"Ce tonnage est possible grâce aux récoltes de 600 coopérateurs français, principalement sur la variété picholine. Ces derniers sont répartis dans le triangle Alès, Nîmes et Montpellier, avec un très gros pôle autour de Sommières.
La majorité des récoltants sont des particuliers, même si le plus gros de la production reste issu des agriculteurs — généralement viticulteurs — qui exercent cette activité de façon complémentaire.
Le mystère des disparités
Si cette année est marquée par une meilleure récolte, les disparités territoriales et au fil des ans restent un mystère. « On ne sait pas pourquoi. Des études sont faites mais, pour l’instant, il n’y a jamais personne qui a trouvé la solution », avance Bruno Ferrieres.
« Pour la productivité par secteurs géographiques, peut-être que l’intelligence artificielle pourrait nous aider pour comprendre un peu mieux le fonctionnement de l’olivier », imagine le professionnel.
Des olives particulières
En tout cas, une chose est sûre : en 2025, les olives récoltées dans le Gard sont particulières. « Cette année, c’est très intéressant parce qu’il y a beaucoup de matières grasses dans les olives », précise-t-il.
Une spécificité liée à la pluie du printemps, au froid de l’hiver pour le repos de l’arbre et la chaleur de cet été qui a permis de lutter contre la mouche de l’olive qui provoque habituellement des dégâts. « Les fruits stockent, un peu comme nous », s’amuse le directeur du moulin."
Sommières, secteur central
RépondreSupprimer"Ce tonnage est possible grâce aux récoltes de 600 coopérateurs français, principalement sur la variété picholine. Ces derniers sont répartis dans le triangle Alès, Nîmes et Montpellier, avec un très gros pôle autour de Sommières.
La majorité des récoltants sont des particuliers, même si le plus gros de la production reste issu des agriculteurs — généralement viticulteurs — qui exercent cette activité de façon complémentaire.
Le mystère des disparités
Si cette année est marquée par une meilleure récolte, les disparités territoriales et au fil des ans restent un mystère. « On ne sait pas pourquoi. Des études sont faites mais, pour l’instant, il n’y a jamais personne qui a trouvé la solution », avance Bruno Ferrieres.
« Pour la productivité par secteurs géographiques, peut-être que l’intelligence artificielle pourrait nous aider pour comprendre un peu mieux le fonctionnement de l’olivier », imagine le professionnel.
Des olives particulières
En tout cas, une chose est sûre : en 2025, les olives récoltées dans le Gard sont particulières. « Cette année, c’est très intéressant parce qu’il y a beaucoup de matières grasses dans les olives », précise-t-il.
Une spécificité liée à la pluie du printemps, au froid de l’hiver pour le repos de l’arbre et la chaleur de cet été qui a permis de lutter contre la mouche de l’olive qui provoque habituellement des dégâts. « Les fruits stockent, un peu comme nous », s’amuse le directeur du moulin."
https://actu.fr/occitanie/villevieille_30352/voici-combien-de-litres-d-huile-d-olive-seront-produits-dans-le-gard-cette-annee-la-recolte-est-particuliere_63449828.html