En conclusion « oui » au projet mais pas sur le site proposé et pas avec le process proposé !
Et c’est ce que le Maire d’Anduze présente comme un avis favorable !
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CR REUNION PUBLIQUE DE LUNDI 27 juin 2009
Un scoop pour Ales
"Ce soir Boni nous a dit que Bernard Vierne, 2ème adjoint n'était pas un représentant d'Anduze car il était aussi président de la 2C2A.
Est-ce à dire que Max Roustan, président du Grand Alès n'est plus réellement maire d'Alès ? Il faudrait en informer les alésiens !" remarque envoyée par un lecteur du réboussier bravo!
résumé du discours du maire d'anduze
-1-Vous m'avez pas élu vice president de la 2C2A donc je m'en vais ...avec ma ville à moi .(répéte -t-il inlassablement)
-2-Bla ,Bla,bla,bla c'était la suite
-3-Questions du public (voir la vidéo) réponse de votre maire :
"Mais vous ne comprenez rien"
"C'est clairement limpide"
et de toute façon cette salle n'est pas représentative de la ville d'Anduze, pense t-il !!
Ce que pense les non Anduziens : vous pouvez le garder votre maire nous on en veut pas:
Le réboussierrapporteur
+
"Ce soir Boni nous a dit que Bernard Vierne, 2ème adjoint n'était pas un représentant d'Anduze car il était aussi président de la 2C2A.
Est-ce à dire que Max Roustan, président du Grand Alès n'est plus réellement maire d'Alès ? Il faudrait en informer les alésiens !" remarque envoyée par un lecteur du réboussier bravo!
résumé du discours du maire d'anduze
-1-Vous m'avez pas élu vice president de la 2C2A donc je m'en vais ...avec ma ville à moi .(répéte -t-il inlassablement)
-2-Bla ,Bla,bla,bla c'était la suite
-3-Questions du public (voir la vidéo) réponse de votre maire :
"Mais vous ne comprenez rien"
"C'est clairement limpide"
et de toute façon cette salle n'est pas représentative de la ville d'Anduze, pense t-il !!
Ce que pense les non Anduziens : vous pouvez le garder votre maire nous on en veut pas:
Le réboussierrapporteur
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lundi 29 juin 2009
Reunion du collectif à Massillargues Attuech mardi 20h
MARDI 30 juin 20H réunion du collectif Non au grand Ales
à La mairie de Massillargues Attuech
VENEZ NOMBREUX PARLEZ EN AUTOUR DE VOUS
APPEL au boycott du milieu associatif anduzien
Vendredi 3 juillet, il est vraisemblable que le conseil municipal d' Anduze aura voté son rattachement au G.A.
Que pouvons-nous faire, nous, les bénévoles d'une des nombreuses associations anduziennes, qui n'habitons pas la Cité Reine ?
Tout simplement quitter nos associations, ces associations que nous aimons, dans lesquelles nous oeuvrons, que parfois nous avons crées ou aidées à créer.
Nous ne le ferons pas sans regret, sans pincement au coeur, mais avons-nous le choix ?
Vous sentez-vous capable d' oeuvrer pour une municipalité (le milieu associatif promeut
l'image dynamique d'une ville) qui a trahi les sept villages qui l'accompagnent ?
Personnellement, nous n'en avons aucune envie.
Nous recréerons une autre dynamique dans nos petits villages, nous nous battrons avec nos armes, certes plus modestes, mais avec le coeur (ce coeur que semblent avoir perdu certains élus).
Nous appelons, avec beaucoup de regret car nous laisserons des amis sur le bord du chemin (mais ils comprendront ), les bénévoles n'habitant pas Anduze à démissionner des associations anduziennes.
« Tous les moyens sont bons quand ils sont efficaces. » Jean Paul Sartre
Fraise des bois et Simplette
P.S Plus tard, nous vous parlerons d'un second boycot possible, le plus terrible, le boycot économique...
Que pouvons-nous faire, nous, les bénévoles d'une des nombreuses associations anduziennes, qui n'habitons pas la Cité Reine ?
