"Mais déjà, grâce aux commerçants, et idéalement situé sur le chemin royal entre Nîmes et Alais, le village commençait à s’ouvrir au monde. Les trois auberges de Vézénobres accueillaient les gens de passage.
Elles étaient tenues par Antoine Galon (actuel relais des Sarrasins), Louis Hairaud sur la route du mas des Gardies et David Bourelly dans la Grand-Rue. On trouvait également quatre boulangeries (celles de Jean Antoine Brunel et Benjamin Fontanieu dans la Grand-Rue, d’Etienne Defague au Bas-Plan et de Louis Vincent au Haut-Plan) et trois boucheries (celles de François Roussel dans la Grand-Rue et d’Etienne Barbusse et Guillaume Deleuze sur la place de la mairie).
C’était un village où il faisait déjà bon vivre et où le garde champêtre Simon Malautier entretenait par son inépuisable activité l’harmonie et la solidarité entre le haut et le bas du village."
Les pieds hors de l'eau...
RépondreSupprimerUne situation géographique idéale
"Mais déjà, grâce aux commerçants, et idéalement situé sur le chemin royal entre Nîmes et Alais, le village commençait à s’ouvrir au monde. Les trois auberges de Vézénobres accueillaient les gens de passage.
Elles étaient tenues par Antoine Galon (actuel relais des Sarrasins), Louis Hairaud sur la route du mas des Gardies et David Bourelly dans la Grand-Rue. On trouvait également quatre boulangeries (celles de Jean Antoine Brunel et Benjamin Fontanieu dans la Grand-Rue, d’Etienne Defague au Bas-Plan et de Louis Vincent au Haut-Plan) et trois boucheries (celles de François Roussel dans la Grand-Rue et d’Etienne Barbusse et Guillaume Deleuze sur la place de la mairie).
C’était un village où il faisait déjà bon vivre et où le garde champêtre Simon Malautier entretenait par son inépuisable activité l’harmonie et la solidarité entre le haut et le bas du village."
https://www.midilibre.fr/2025/10/30/le-village-a-vu-sa-population-doubler-en-deux-siecles-13022611.php