Albert Einstein a dit : le monde est dangereux à vivre, Non pas à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire
dimanche 24 février 2013
samedi 23 février 2013
vendredi 22 février 2013
Assemblée citoyenne du Front de gauche Piémont Cévenol lundi 25 février 2013
Bonjour à tous .
Dans la continuité de nos efforts de rassemblement, le Front de gauche du Piémont Cévenol se réunira le lundi 25 février à Saint Jean du Gard à 18 heures 30 dans la salle municipale de la Muse qui se situe sur l'avenue René BOUDON ( à côté du cinéma de Saint Jean du Gard, côté gardon ) .
Tous les militants et sympathisants du Front de gauche sont invités à se joindre à cette assemblée citoyenne .
Au programme de cette soirée, nous ferons le bilan des avancées des trois groupes de travail formés lors de nos assemblées précédentes et nous aborderons leurs propositions de projets futurs .
Un deuxième temps sera consacré à un débat d'idées ouvert à tous .
Chaque participant est invité à apporter une boisson et/ou un mets que nous partagerons en fin de soirée .
Pour toute question, veuillez me contacter au 06 83 76 13 48 .
A bientôt,
Paul Garcia .
Compte rendu réunion Saint Hilaire Durable du 15/02/2013
OJ :
préparation journée du 2 mars
-Assurance journée, contact MACIF avec P.Offredi/Brigitte
-vidéoprojecteur ok pour celui d’ATTAC Uzège+PC Evelyne, reste
à voir pour le son (Evelyne et Rémy)
-Les intervenants
de la journée
le matin
Pierre Sellenet
(salades et plantes utiles)
Michel Wienin (géologie)
Charlotte
Meunier (ACNAT)
Rolland Scimia (archéologie)
+une personne de l’ACNAT (dont on
ignore l’identité pour l’instant elle est spécialiste des oiseaux)
+une personne de Gard nature dont
on ignore aussi jusqu’ici l’identité elle accompagnera Charlotte.
L’après-midi
Pendant
et Après le repas
Agriculteurs de
Barjac installés grâce à Terre de liens, ainsi qu’une agricultrice (amandiers)
et agriculteurs (plantes aromatiques) récemment installés en Cévennes. Leurs
venues doit être confirmées (Pierre
Balvet)
Intervention
pour l’habitat groupé dans l’attente d’une réponse (Rémy)
Le parcours : fléché
Départ
10h30 parking Paul Cézanne derrière le temple et la Poste
12h : pique
nique chez David Huguet opposant au projet.
13h30 :
intervention des agriculteurs et départ vers la parcelle de Nadine et Sylvianne
Roux
14h :
semailles de fèves avec la participation des enfants
14h30 :
arrivée salle Louis Benoît, vente de café, gâteaux au profit de l’association
-Présentation du
projet alternatif
-Projection d’un
film sur NDDL (Rémy)
Communication
1-Affiches
et Flyers : Joe et Rémy
120 affiches et 1800 flyers
Ils seront disponibles vendredi
22/02 à 20h salle communale de la Jasse
Volontaires pour
distribuer : Evelyne, Yvon, Joe, Betty, Brigitte, Marie Paule, Sylviane,
Meriem.
2-Presse :
CQFD (Morgane), Midilibre/ Marseillaise (Rémy)
Radio : RGO/Interval/radio16/France 3 pays
gardois (Betty)
TVSUD : Betty
3-Invitations : Conseillers
généraux, maires et délégués Agglo du Grand Alès (l’invitation figure sur le
courrier concocté par Joe et Rémy qui va leur être adressé sous peu )
Divers
Rémy a pris contact avec les opposants au golf de Cabardès :
échange fructueux.
Il est important d’informer le plus possible et dénoncer
l’utilisation de l’eau pour un projet privé mais avec de l’argent public
(infrastructures)
Informer le Canard enchaîné (Rémy)
Organiser une conférence de presse avant la journée (betty)
RV avec l’avocat Stéphane Allard : mardi 19/02 à 17h30.
Prochaine réunion : vendredi 22/02 à 20h salle communale de La
Jasse
jeudi 21 février 2013
Avez-vous essayé de vous faire soigner par les plantes ces dernières semaines en France?
Avez-vous essayé de vous faire soigner par les plantes ces dernières semaines en France?
Si tel est le cas vous savez que tout récemment un nombre important de remèdes à base de plantes ont été retirés de la vente par les laboratoires spécialisés à la suite des injonctions de l’Afssaps, devenue ANSM (Agence Nationale pour la Sécurité des Médicaments).
