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samedi 15 novembre 2025

Fwd: Macron veut détruire la Sécurité sociale !


Macron veut détruire la Sécurité sociale !
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4 commentaires:

  1. « Un plat de lentilles », dénonce le PCF

    "Le président du groupe socialiste Patrick Kanner estime que ce sera « l’épreuve de vérité » pour les sénateurs de gauche. Il dit ne pas comprendre comment la gauche pourrait « s’abstenir ou voter contre une mesure majeure que nous avons toujours demandée, et que nous avons sollicitée dès le départ de François Bayrou ». « Il ne s’agit pas d’une suspension de la réforme mais d’un décalage de trois mois pour une classe d’âge. Je ne me fais pas acheter pour un plat de lentilles. De notre côté, nous continuerons de demander l’abrogation de la réforme des retraites », lui a répondu la patronne des communistes Cécile Kukierman sur Public Sénat.

    La mesure tant voulue par le PS n’est pourtant pas définitivement enterrée, puisqu’elle poursuit son parcours législatif jusqu’au début du mois de décembre. D’autres dispositions, comme le gel des pensions de retraite qui avait été supprimé par les députés, ont également été rétablis en commission des Affaires sociales au Sénat. Sur ce sujet, les sénateurs ont choisi, à ce stade, de ne pas toucher aux pensions inférieures à 40 euros. Les débats dans l’hémicycle commenceront le 19 novembre.

    Sur ce texte comme sur les autres, le processus législatif suit son cours normal, l’Assemblée nationale aura toutefois le dernier mot."


    https://www.huffingtonpost.fr/politique/article/de-la-poudre-de-perlimpinpin-le-senat-dezingue-la-suspension-de-la-reforme-des-retraites_257181.html

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  2. REGION
    À Béziers, le cri de désespoir dʼune
    profession qui se meurt

    "Des centaines de visages, fermés mais éclairés par la joie d’être ensemble. De se sentir soutenus par toute une profession, au-delà des
    frontières de l’Occitanie. Des milliers de viticulteurs et viticultrices, en rangs serrés, unis comme une seule grappe, rouge de colère et de désespoir pour cette grande manifestation régionale.
    « Rien ne va. Tous les prix augmentent sauf le prix du vin. Nos récoltes baissent, nos revenus aussi, résume Roseline, fille de paysan et mariée à un viticulteur de Montpeyroux (Hérault). On espère faire bouger les choses mais ce serait bien si les consommateurs faisaient l’effort d’acheter nos produits car ona des normes plus strictes que sur les produits importés. Avec l’accord sur le Mercosur, ce sera pire. »

    « On nous ment sur les prix, on nous noie sous les taxes »

    Dans les rangs, des pancartes de tous les départements. Des slogans marqués du bon sens : « Chaque Français a besoin d’un paysan trois fois par jour… »

    Des viticulteurs venus en soutien du Bordelais ou de Provence, comme
    Caroline Lecanuet, productrice près d’Aix et qui revendique cette solidarité « caril y a des grandes régions viticoles qui sont en train de disparaître. Certaines comme la Provence continuent à vivre mais il n’est pas dit que dans dix ans, onne connaîtra pas de crise de l’eau aussi aiguë. »

    Même son de cloche chez un vigneron de l’appellation Picpoul, dans l’Hérault :
    « Nous, on s’en sort encore pas trop mal mais la roue tourne vite. Il est
    important d’être solidaires car toute la filière se tend. » À Béziers, plus
    qu’ailleurs, on sait ce qu’on doit à la viticulture. Son maire, Robert Ménard, l’ascandé au micro rappelant qu’« ici, en 1907, des soldats avaient refusé de tirer sur des vignerons ».

    Devant 7 000 manifestants selon les organisateurs – 4 000 selon la préfecture de l’Hérault –, les leaders syndicats régionaux ont chauffé l’assistance sur les coups de 15 h 30, au bout des allées Paul-Riquet. « On nous étouffe sur les normes, on nous ment sur les prix et on nous noie sous les taxes », a résumé Romain Angelras, 36 ans. Le président des Jeunes agriculteurs du Gard a rappelé que lui et ses collègues n’étaient « pas des chiffres à ranger dans un tableau mais les gardiens d’une terre et d’un savoir-faire ».
    Dans une ambiance survoltée, il a réclamé une baisse de charges, une
    exonération de taxes sur le foncier non bâti, une prime à l’arrachage définitif pour ceux qui veulent arrêter. À ces revendications, la FDSEA a en ajoutéd’autres : déblocage de 200 millions d’euros a minima sur les réserves de crise nationales et européennes, aides à la distillation ciblée, une année blanche bancaire en 2026 pour refaire les trésoreries.
    …/…