Tout simplement quitter nos associations, ces associations que nous aimons, dans lesquelles nous oeuvrons, que parfois nous avons crées ou aidées à créer.
Nous ne le ferons pas sans regret, sans pincement au coeur, mais avons-nous le choix ?
Vous sentez-vous capable d' oeuvrer pour une municipalité (le milieu associatif promeut
l'image dynamique d'une ville) qui a trahi les sept villages qui l'accompagnent ?
Personnellement, nous n'en avons aucune envie.
Nous recréerons une autre dynamique dans nos petits villages, nous nous battrons avec nos armes, certes plus modestes, mais avec le coeur (ce coeur que semblent avoir perdu certains élus).
Nous appelons, avec beaucoup de regret car nous laisserons des amis sur le bord du chemin (mais ils comprendront ), les bénévoles n'habitant pas Anduze à démissionner des associations anduziennes.
« Tous les moyens sont bons quand ils sont efficaces. » Jean Paul Sartre
Fraise des bois et Simplette
P.S Plus tard, nous vous parlerons d'un second boycot possible, le plus terrible, le boycot économique...
QUI VEUT PERDRE DES MILLIONS ?
Un petit élément de plus...S'il y en a qui croient encore que se soumettre à Alès c'est devenir riches !----------------------------------------------
Lundi, 25 Mai 2009
La Chambre régionale des comptes s'est penchée sur le bilan financier de la ville d'Alès pour la période allant de 2002 à 2006.
La conclusion des magistrats a été dévoilée en séance publique du dernier conseil municipal.
La ville d'Alès n'est pas riche.
Son train de vie est inférieur de 15% à la moyenne nationale, exception faite des charges de personnel dont l'augmentation régulière semble incompatible avec les transferts de charges vers l'agglomération du Grand Alès.
La sincérité des comptes n'est pas remise en cause.
La Chambre constate que les missions "action économique" et "sécurité salubrité" ont un poids local conforme à la moyenne nationale.
En revanche, la fonction "intervention sociale et santé" pèse plus fortement à Alès qu'ailleurs.
Et surtout, les frais financiers sont beaucoup plus importants.
La dette alésienne est supérieure de 12,5% à la moyenne.
"Malgré un désendettement récent, une saine gestion de la dette et une capacité de désendettement autour de dix années, la dette de la ville reste élevée, précisent les magistrats de la Chambre.
Cette situation génère des charges financières encore trop importantes et prive Alès de marges de manoeuvre pour l'avenir...
La poursuite du désendettement et la maîtrise des charges notamment du personnel constituent les deux axes de gestion qui permettront à terme une amélioration des résultats financiers."
Un réboussier perplexe
+
Lundi, 25 Mai 2009
La Chambre régionale des comptes s'est penchée sur le bilan financier de la ville d'Alès pour la période allant de 2002 à 2006.
La conclusion des magistrats a été dévoilée en séance publique du dernier conseil municipal.
La ville d'Alès n'est pas riche.
Son train de vie est inférieur de 15% à la moyenne nationale, exception faite des charges de personnel dont l'augmentation régulière semble incompatible avec les transferts de charges vers l'agglomération du Grand Alès.
La sincérité des comptes n'est pas remise en cause.
La Chambre constate que les missions "action économique" et "sécurité salubrité" ont un poids local conforme à la moyenne nationale.
En revanche, la fonction "intervention sociale et santé" pèse plus fortement à Alès qu'ailleurs.
Et surtout, les frais financiers sont beaucoup plus importants.
La dette alésienne est supérieure de 12,5% à la moyenne.
"Malgré un désendettement récent, une saine gestion de la dette et une capacité de désendettement autour de dix années, la dette de la ville reste élevée, précisent les magistrats de la Chambre.
Cette situation génère des charges financières encore trop importantes et prive Alès de marges de manoeuvre pour l'avenir...
La poursuite du désendettement et la maîtrise des charges notamment du personnel constituent les deux axes de gestion qui permettront à terme une amélioration des résultats financiers."
