Bonjour Marianne,
Merci pour tes infos. Je me permets de te répondre car je suis sûre que l amende de ton voisin est abusive. Alors je souhaite partager l anecdote du commerçante : elle se fait contrôler plusieurs fois par semaine par un jeune gendarme sur le chemin de son travail qu elle fait à pied habitant le centre. Elle ne s est pas encore faite verbaliser. Il l humilie, il la rabaisse, il la harcèle. Alors elle a téléphoné à la gendarmerie pour expliquer sa situation. Le gendarme lui a demandé de prendre le nom de son collègue et de les rappeler.
Il s agit vraisemblablement d abus de pouvoir. On ne doit pas se laisser faire, on ne doit pas accepter celà. Je pense qu on doit demander l identité de la personne représentant les forces de l'ordre et peut être contester les contraventions, à voire de quelle manière.Belle journée, Émeline.
Le ven., avr. 3, 2020 à 21:47, Marianne Plus<labellecause@yahoo.fr> a écrit :
135€ d'amende pour un voisin qui fumait sa clop devant sa porte car il n'aime pas l'odeur chez lui.
COVID-19 : RÉTABLISSEZ L'ISF D'ABORD !
RépondreSupprimerLa France insoumise a lancé cette pétition adressée à Assemblée nationale et à 2 autres
"Face au Covid-19, la France connaît une crise sanitaire sans précédent depuis un siècle. Fragilisé par des décennies de politiques austéritaires, l’hôpital public ne tient plus que par le dévouement absolu des agents qui y travaillent. Le personnel de santé est le dernier rempart face à l’épidémie. Il manque de tout : de masques FFP2, de masques chirurgicaux, de surblouses, de gel hydroalcoolique, et déjà de certains médicaments, de lits et de respirateurs. 69 000 lits ont été fermés à l’hôpital depuis 2003, 4172 rien qu’en 2018 sous Emmanuel Macron qui demandait encore des économies. Le personnel de l’hôpital n’a pas attendu le Coronavirus pour alerter les pouvoirs publics: cela fait plus d’un an qu’il est en grève et en manifestations pour plus de moyens humains et matériels.
Pour éviter un krach sanitaire, le peuple Français est désormais confiné pour une période indéterminée. Ce prix à payer pèse également sur l’économie du pays. Le gouvernement a déclaré l’état d’urgence sanitaire et adopté un paquet d’ordonnances pour répondre aux besoins économiques. Le contenu de ces ordonnances prouve que le gouvernement n’entend pas changer de logiciel. Pour lui, cette crise est une « parenthèse » et il faudrait tout faire pour qu’après soit comme auparavant.
Il a décidé de faire payer la crise aux salariés en augmentant la durée du temps de travail dans les secteurs indispensables à la vie du pays mais a toujours refusé d’en établir la liste pour permettre à tous les autres de respecter la consigne de confinement. Il permet, en cas d’accord d’entreprise, à l’employeur d’imposer des congés payés. Il permet aussi d’imposer des RTT et du travail sur les journées de repos. Il impose aux personnes des restrictions d’aller et venir qui sont un rempart efficace contre la propagation du virus, mais n’a pris aucune mesure contraignante à destination des entreprises, que ce soit pour leur demander de limiter leurs dividendes, pour interdire les licenciements dans cette période, ou pour accélérer leur activité dans le sens de l’urgence sanitaire, et donc du bien commun.
Gérald Darmanin, ministre de l’Action et des Comptes publics a lancé un « grand appel à la solidarité nationale » avec une plateforme de dons en ligne alors que le gouvernement a refusé toutes nos propositions pour mettre à contribution celles et ceux qui ont le plus comme le rétablissement, fusse-t-il temporaire, de l’impôt de solidarité sur la fortune (ISF).
Rétablir l’ISF, c’est récupérer 3,2 milliards qui pourraient directement être injectés dans la planification sanitaire (embauches, revalorisation des salaires, achat de matériel, masques, surblouses, respirateurs…) pour soulager nos soignants. Nous demandons au gouvernement de le faire et sans tarder ! Le monde d’après doit commencer maintenant."
https://www.change.org/p/assembl%C3%A9e-nationale-covid-19-r%C3%A9tablissez-l-isf-d-abord