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  3. …/…
    « Seuls ceux qui cassent se font entendre… »

    "L’unité s’est fissurée quelque peu quand le président héraultais de la FDSEA,
    Jérôme Despey, a essuyé une bordée de sifflets des syndicats concurrents en entame d’un discours très offensif : « Ce n’est plus une concurrence déloyale que l’on subit mais un hold-up organisé… Vous voulez faire des économies ?
    Supprimez l’Anses, qui détruit notre agriculture par des transpositions
    inacceptables. »

    Damien Onorré, président du Syndicat des vignerons de l’Aude, s’est fait le porte-parole d’« un territoire qui vacille car quand des hectares sont abandonnés, ce sont des villages qui se vident, une frange de la France qui
    s’efface ». Pour lui, c’est bien plus que le combat d’un métier : « Celui d’uneterre, d’une culture, d’une identité. »
    Il va plus loin en réclamant la
    «reconnaissance de la viticulture comme patrimoine culturel » et une « spécificité méditerranéenne » pour régler la crise de l’eau. Dans le cortège, qui a traversé la ville avec calme et dignité, Sylvain, ancien vigneron près de Lamalou-les-
    Bains, raconte qu’il a arraché les dernières vignes familiales pour se consacrerà l’élevage de chèvres. «
    L’exploitation avait été longtemps à l’arrêt,l’investissement pour repartir était trop lourd et incertain… » Combien d’autressuivront ? Combien d’exploitations sur le carreau avant qu’un véritable plan de soutien et de restructuration soit mis en place ? « C’est malheureux, mais si on manifeste trop gentiment, ça ne porte pas et on n’arrive à rien, prédit, fataliste,un vigneron héraultais. Dans ce pays, il n’y a que les gens qui cassent qui se font entendre. »
    Ils étaient 7 000 vignerons selon les organisateurs, 4 000 selon la préfecture,venus ce samedi crier leur désarroi face à des finances exsangues et une filière à l’avenir ténébreux."

    Richard Gougis

    Dimanche 16 novembre 2025https://kiosque.midilibre.fr/reader/9e137d19-34cd-4ce2-803f-809da21...

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  4. PETITE PRIMAIRE ET GROS SABOTS...!

    Hollande pour un candidat « social-démocrate » qui décide sur la primaire

    "Rien n’est gagné. Olivier Faure et François Hollande sont d’accord sur la nécessité d’« avoir une force politique qui puisse être capable, non seulement d’aller au second tour mais de gagner ». « Je pense que cette force-là c’est la force socialiste et sociale-démocrate. Donc il faut qu’elle se bâtisse, c’est en train de se faire. Le PS a pris toute sa place depuis plusieurs mois et je soutiens de ce point de vue là la direction du Parti socialiste » poursuit l’ancien président socialiste, dans un rare satisfecit à Olivier Faure.

    Pour le reste, sa position n’a rien à voir avec celle de son lointain successeur à la tête du parti. Cette force sociale-démocrate, « il faut qu’elle s’associe à Raphaël Glucksmann, à Bernard Cazeneuve et à d’autres, les Radicaux pour constituer cette force », estime François Hollande. Ensuite, ce sera à elle de « désigner son candidat ». Lequel sera libre de décider s’« il ira ou n’ira pas à la primaire. »

    Si ce candidat est Raphaël Glucksmann, pressenti et testé dans les sondages, c’est déjà tout décidé : ce sera sans lui. Dimanche l’eurodéputé a participé à un rassemblement autour de l’ancien Premier ministre Bernard Cazeneuve, en présence de François Hollande et d’autres opposants à la primaire. « Je ne partage pas cette vision de “petite” primaire qui n’inclurait ni Bernard Cazeneuve ni Raphaël Glucksmann » a déclaré la présidente de la région Occitanie Carole Delga. « Aujourd’hui, la priorité c’est de reconstituer une force de gauche de gouvernement. J’appelle Olivier Faure à la reconstituer avec nous tous », a plaidé de son côté Bernard Cazeneuve devant la presse. Le patron du PS, convié par l’ancien Premier ministre, avait décliné l’invitation, rapporte Le Nouvel Obs."



    https://www.huffingtonpost.fr/politique/article/francois-hollande-dezingue-la-primaire-tout-juste-lancee-a-gauche-le-plus-mauvais-des-systemes_257216.html

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