Un réboussier perplexe
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Reunion publique à ANDUZE salle PELLICO aujourd'hui
AUJOURD'HUI LUNDI 29 juin 19H
à ANDUZE salle Pellico
VENEZ NOMBREUX PARLEZ EN AUTOUR DE VOUS
"Réunion d'information à la population concernant l'avenir intercommunal d'Anduze."
dimanche 28 juin 2009
J’ai toujours été passionnée, animée par tout ce qui touche la vie municipale.
Comme d’autres avant moi, je viens profiter de l’espace d’expression qui nous est donné.
J’ai toujours été passionnée, animée par tout ce qui touche la vie municipale.
C’est donc avec cet enthousiasme, cet élan de jeunesse et beaucoup d’espoir que j’ai acceptée le 11 Octobre 2006 de faire partie de la liste de Bonifacio Iglesias et de Bernard Vierne.
Je tiens d’ailleurs à les remercier.
J’ai beaucoup apprécié que Monsieur Le Maire me propose une place de conseillère municipale au sein de son équipe.
Très attirée par les actions qui touchent en particulier le domaine culturel et social, j’ai eu le désir d’occuper un poste de Vice-président (parmi les 8 existants) quand celui-ci s’est trouvé vacant (suite à démission)
C’est aussi avec l’objectif que ma formation universitaire en droit et mes expériences professionnelles profitent à nos communes.
Voilà en quelques phrases les raisons qui m’ont poussées à me présenter une première fois, puis une seconde fois au poste vacant de Vice-président de la Communauté de Communes Autour d’Anduze.
Concernant notre belle Communauté de Communes Autour d’Anduze, j’y suis très attachée et je respecterai notre engagement lors de notre campagne électorale c’est-à-dire :
la non adhésion au Grand-Alès.
Notre Communauté de Communes correspond bien à une nécessité humaine, géographique et culturelle.
Je ne développerai pas les arguments contre l’adhésion au Grand-Alès d’autres l’ont très bien fait avant moi.
Par contre je me pose les 2 questions suivantes :
1) Qu’adviendra-t-il des 40 personnes employées par La Communauté de Communes Autour d’Anduze si le Conseil Municipal vote l’adhésion à la CAGA ?
2) Vu les chiffres concernant l’endettement de la CAGA ne cherche-t-elle pas d’autres contribuables pour étaler ses dettes ?
Je tiens à remercier chaleureusement toutes les personnes qui me soutiennent , MERCI.
Florence CAUSSINUS
Conseillère Municipale à Anduze,
Une des vices-président de la Communauté de Communes Autour d’Anduze.
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J’ai toujours été passionnée, animée par tout ce qui touche la vie municipale.
C’est donc avec cet enthousiasme, cet élan de jeunesse et beaucoup d’espoir que j’ai acceptée le 11 Octobre 2006 de faire partie de la liste de Bonifacio Iglesias et de Bernard Vierne.
Je tiens d’ailleurs à les remercier.
J’ai beaucoup apprécié que Monsieur Le Maire me propose une place de conseillère municipale au sein de son équipe.
Très attirée par les actions qui touchent en particulier le domaine culturel et social, j’ai eu le désir d’occuper un poste de Vice-président (parmi les 8 existants) quand celui-ci s’est trouvé vacant (suite à démission)
C’est aussi avec l’objectif que ma formation universitaire en droit et mes expériences professionnelles profitent à nos communes.
Voilà en quelques phrases les raisons qui m’ont poussées à me présenter une première fois, puis une seconde fois au poste vacant de Vice-président de la Communauté de Communes Autour d’Anduze.
Concernant notre belle Communauté de Communes Autour d’Anduze, j’y suis très attachée et je respecterai notre engagement lors de notre campagne électorale c’est-à-dire :
la non adhésion au Grand-Alès.
Notre Communauté de Communes correspond bien à une nécessité humaine, géographique et culturelle.
Je ne développerai pas les arguments contre l’adhésion au Grand-Alès d’autres l’ont très bien fait avant moi.
Par contre je me pose les 2 questions suivantes :
1) Qu’adviendra-t-il des 40 personnes employées par La Communauté de Communes Autour d’Anduze si le Conseil Municipal vote l’adhésion à la CAGA ?
