"Le PS a-t-il décidé de liquider le programme partagé de la Nupes et son orientation de rupture ?", le questionne-t-elle dans son courrier. "Quel crédit doit-on donner à votre signature sur un programme ?", écrit-elle plus bas. Pour le moment, Olivier Faure et son candidat qui présente son programme ce mercredi 15 mai, n'ont pas répondu publiquement.
La France insoumise n'est pas la seule à s'être offusquée des propos tenus par Raphaël Glucksmann. Le Parti communiste, aussi intégré à l'alliance de gauche, a critiqué la remise en cause du programme de la Nupes. "Cet homme qui est de gauche, sauf quand on l'interroge sur les retraites… les services publics, les salaires, les fermetures d'usines, la souveraineté…", a ironisé la tête de liste du PC, Léon Deffontaines, sur X (anciennement Twitter)." (…)
"Auf gut Glück" en allemand, se traduit par "Au petit bonheur"!.. Encensé par les médias, le candidat socialiste nage en effet dans le bonheur... Mais la création médiatique du parfait candidat people m'a fait penser à la même création du candidat idéal actuellement à l'Elysée. Je me répète, mais méfiez vous de ces candidats du bonheur !!!
"Le jeune communiste est aussi revenu sur sa volonté de «renouer le dialogue» avec les classes populaires tentées par le RN. «Est-ce que Jordan Bardella défend votre intérêt et votre portefeuille ?» leur a-t-il lancé, laissant la salle reprendre en chœur : «Menteur, Bardella !» «Qu’il vienne débattre avec moi Jordan Bardella […] on verra qui défend le mieux les travailleurs», a poursuivi Deffontaines – pour l’instant, c’est avec au Premier ministre Gabriel Attal que se mesurera jeudi le candidat du RN.
Sur scène avant Deffontaines, Fabien Roussel avait associé les figures de l’extrême droite en Europe, l’AfD en Allemagne et la première ministre italienne Giorgia Meloni notamment, à Hitler et Mussolini. «Macron, c’est fini, Bardella on en veut plus», avait encore affirmé le secrétaire général du PCF. Le mentor de Deffontaines fait du vote du 9 juin une occasion de reprendre les richesses aux grands patrons qui «volent l’argent public». Dans les sondages, la liste communiste se voit attribuer entre 2 et 3 % des intentions de vote, derrière ses concurrentes socialiste, insoumise et écologiste."
"Le Nouveau programme national de renouvellement urbain (NPNRU) qui prend actuellement corps à Alès, dans le Gard, prévoit, dans le quartier des Prés Saint-Jean, dès cet automne, la réalisation de 5 400 m2 de bâtiments à vocation économique (c’est-à-dire qui seront occupés par des entreprises) sur le parvis jouxtant France Travail, ex-Pôle emploi.
Une percée dans la barre d’immeubles
"Surtout, la rue Sully-Prudhomme est dans la ligne de mire. Tristement réputée pour être un haut-lieu du trafic de produits stupéfiants dans la capitale des Cévennes, cette artère connaîtra quelques démolitions, "en septembre ou octobre", précise Max Roustan, le maire d’Alès. En effet, la tour qui se trouve en son centre sera démolie, avant que l’espace soit réaménagé. Et une partie de la barre d’immeubles qui lui fait face sera rasée, ce qui permettra la création d’une trouée "vers les jardins ouvriers et de se diriger vers la nouvelle salle d’escalade", construite dans l'ancienne église de la rue Marcel-Paul."
"Parfois isolés dans des régions si éloignées qu'ils ne croisent ni hôpitaux, ni stations-service, ni supermarchés à moins de trois heures de route, les cueilleurs se retrouvent à expérimenter la vie en totale autarcie, dans un décor rappelant le Far West d'antan. «C'est un peu la jungle. Les autochtones n'hésitent pas à chasser de leur secteur les personnes jugées trop envahissantes, certains cueilleurs sont armés de fusils pour défendre leurs patchs, d'autres sont paranoïaques et menacent tous les passants qui s'approchent… C'est un microcosme où règnent des formes de tension, de jalousie et de rivalité entre chacun», prévient Matéo.
