pages

lundi 10 avril 2023

Comment la réforme des retraites a viré au cauchemar

 

2 commentaires:

  1. Et la "convalescence" dans ce foutoir ?

    Entre Borne et Macron, rien ne va plus
    Pure Politique



    https://youtu.be/QLVoR16tQKs



    Emmanuel Macron et Élisabeth Borne au bord du divorce, Darmanin qui fait peur à une partie de la macronie, Fabien Roussel qui désoriente la Nupes, le retour des morts-vivants au parti socialiste, Adrien Quatennens qui s’apprête à reprendre place parmi ses camarades. C’est le sommaire du numéro 22 de Pol’Express.

    Erratum : un copier-coller malheureux nous a fait dater du mois de mars la plupart des extraits et citations présentés. Il s'agissait bien sûr du mois d'avril. Nous vous prions de nous en excuser. Le responsable a été privé de chocolat !

    Journaliste : Serge Faubert
    Images : Serge Faubert
    Édition : Maxime Hector

    Twitter : https://twitter.com/PurePolitique
    Facebook : https://www.facebook.com/Purepolitique

    00:00 Intro et générique
    00:41 Entre Borne et Macron, rien ne va plus
    04:18 Coup de pompe à la Nupes
    08:35 MétéoPol
    09:02 Soutenez Pure Politique !

    RépondreSupprimer
  2. « LÀ ON DÉPASSE UNE LIMITE » : POURQUOI MACRON ET DARMANIN VONT TROP LOIN
    Le Média



    https://youtu.be/mQgYAvybVYc



    Au programme aujourd’hui,
    Jeudi marquait l’acte 11 des journées de mobilisation intersyndicales contre la réforme des retraites où au moins 570 000 personnes selon le ministère de l’intérieur et 2 millions selon la CGT, ont battu le pavé dans des dizaines de villes. Journées de mobilisations qui ponctuent des grèves reconductibles dans plusieurs secteurs, des manifestations autonomes et des actions de blocage ou coupure d’électricité. Mercredi dernier, la veille de la manif, Elisabeth Borne a reçu l’intersyndicale à Matignon, rencontre qui s’est vite terminée puisque que la première ministre est restée campée sur sa réforme.

    Dans tout cela, Laurent Berger a eu le malheur de dire qu’on était en crise démocratique. Hop, nouvelle séquence politique.
    Entre diabolisation des manifestants et manifestations ou Gérald Darmanin qui s’en prend à la ligue des droits de l’Homme entre autres ; décryptage de la « crise démocratique » que nous vivons en France.

    Nouvel épisode dans l’interdiction ou non des jets privés. Lors de la journée d'initiative parlementaire du groupe Écologiste jeudi, la proposition de loi présentée par Julien Bayou, qui visait à interdire les vols en jets privés, n'a pas pu aller à son terme, et le texte avait été vidé de son contenu par le vote, des bancs de la majorité jusqu'à ceux du Rassemblement national, d'un amendement de suppression de l'article premier qui contenait la disposition phare. Il faut « ramener les riches sur terre », voilà pourquoi cette proposition raconte Julien Bayou. Les arguments avancés contre l’interdiction étaient l’impact sur l’emploi, les entreprises françaises ou encore le fait que ça représente peu sur le total des émissions carbone.
    Et si la question allait bien plus loin que cela ?

    Nous l’avons déjà démontré ici. Nous sommes dans un monde, et un pays, où les pauvres et classes moyennes s’appauvrissent et les infimes très riches s’enrichissent de manière considérable. Bernard Arnault, PDG du groupe LVMH et propriétaire du Parisien-Les Echos est l’homme le plus riche du monde selon le dernier classement Forbes. Avec, quand même il faut le dire, un taux d’imposition digne d’un couple sans enfant gagnant 150 000 euros par an. Le Canard enchaîné avait en effet dévoilé en février que son taux d'imposition était de "moins de 14 %" sur la totalité de ses revenus, de 1,3 milliards d'euros. Sa fortune est aujourd’hui estimée à 211 milliards de dollars.

    Alors dès qu’on ose parler ou s’attaquer aux grands patrons et là à leurs jets privés, tout de suite la droite libérale et/ou néolibérale (dont le RN) fustige les opposants à coup de “vous n’aimez pas la réussite”, “vous n’avez qu’à travailler”, “ils bossent pour payer des impôts c’est injuste”, “il travaille dur”, “c’est eux qui vous offrent votre emploi”, “c’est eux qui tiennent l’économie”… On analyse cette actualité avec Thomas, c’est l’instant Porcher.

    RépondreSupprimer