"Lula se présente « comme un homme qui veut rétablir l’équilibre du pays. Ce qu’il dit, c’est : ’Je ne suis pas le candidat de la gauche, l’anticapitaliste, mais je peux reconstruire la démocratie brésilienne’ », conclut Christophe Ventura. « Il rappelle que sous son gouvernement, les enfants allaient à l’école, les gens mangeaient à leur faim et assure qu’il va reconstruire tout cela.» Un caractère volcanique enfin apaisé, qui promet « l’unité, la tranquillité, le consensus » et un retour à une démocratie fonctionnelle. Tout l’inverse de Jair Bolsonaro en somme."
"Lula se présente « comme un homme qui veut rétablir l’équilibre du pays. Ce qu’il dit, c’est : ’Je ne suis pas le candidat de la gauche, l’anticapitaliste, mais je peux reconstruire la démocratie brésilienne’ », conclut Christophe Ventura. « Il rappelle que sous son gouvernement, les enfants allaient à l’école, les gens mangeaient à leur faim et assure qu’il va reconstruire tout cela.» Un caractère volcanique enfin apaisé, qui promet « l’unité, la tranquillité, le consensus » et un retour à une démocratie fonctionnelle. Tout l’inverse de Jair Bolsonaro en somme."
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