Pourtant, en dépit de cette réalité rugueuse, se tisse en parallèle un réseau d'entraide et de solidarité. «Il y a toujours une main tendue envers un autre cueilleur en galère. Rapidement, on se retrouve à vivre en petit groupe, selon les affinités, pour rendre le quotidien plus facile et plus agréable. C'est une forme de sociabilisation qui prend forme naturellement.»
Ainsi, au fil des dépannages et des coups de mains, des amitiés naissent, prenant le pas sur l'appât du gain. «Les meilleurs moments d'une saison sont les repas partagés, les innombrables couchers de soleil, les hurlements des loups sous la lune, les ciels étoilés, les rires, la camaraderie, les parties de pêche, les rencontres, la nature sauvage, les plaisirs simples…», énumère avec nostalgie Camille.
«Ce qui importe avant tout, ce sont les expériences vécues, les souvenirs que l'on garde et que je partage désormais à mes enfants», ajoute Morgan, père de deux enfants âgés de 4 et 7 ans, qu'il emmène dans les territoires canadiens depuis ces dernières années. «Tout cela compte bien plus que la valeur d'un simple champignon. Qu'importe de faire fortune en ramassant des morilles ou de finir bredouille. Cette aventure ne s'achète pas.»
"Le PS a-t-il décidé de liquider le programme partagé de la Nupes et son orientation de rupture ?", le questionne-t-elle dans son courrier. "Quel crédit doit-on donner à votre signature sur un programme ?", écrit-elle plus bas. Pour le moment, Olivier Faure et son candidat qui présente son programme ce mercredi 15 mai, n'ont pas répondu publiquement.
RépondreSupprimerLa France insoumise n'est pas la seule à s'être offusquée des propos tenus par Raphaël Glucksmann. Le Parti communiste, aussi intégré à l'alliance de gauche, a critiqué la remise en cause du programme de la Nupes. "Cet homme qui est de gauche, sauf quand on l'interroge sur les retraites… les services publics, les salaires, les fermetures d'usines, la souveraineté…", a ironisé la tête de liste du PC, Léon Deffontaines, sur X (anciennement Twitter)."
(…)
https://www.rtl.fr/actu/politique/elections-europeennes-raphael-glucksmann-accuse-par-la-france-insoumise-de-trahir-la-nupes-7900384196
"Auf gut Glück" en allemand, se traduit par "Au petit bonheur"!..
Encensé par les médias, le candidat socialiste nage en effet dans le bonheur...
Mais la création médiatique du parfait candidat people m'a fait penser à la même création du candidat idéal actuellement à l'Elysée.
Je me répète, mais méfiez vous de ces candidats du bonheur !!!
DURALEX, BINÔME ROUSSEL ET LE VERRE PILÉ !
RépondreSupprimer«On verra qui défend le mieux les travailleurs»
"Le jeune communiste est aussi revenu sur sa volonté de «renouer le dialogue» avec les classes populaires tentées par le RN. «Est-ce que Jordan Bardella défend votre intérêt et votre portefeuille ?» leur a-t-il lancé, laissant la salle reprendre en chœur : «Menteur, Bardella !» «Qu’il vienne débattre avec moi Jordan Bardella […] on verra qui défend le mieux les travailleurs», a poursuivi Deffontaines – pour l’instant, c’est avec au Premier ministre Gabriel Attal que se mesurera jeudi le candidat du RN.
