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mercredi 26 février 2025

Polluants éternels à Alès : Que disent les dernières analyses de la présence du TFA dans l’eau potable de l’agglo ? - midilibre.fr

https://www.midilibre.fr/2025/02/25/polluants-eternels-a-ales-que-disent-les-dernieres-analyses-de-la-presence-du-tfa-dans-leau-potable-de-lagglo-12535162.php

4 commentaires:

  1. "C'est parti pour une année de cure à Balaruc-les-Bains dans l'Hérault. Le centre qui fêtera cette année ses dix ans est une institution dans cette ville. Une histoire d'eau qui fait les beaux jours de cette bourgade du bord de l'étang de Thau depuis plus de 2000 ans."
    (…)

    https://france3-regions.francetvinfo.fr/occitanie/herault/sete/la-premiere-station-thermale-francaise-a-ouvert-ses-portes-400-employes-50-000-curistes-attendus-cette-saison-3113017.html

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  2. Une partie des salariés de Netto en grève illimitée

    "Depuis lundi 24 février, une partie des salariés (cinq salariés sur douze) de
    l’enseigne Netto (route de Calvisson) est en grève illimitée. « Nous
    demandons notamment une augmentation de salaire de 150 € minimum et le
    remplacement de quatre salariés qui ont quitté la société », revendique
    Annabelle Soler, élue du personnel, déléguée CGT et responsable commerciale.
    Agée de 31 ans, elle est salariée du magasin depuis 2018 et touche une
    rémunération de 1 400 € par mois. Jointe par téléphone, la responsable de
    l’enseigne, Florence Labatut précise « ne pas faire de commentaire ». Elle gère
    aussi l’Intermarché de Milhau, basé dans la commune voisine. C’est en octobre
    dernier que le magasin Netto a été racheté par sa nouvelle propriétaire, qui
    indiquait dans un précédent article paru le 10 février dans nos colonnes : « Le
    chiffre d’afaires n’était pas au rendez-vous au moment de la reprise. » La
    responsable justifiait ainsi la réalisation de travaux (toujours en cours) pour « un
    montant d’un million d’euros ». Ils devraient s’achever au printemps. Pour la
    syndicaliste, « cela ne nous dérange pas que l’entreprise investisse une telle
    somme mais il ne faut pas oublier l’aspect humain ». Les grévistes se plaignent
    du « refus de versement des subventions du comité social et économique
    destinées au bien-être des salariés » et ils observent « un surcroît d’activité lié
    au départ des salariés qu’elle refuse de remplacer et un manque d’écoute ». À la
    question, l’enseigne va-t-elle recruter à l’issue des travaux ? Florence Labatut
    avait répondu début février : « On espère embaucher mais il faut faire revenir
    nos clients d’abord. » Ce samedi 1er mars, à 11 heures, les grévistes ont prévu
    un point presse sur place pour rendre compte de leur combat social."

    Correspondant Midi Libre : 06 20 30 06 97

    Mercredi 26 février 2025
    https://kiosque.midilibre.fr/reader/90d2c7d1-c86e-4099-949f-b3f302...

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  3. EAU CONTAMINÉE, POLLUTION, ETC. : NESTLÉ, UN NOUVEAU SCANDALE D'ÉTAT
    BLAST, Le souffle de l'info


    https://youtu.be/usW6sop7lLs?si=LtkEb5CJVmhNRvlc


    Depuis un an, Nestlé fait régulièrement l’actualité pour avoir filtré et traité ses eaux minérales naturelles avec des méthodes interdites, le tout avec la complicité du gouvernement et de l’Elysée. Mais c’est loin d’être l’unique affaire Nestlé. Rien qu’à Vittel, Bernard Schmitt et le Collectif Eau 88 ont mis au jour de nombreuses autres affaires de corruption, de surexploitation, ou encore de pollution. La multinationale réplique en réalité ces méthodes sur tous les territoires où elle parvient à s’implanter, à l’image du Brésil comme le raconte l’activiste de l’eau Franklin Frederick. Blast revient sur l’emprise qu’elle exerce à travers les deux témoignages de ces activistes.

    Journaliste : Esther Meunier
    Montage : Hugo Bot Delpérié
    Son : Baptiste Veilhan
    Graphisme : Morgane Sabouret
    Production : Hicham Tragha
    Directeur des programmes : Mathias Enthoven
    Co-directrice de la rédaction : Soumaya Benaïssa
    Directeur de la publication : Denis Robert

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  4. « C’est franchement inaudible » : les sénateurs agacés du silence des directeurs

    "Ce 6 mars, les sénateurs ont auditionné des acteurs clés du scandale : l’ancien directeur de l’usine de Nestlé Waters dans le Gard, où est produite la marque Perrier, et l’actuel directeur du site des Vosges, où sont produites les marques Vittel, Contrex et Hépar. Deux auditions clés, pour comprendre les origines du scandale. Le groupe Nestlé a notamment reconnu avoir utilisé des traitements ultraviolets et au charbon actif pour purifier l’eau sur ces sites, une pratique qui n’est aujourd’hui plus en cours.

    À quoi ces filtres servaient-ils ? Sur ce point, les directeurs des deux usines, qui n’étaient pas en poste au moment où les filtres ont été installés, restent silencieux devant les sénateurs. « Je ne peux pas répondre, je n’étais pas là, ce n’est pas moi qui les ai mis en place », se défend Philippe Fehrenbach. « Je n’ai pas vu ces filtres, il est extrêmement difficile de dire à quoi ils servaient. J’ai bien sûr ma petite idée, mais ce serait de la pure spéculation », explique le directeur de l’usine des Vosges, Luc Desbrun. Tous deux assurent que le retrait des filtres s’est accompagné de plans de modernisation des usines, aujourd’hui toujours en cours, pour un coût de plus de 50 millions d’euros dans le Gard et de 20 millions d’euros dans les Vosges.

    Un silence qui a rapidement agacé les sénateurs. « Des investissements de 50 millions d’euros sont réalisés, parce qu’il faut remplacer des traitements dont on ne sait pas à quoi ils servent », résume ironiquement le sénateur socialiste Alexandre Ouizille, rapporteur de la commission, devant Philippe Fehrenbach. « C’est quand même franchement inaudible, je ne vois pas comment vous n’avez pas la réponse!»
    (…)


    https://fr.news.yahoo.com/scandale-eaux-bouteille-directeurs-usines-182250076.html

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