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samedi 25 avril 2020

« Sur un banc avec une personne de 88 ans » : une amende et des menaces de la BAC

https://www.revolutionpermanente.fr/Sur-un-banc-avec-une-personne-de-88-ans-une-amende-et-des-menaces-de-la-BAC

5 commentaires:

  1. Celui-là aussi dans le genre "cour de récréation" est pas mal...


    https://www.revolutionpermanente.fr/Un-couple-de-septuagenaire-verbalise-pour-s-etre-arrete-discuter

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  2. "À m'asseoir sur un banc cinq minutes avec toi
    Et regarder les gens tant qu'il en a
    Te parler du bon temps qu'est mort ou qui reviendra
    En serrant dans ma main tes petits doigts
    Puis donner à bouffer à des pigeons idiots
    Leur filer des coups d'pieds pour de faux
    Et entendre ton rire qui lézarde les murs
    Qui sait surtout guérir mes blessures
    Te raconter un peu comment j'étais minot
    Les bonbecs fabuleux
    Qu'on piquait chez l' marchand
    Car-en-sac et Minto, caramel à un franc
    Et les Mistrals gagnants"

    Et en 2020 faut ajouter les amendes de 135€ dressés par des pigeons zélés...

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  3. À quoi sert un couillon quand il est désœuvré?


    Utile ? - Les Goguettes (en trio mais à quatre)
    Les Goguettes


    https://youtu.be/cTr8hvHokOg



    sur l'air de "Utile" par Julien Clerc
    avec Aurélien et Valentin au chant, Clémence au piano

    Retrouvez-nous pas en tournée dans toute la France, jusqu'à on sait pas quand !
    www.lesgoguettes.fr

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  4. Montpellier : dénoncé par un voisin, la police lui demande de retirer une banderole contestataire

    Un Montpelliérain a récemment reçu la visite de la police municipale, juridiquement aux ordres du maire Philippe Saurel, pour avoir accroché à son balcon une banderole proclamant : « Nous sommes gouvernés par des criminels ». C’est ce message, apparemment hautement scandaleux, qui a valu à ce jeune homme de recevoir la visite de deux policiers, après dénonciation d’une personne du voisinage.

    Cette intervention se passe dans un contexte de répression accrue des manifestations symboliques que sont ces affichages de slogans, l’un des derniers bastions du militantisme en temps de confinement. À Toulouse, Paris, Marseille et Caen, des habitants ont également été inquiétés par les autorités pour avoir osé afficher publiquement leurs opinions.

    Rendus un peu perplexes (voire carrément consternés) par ce que leur hiérarchie leur faisait faire, les policiers n’ont pas su dire au jeune homme quelle loi il enfreignait ni quels risques concrets il encourait. Les policiers lui ont demandé de retirer la banderole, ce qu’il a fait, et lui ont fait savoir qu’il serait probablement convoqué ultérieurement au commissariat. Dans d’autres cas similaires, les autorités ont utilisé les lois sur l’affichage public pour justifier leur chasse aux slogans.



    https://lepoing.net/montpellier-denonce-par-un-voisin-la-police-lui-demande-de-retirer-une-banderole-contestataire/

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  5. FAUVE / HAUTS LES COEURS


    https://youtu.be/etmSWkeRYbk


    Pour que le confinement ne réduise pas le cerveau de certains en confit...

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