Sur scène avant Deffontaines, Fabien Roussel avait associé les figures de l’extrême droite en Europe, l’AfD en Allemagne et la première ministre italienne Giorgia Meloni notamment, à Hitler et Mussolini. «Macron, c’est fini, Bardella on en veut plus», avait encore affirmé le secrétaire général du PCF. Le mentor de Deffontaines fait du vote du 9 juin une occasion de reprendre les richesses aux grands patrons qui «volent l’argent public». Dans les sondages, la liste communiste se voit attribuer entre 2 et 3 % des intentions de vote, derrière ses concurrentes socialiste, insoumise et écologiste."
https://www.liberation.fr/politique/quelle-creve-cette-europe-a-trois-semaines-des-europeennes-le-pcf-mobilise-a-paris-20240516_QVVISEITJFAABNGGSMGNIGVTNA/
MAX ET LE DEAL AVEC LES FERRAILLEURS...
RépondreSupprimer"Le Nouveau programme national de renouvellement urbain (NPNRU) qui prend actuellement corps à Alès, dans le Gard, prévoit, dans le quartier des Prés Saint-Jean, dès cet automne, la réalisation de 5 400 m2 de bâtiments à vocation économique (c’est-à-dire qui seront occupés par des entreprises) sur le parvis jouxtant France Travail, ex-Pôle emploi.
Une percée dans la barre d’immeubles
"Surtout, la rue Sully-Prudhomme est dans la ligne de mire. Tristement réputée pour être un haut-lieu du trafic de produits stupéfiants dans la capitale des Cévennes, cette artère connaîtra quelques démolitions, "en septembre ou octobre", précise Max Roustan, le maire d’Alès. En effet, la tour qui se trouve en son centre sera démolie, avant que l’espace soit réaménagé. Et une partie de la barre d’immeubles qui lui fait face sera rasée, ce qui permettra la création d’une trouée "vers les jardins ouvriers et de se diriger vers la nouvelle salle d’escalade", construite dans l'ancienne église de la rue Marcel-Paul."
https://www.midilibre.fr/2024/05/17/demolitions-en-vue-dans-le-quartier-des-pres-saint-jean-a-ales-quand-et-quels-sont-les-immeubles-concernes-11956916.php
«Une aventure unique»
RépondreSupprimer"Parfois isolés dans des régions si éloignées qu'ils ne croisent ni hôpitaux, ni stations-service, ni supermarchés à moins de trois heures de route, les cueilleurs se retrouvent à expérimenter la vie en totale autarcie, dans un décor rappelant le Far West d'antan. «C'est un peu la jungle. Les autochtones n'hésitent pas à chasser de leur secteur les personnes jugées trop envahissantes, certains cueilleurs sont armés de fusils pour défendre leurs patchs, d'autres sont paranoïaques et menacent tous les passants qui s'approchent… C'est un microcosme où règnent des formes de tension, de jalousie et de rivalité entre chacun», prévient Matéo.
Pourtant, en dépit de cette réalité rugueuse, se tisse en parallèle un réseau d'entraide et de solidarité. «Il y a toujours une main tendue envers un autre cueilleur en galère. Rapidement, on se retrouve à vivre en petit groupe, selon les affinités, pour rendre le quotidien plus facile et plus agréable. C'est une forme de sociabilisation qui prend forme naturellement.»
Ainsi, au fil des dépannages et des coups de mains, des amitiés naissent, prenant le pas sur l'appât du gain. «Les meilleurs moments d'une saison sont les repas partagés, les innombrables couchers de soleil, les hurlements des loups sous la lune, les ciels étoilés, les rires, la camaraderie, les parties de pêche, les rencontres, la nature sauvage, les plaisirs simples…», énumère avec nostalgie Camille.
«Ce qui importe avant tout, ce sont les expériences vécues, les souvenirs que l'on garde et que je partage désormais à mes enfants», ajoute Morgan, père de deux enfants âgés de 4 et 7 ans, qu'il emmène dans les territoires canadiens depuis ces dernières années. «Tout cela compte bien plus que la valeur d'un simple champignon. Qu'importe de faire fortune en ramassant des morilles ou de finir bredouille. Cette aventure ne s'achète pas.»
https://www.slate.fr/story/266886/canada-morilles-de-feu-recolte-cueillette-aventure-foret-incendies-expedition-business-revente-champignon-nature