2) Vu les chiffres concernant l’endettement de la CAGA ne cherche-t-elle pas d’autres contribuables pour étaler ses dettes ?
Je tiens à remercier chaleureusement toutes les personnes qui me soutiennent , MERCI.
Florence CAUSSINUS
Conseillère Municipale à Anduze,
Une des vices-président de la Communauté de Communes Autour d’Anduze.
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Pourquoi je voterai NON à l’adhésion au Grand Alès (suite)
republication article de J.P.Mazen avec les extraits ,cliquez pour les agrandir suite
3) Quelques autres arguments en « vrac » pour expliquer mon refus :
Les dépenses de fonctionnement sont énormes à la CAGA : 155,57 € contre 105 € à la 2C2A
Même remarque concernant les dépenses liées au personnels : 155,88€ contre 96,37 €
Une solidarité plus forte à la 2C2A 54,74 € contre 46,07 €…
Par ailleurs l’analyse montre que les critères votés par la CAGA favorisent les logements sociaux DONC Près St Jean, Tamaris Cévennes.et … Salindres ( dotation « épinglée » par la CRDC qui note) :
Les dépenses de fonctionnement sont énormes à la CAGA : 155,57 € contre 105 € à la 2C2A
Même remarque concernant les dépenses liées au personnels : 155,88€ contre 96,37 €
Une solidarité plus forte à la 2C2A 54,74 € contre 46,07 €…
Par ailleurs l’analyse montre que les critères votés par la CAGA favorisent les logements sociaux DONC Près St Jean, Tamaris Cévennes.et … Salindres ( dotation « épinglée » par la CRDC qui note) :
4) Les investissements son t en TRES TRES grande majorité fait à Alès !:
au total plus de 90 % du montant …Ci dessous copie du dernier Compte Financier de la CAGA
au total plus de 90 % du montant …Ci dessous copie du dernier Compte Financier de la CAGA
La 2C2A a une capacité guère inférieure qui peut être augmentée sans difficulté
169 € contre 212 €
Enfin je voterai contre l’adhésion car la 2C2A dans laquelle je me suis beaucoup investi ( de façon totalement bénévole) car c’est une vraie communauté de vie, où nous resterons proches du centre de décision, où nous nous connaissons tous et où nous ne sommes pas noyés dans la masse des élus communautaires. (.Ce ne serait pas le cas dans la 100éne d’élus de la CAGA.)
En dernier lieu un argument strictement personnel et non quantifiable je suis très fier d’être « un fils de cul terreux » ouvrier par « nécessité de survie » des usines Michelin et donc plus proche de la ruralité que de la CAGA
La décision du CM de jeudi ne semble pas faire de doute et sera, sauf sursaut de dernière minute favorable à la CAGA, je respecterai alors mes engagements de campagne même si je suis intimement convaincu que des regroupements seront décidés par nos dirigeants…pourquoi alors se précipiter ?
Jean-Paul MAZEN
3 éme adjoint délégué aux finances d’Anduze et élu communautaire de la 2C2A..
PS par respect pour Boni qui garde toute ma confiance et qui est le meilleur maire qu’Anduze ait eu depuis longtemps ( ouvrons les yeux et souvenons-nous d’Anduze il n’y a pas si longtemps…), malgré ses erreurs d’analyses actuelles et ses conseillers « nihilistes » je n’ai pas pris part aux débats publics et j’ai gardé la primeur de mon analyse pour les élus.
Il m’a semble nécessaire aujourd’hui d’apporter ma contribution au débat.
169 € contre 212 €
Enfin je voterai contre l’adhésion car la 2C2A dans laquelle je me suis beaucoup investi ( de façon totalement bénévole) car c’est une vraie communauté de vie, où nous resterons proches du centre de décision, où nous nous connaissons tous et où nous ne sommes pas noyés dans la masse des élus communautaires. (.Ce ne serait pas le cas dans la 100éne d’élus de la CAGA.)
