Objet: 🚨 Alerte santé : le budget se discute en ce moment
Faisons-nous entendre au Parlement !
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Cet après-midi ont commencé les débats sur le projet de loi de finances. Alors que l'ombre du 49.3 plane sur le Parlement, l'avenir de notre système de santé publique se joue en ce moment. La pétition que nous avons lancée jeudi dernier a déjà recueilli plus de 10 000 signatures. Profitant de la mobilisation générale, maintenir la pression sur le budget dédié à la santé est notre levier le plus puissant pour augmenter les moyens alloués à l'hôpital. Nos député·es doivent prendre position en faveur d'une hausse significative du budget santé. Pour cela, nous lançons une nouvelle action d'interpellation. Pouvez-vous prendre 30 secondes pour y contribuer ? | | Notre campagne de mobilisation a contribué au vote de la loi sur les ratios. Pour concrétiser ces mesures, il ne manque plus qu'un budget suffisant. Nous sommes si près du but ! François Bayrou a annoncé ce week-end qu'il aura recours au 49.3 pour faire passer le budget. Quelle que soit l'issue du vote de censure prévu mercredi, le Parlement comme le Gouvernement doivent l'entendre : il faut plus qu'une hausse de 3,3% pour réanimer l'hôpital. Si chacun·e de nous prend 30 secondes pour interpeller ses élu·es, nous pouvons faire monter la pression de manière décisive et obtenir suffisamment de moyens pour que nos soignant·es exercent leur métier avec dignité et que soit garanti aux patient·es un accès rapide et égalitaire aux soins ! Ensemble, faisons entendre nos voix au sein de l'Assemblée nationale ! | | Merci pour votre mobilisation à nos côtés, L'équipe de Victoires Populaires PS : Il nous manque 30 000 € pour rester mobilisés jusqu'au vote du budget. Pouvez-vous nous soutenir pour mener cette campagne au bout ? | | | |
Santé : On veut les mêmes droits que Brigitte Macron ! - Damien Maudet
RépondreSupprimerLa France insoumise - NFP à l'Assemblée nationale
https://youtu.be/oU-FBT_ahZ0?si=7hB0Ngan4w8wDk4s
🔴🗣 « Nos hôpitaux et les urgences sont asphyxiés.
34 000 lits supprimés depuis que Macron est président.
Nous voulons que que tous les Français·es aient les mêmes conditions d'accès à la santé que Bernard Arnault, Vincent Bolloré ou Brigitte Macron. » - Damien Maudet
https://www.francetvinfo.fr/politique/parlement-francais/assemblee-nationale/enquete-la-coke-fait-tenir-a-l-assemblee-nationale-le-tabou-de-la-consommation-de-drogue_7043150.html
RépondreSupprimerAUX URGENCES, ON COMPTE LES MORTS : LE CHU DE MONTPELLIER EN GRÈVE
RépondreSupprimerNPA - L’Anticapitaliste
https://youtu.be/Q1ZSlX1zPwg?si=Qaz-11ifNWixXIS7
En 2023, aux urgences, on dénombre 1 500 morts évitables, dont une grande partie due à un manque de prise de charge.
Reportage sur le piquet de grève.
Inflation, déficit et cure d’austérité minent l’hôpital public
RépondreSupprimer"Surtout, ce milliard pèse peu face au déficit des hôpitaux qui s’amplifie d’année en année (près de 3,5 milliards en 2024). D’abord, il y a l’inflation, qui pèse dans toutes les dimensions des hôpitaux : achat de matériel, coût des traitements, maintenance des locaux… La Fédération hospitalière de France estime le sous-financement cumulé de l’inflation à 1,3 milliard. « Même les employeurs du secteur revendiquent au minimum 6 % d’augmentation pour passer l’année sans fermer de lits, pouvoir payer les factures énergétiques, des fournisseurs dans des délais raisonnables, et avoir surtout un début de politique dynamique pour fidéliser les agents et embaucher ceux qui nous manquent pour réouvrir des lits qui nous manquent cruellement », rappelait le syndicat FO personnels des services de santé, dans un communiqué fin janvier.
Ensuite, les hôpitaux sont déjà sommés d’éponger le déficit de la CNRACL, la Caisse nationale de retraite des agents collectivités locales, à laquelle sont rattachés les fonctionnaires hospitaliers. Celle-ci atteint un déficit de près de 3,8 milliards fin 2024. Idem pour les primes liées au Ségur de la santé ou la revalorisation des heures de nuit. Des revalorisations « certes attendues et certes nécessaires, mais qui, hélas, n’ont pas été compensées ni financées dans leur intégralité », souligne Zaynab Riet, déléguée générale de la Fédération hospitalière de France au micro de France Info. Là encore, les administrations des hôpitaux sont sommées de les éponger. Le milliard supplémentaire se réduit donc à peau de chagrin."
https://rapportsdeforce.fr/classes-en-lutte/hopital-le-budget-de-bayrou-insuffisant-face-au-quotidien-devaste-des-soignants-020723159