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dimanche 1 novembre 2020

Macron "recycle les vieux tubes" du "libéralisme d'antan" selon Montebourg

 Anonyme a ajouté un nouveau commentaire sur votre article ""Monsieur le Président, votre silence m'a démolie"..." : 


Macron "recycle les vieux tubes" du "libéralisme d'antan" selon Montebourg

"L'ancien héraut de l'aile gauche du Parti socialiste n'est pas moins sévère avec Emmanuel Macron. «Emmanuel Macron est le Julien Doré de la politique. Comme le chanteur, il a eu une carrière fulgurante ; et il a percé en recyclant de vieux tubes –les refrains éculés du libéralisme d'antan. Je n'ai pas eu que des désaccords avec lui. Nous partagions au moins le rejet des pratiques hollandaises. J'ai gardé longtemps le SMS qu'il m'a envoyé un jour que je désespérais d'obtenir une réponse de l'Élysée sur un dossier difficile : "Institut de la procrastination. Repassez plus tard." J'ai compris ensuite que la créature de Hollande ressemblait à son créateur», déclare Arnaud Montebourg. A ses yeux, «le macronisme est une escroquerie politique, car c'est le règne du vide». "
(...)


https://www.parismatch.com/Actu/Politique/Hollande-Macron-et-Julien-Dore-Montebourg-se-lache-1709913 

4 commentaires:

  1. Il aurait pu ajouter que la "coquille vide" est devenu aujourd'hui une "baudruche sans âme et sans affect" depuis son hold-up sur la République. Avoir fait du théâtre dans sa jeunesse est une arme hypnotique qui agit à fond sur les esprits peu éveillés et bercés d'illusions sur ses motivations. On arrive au bout d'un processus délétère.

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  2. Après la suppression de l’ISF, les revenus des 0,1 % les plus riches ont explosé en France

    Un rapport sur les effets des réformes Macron sur le capital fait ce constat, alors que le gouvernement cherche à convaincre de l’intérêt de nouvelles mesures proentreprises.


    "C’est un rapport hautement inflammable, à l’heure où l’épidémie de Covid-19 fait basculer de plus en plus de ménages modestes dans la pauvreté et où l’exécutif assume de donner la priorité à des mesures proentreprises dans son plan de relance pour doper l’économie et l’emploi. La suppression de l’impôt sur la fortune (ISF) et l’instauration de la « flat tax » au début du quinquennat ont eu pour effet de faire fortement augmenter les revenus des 0,1 % des Français les plus aisés, tandis que la distribution de dividendes, de plus en plus concentrée, a explosé."
    (...)


    https://www.lemonde.fr/politique/article/2020/10/08/apres-la-suppression-de-l-isf-les-revenus-des-tres-aises-et-la-distribution-de-dividendes-ont-explose-en-france_6055276_823448.html

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  3. [ZAP] MENSONGES & MANIPULATIONS : La Macronie face au COVID 19 (Underzap #54)
    Le Pixel Mort


    https://youtu.be/26RVaBh4up4



    Musique finale :

    Alain Bashung - La Nuit je Mens
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    Tags :

    Gilets Jaunes
    Gilet Jaune

    Coronavirus
    COVID 19
    Emmanuel Macron
    Gouvernement
    Olivier Véran
    Sanitaire
    Santé
    Politique
    Mensonge
    Manipulation
    Fake news
    Macronie
    Albert Dupontel

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  4. #Livreurs #Confinement #Travailleurs

    MACRON FAIT LA PUB DES PLATEFORMES MAIS ABANDONNE LEURS TRAVAILLEURS
    Le Média


    https://youtu.be/te1r8dqG8Q4




    “L’économie ne doit ni s’arrêter, ni s’effondrer !”, a dit Emmanuel Macron lors de son dernier adresse aux français. Tout en annonçant le deuxième confinement, le Président a également encouragé la population à soutenir “les entreprises qui, proches de chez vous, ont innové à travers des commandes à distance, la vente à emporter ou la livraison à domicile.” Mais pour ceux qui devront porter ce soutien, c’est-à-dire les livreurs à vélo et les travailleurs des plateformes, un deuxième confinement n’est pas une bonne nouvelle.

    “Choqué” par l’attitude du président, ainsi que par la situation des travailleurs des plateformes, Arthur Hay, secrétaire du syndicat CGT des coursiers à vélo de Gironde, nous explique qu’encore une fois, les livreurs risquent d’être abandonnés à leur sort. Entre licenciements, opacité des plateformes et manque de matériel sanitaire, les coursiers luttent pour obtenir une représentation syndicale, ce à quoi les plateformes opposent leur refus. “Tant que le rapport de force ne les y contraindra pas, elles ne nous reconnaîtront pas”, estime Arthur.

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