En dernier lieu un argument strictement personnel et non quantifiable je suis très fier d’être « un fils de cul terreux » ouvrier par « nécessité de survie » des usines Michelin et donc plus proche de la ruralité que de la CAGA
La décision du CM de jeudi ne semble pas faire de doute et sera, sauf sursaut de dernière minute favorable à la CAGA, je respecterai alors mes engagements de campagne même si je suis intimement convaincu que des regroupements seront décidés par nos dirigeants…pourquoi alors se précipiter ?
Jean-Paul MAZEN
3 éme adjoint délégué aux finances d’Anduze et élu communautaire de la 2C2A..
PS par respect pour Boni qui garde toute ma confiance et qui est le meilleur maire qu’Anduze ait eu depuis longtemps ( ouvrons les yeux et souvenons-nous d’Anduze il n’y a pas si longtemps…), malgré ses erreurs d’analyses actuelles et ses conseillers « nihilistes » je n’ai pas pris part aux débats publics et j’ai gardé la primeur de mon analyse pour les élus.
Il m’a semble nécessaire aujourd’hui d’apporter ma contribution au débat.
Pourquoi je voterai NON à l’adhésion au Grand Alès
republication article de J.P.Mazen avec les extraits ,cliquez pour les agrandir
Est-ce que cette usine aura l’aval des commissaires enquêteurs suite à l’article du Canard enchaîné ?
En premier lieu parce que j’ai participé à la campagne de Boni où nous avons toujours collectivement dit ne pas souhaiter cette adhésion.
En second lieu parce que j’ai analysé le fonctionnement financier de la CAGA et lu attentivement le rapport de la chambre régionale des comptes.
OUI la CAGA nous permettrait de toucher une DGF (Dotation Globale de Fonctionnement versée par l’état) très supérieure à celle de la 2C2A.
Le ratio par habitant est de 157 € contre 80,9€.
Oui nous aurions une masse financière d’investissement très supérieure puisque le nombre d’habitants ( population DGF) est de 75 741pour la CAGA et seulement et 9753 pour la2C2A
Ce sont là les SEULS avantages que j’ai pu trouver.
Par contre :
1 ) Qui peut dire pendant combien de temps l’incitation financière sera maintenue ? Que dit la Chambre R C ?On a voulu se projeter en 2015 pour ne pas adhérer au SYMTOMA pourquoi ne pas accepter cette projection HAUTEMENT plus réaliste concernant la DGF ?
2) Parlons Ordures ménagères et TEOM : C’est selon la C R D C un point de grande fragilité de le CAGA et certainement, avec l’endettement ( 599 € contre 220 € !!!) le problème majeure à résoudre :
Que dit la C R D C ?
En second lieu parce que j’ai analysé le fonctionnement financier de la CAGA et lu attentivement le rapport de la chambre régionale des comptes.
OUI la CAGA nous permettrait de toucher une DGF (Dotation Globale de Fonctionnement versée par l’état) très supérieure à celle de la 2C2A.
Le ratio par habitant est de 157 € contre 80,9€.
Oui nous aurions une masse financière d’investissement très supérieure puisque le nombre d’habitants ( population DGF) est de 75 741pour la CAGA et seulement et 9753 pour la2C2A
Ce sont là les SEULS avantages que j’ai pu trouver.
Par contre :
1 ) Qui peut dire pendant combien de temps l’incitation financière sera maintenue ? Que dit la Chambre R C ?On a voulu se projeter en 2015 pour ne pas adhérer au SYMTOMA pourquoi ne pas accepter cette projection HAUTEMENT plus réaliste concernant la DGF ?
2) Parlons Ordures ménagères et TEOM : C’est selon la C R D C un point de grande fragilité de le CAGA et certainement, avec l’endettement ( 599 € contre 220 € !!!) le problème majeure à résoudre :
Que dit la C R D C ?
3 ° La sois disant usine de Salindres verra-t-elle le jour ?
rapport de la C R DC :
rapport de la C R DC :
Est-ce que cette usine aura l’aval des commissaires enquêteurs suite à l’article du Canard enchaîné ?
suite article precedent
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