Alors que des rumeurs circulent sur le coût supposé du luxueux repas organisé lors de la visite du roi d'Angleterre, l'Elysée refuse de donner un chiffre.
Selon un premier décompte publié par le gouvernement allemand, les trois jours de visite officielle du roi du Royaume-Uni, fin mars, ont coûté autour de 440 000 euros au contribuable allemand. En France, aucun chiffre n'a encore filtré.
Une phrase présente sur le menu du faste dîner de Versailles du 20 septembre, tenu en l'honneur de la visite du roi Charles III, a courroucé de nombreux commentateurs. Mais cette formulation protocolaire ne doit rien à Emmanuel Macron.
Lors de son interview sur TF1 et France 2 dimanche, le président de la République a défendu l'action européenne en faveur de l'accueil des migrants. Sur ce volet, la France pas la meilleure élève.
Venus couvrir une panne, des journalistes télé rapportent avoir été verbalisés pour avoir filmé à l'intérieur de la gare. Une situation justifiée par un arrêté préfectoral, mais qui pose des questions en matière de droit d'informer.
L'amiral russe commandant la flotte russe en mer noire était présenté par un compte de l'armée ukrainienne comme tué dans une frappe de missile. Moscou a diffusé aujourd'hui une vidéo le montrant en vie.
Le ministère de la Défense allemand a démenti une rumeur publiée par l'agence de presse russe RIA Novosti, selon laquelle quatre soldats de la Bundeswehr ont été tués à bord d'un char Leopard.
"Bientôt l'heure des comptes pour Marine Le Pen, son père Jean-Marie Le Pen, son équipe rapprochée et une brochette d'eurodéputés et d'assistants ayant œuvré au Parlement européen. Œuvré ? Pas vraiment, à en croire le parquet de Paris, qui vient de signer, lundi 18 septembre, un réquisitoire de 197 pages renvoyant 27 personnes liées au Rassemblement national (RN) devant le tribunal correctionnel. Les juges d'instruction auront le dernier mot en choisissant de suivre l'avis de la procureure de la République, ou pas."
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"Des marches contre les violences policières ont lieu partout en France ce samedi 23 septembre. Pour l'avocat Arié Alimi, ces violences sont représentatives de la capacité de l'État « à s'abstraire de ses propres lois ».
Membre du bureau national de la Ligue des droits de l'homme, Arié Alimi est avocat et défend des victimes de violences policières. Il vient de publier L'État hors-la-loi - Logiques des violences policières(La Découverte)."