Par exemple, pour vos brûlures d’estomac, votre médecin phytothérapeute vous prescrivait peut-être du ficus carica (figuier) ou encore de la Malva Sylvestris (Mauve Sauvage ou grande Mauve). Et jusqu’au 1er août dernier, il avait encore le choix entre différentes plantes, proposées sous forme de médicaments homéopathiques1.
Ces remèdes sont désormais interdits. Et ce ne sont pas les seuls. Depuis le mois d’août, plus d’une trentaine de remèdes à base de plantes ont été retiré du marché dans l’indifférence générale et le silence le plus absolu.
A chaque fois, l’ANSM invoque les mêmes raisons : l’insuffisance de la bibliographie. Mais comment alors ces médicaments ont-ils été autorisés la première fois ? Pourquoi a-t-on retiré ces remèdes prescrits et consommés pendant des dizaines d’années à la satisfaction des patients et sans qu’aucun effet secondaire n’ait été à déplorer ? Nos connaissances dans le domaine de la phytothérapie ont-elles tellement régressé ? A-t-on perdu de précieux papyrus décrivant les vertus de ces plantes ?
Non, évidemment. La vérité est ailleurs. Et nous allons la chercher. L’IPSN créé un groupe de travail sur la phytothérapie clinique en France. D’ici au mois d’avril 2013 nousaurons réuni un maximum d’information sur ce sujet et nous remettrons notre rapport aux autorités françaises. Et nous ferons un comparatif avec ce qui existe en Belgique et en Suisse.
Pour en savoir plus : http://www.ipsn.eu/actualites/groupe-de-travail-phytotherapie
En attendant, chaque mois qui passe voit disparaître du marché un nouveau remède à base de plantes.
Résultat, vous ne pourrez plus demander à votre médecin ou votre thérapeute de traitement à base de plantes sans qu’il ne prenne de risques terribles. Car pour lui le choix est simple : s’il veut bien vous soigner, il doit se mettre hors la loi et commander des produits en Suisse ou en Belgique. Mais s’il ne veut pas être radié de l’ordre, il ne pourra pas vous soigner. Ou alors il devra rentrer dans le rang et prescrire, comme les autres, des médicaments chimiques.
Il faut le dire clairement : en 2012, en France, un médecin phytothérapeute ne peut, sans risquer sa peau, ni prescrire des préparations magistrales, ni utiliser les remèdes à base de plantes dont il a le plus besoin.
Par exemple, pour vos brûlures d’estomac, votre médecin phytothérapeute vous prescrivait peut-être du ficus carica (figuier) ou encore de la Malva Sylvestris (Mauve Sauvage ou grande Mauve). Et jusqu’au 1er août dernier, il avait encore le choix entre différentes plantes, proposées sous forme de médicaments homéopathiques1.
Ces remèdes sont désormais interdits. Et ce ne sont pas les seuls. Depuis le mois d’août, plus d’une trentaine de remèdes à base de plantes ont été retiré du marché dans l’indifférence générale et le silence le plus absolu.
A chaque fois, l’ANSM invoque les mêmes raisons : l’insuffisance de la bibliographie. Mais comment alors ces médicaments ont-ils été autorisés la première fois ? Pourquoi a-t-on retiré ces remèdes prescrits et consommés pendant des dizaines d’années à la satisfaction des patients et sans qu’aucun effet secondaire n’ait été à déplorer ? Nos connaissances dans le domaine de la phytothérapie ont-elles tellement régressé ? A-t-on perdu de précieux papyrus décrivant les vertus de ces plantes ?
Non, évidemment. La vérité est ailleurs. Et nous allons la chercher. L’IPSN créé un groupe de travail sur la phytothérapie clinique en France. D’ici au mois d’avril 2013 nousaurons réuni un maximum d’information sur ce sujet et nous remettrons notre rapport aux autorités françaises. Et nous ferons un comparatif avec ce qui existe en Belgique et en Suisse.
Pour en savoir plus : http://www.ipsn.eu/actualites/groupe-de-travail-phytotherapie
En attendant, chaque mois qui passe voit disparaître du marché un nouveau remède à base de plantes.
Résultat, vous ne pourrez plus demander à votre médecin ou votre thérapeute de traitement à base de plantes sans qu’il ne prenne de risques terribles. Car pour lui le choix est simple : s’il veut bien vous soigner, il doit se mettre hors la loi et commander des produits en Suisse ou en Belgique. Mais s’il ne veut pas être radié de l’ordre, il ne pourra pas vous soigner. Ou alors il devra rentrer dans le rang et prescrire, comme les autres, des médicaments chimiques.
Il faut le dire clairement : en 2012, en France, un médecin phytothérapeute ne peut, sans risquer sa peau, ni prescrire des préparations magistrales, ni utiliser les remèdes à base de plantes dont il a le plus besoin.
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