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> Des craintes sur « les inégalités territoriales »
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> « Imagine-t-on les départements prendre la main sur les politiques d'incitation à l'installation des professionnels libéraux ? Réguler le premier accès aux urgences (...) ? », demandent les signataires. « Imagine-t-on les inégalités territoriales qu'une telle approche pourrait induire, les effets de clientèles, de baronnies locales ? », poursuivent-ils.
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> « De plus, et c'est grave, en évoquant un transfert d'une part de contribution sociale généralisée (CSG) et l'attribution parallèle d'une compétence santé aux départements, le Premier ministre rompt avec un principe majeur de la Sécurité sociale de 1945 », ajoutent-ils.
> « Est-on si sûr de vouloir prendre pour modèle les politiques médico-sociales des départements telles qu'elles fonctionnent aujourd'hui », s'interrogent-ils encore, en visant notamment les maisons départementales des personnes handicapées (MDPH) ou l'aide sociale à l'enfance (ASE), visées régulièrement par des critiques sévères.
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> Les signataires de la tribune sont Claude Evin, Roselyne Bachelot, Marisol Touraine, Agnès Buzyn, Olivier Véran, François Braun, Aurélien Rousseau, Agnès Firmin Le Bodo, Geneviève Darrieussecq, Frédéric Valletoux, Yannick Neuder. Catherine Vautrin, l'actuelle ministre des Armées, est la seule ministre de la Santé d'Emmanuel Macron qui ne figure pas parmi les signataires.
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> Le discours du Premier ministre vendredi devant l'Association des départements de France a immédiatement suscité une levée de boucliers chez de nombreux acteurs de la santé. Lundi, les grandes fédérations hospitalières publiques et privées se sont prononcées contre ces propositions, rejointes mardi par 24 organisations comme Addictions France, Aides, Avec Santé (maisons de santé pluriprofessionnelles), Emmaüs France, Médecins du Monde, ou la ville de Nantes."
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> https://www.huffingtonpost.fr/politique/article/tous-les-ex-ministres-de-la-sante-de-macron-sauf-une-etrillent-cette-idee-de-lecornu_257296.html

"Cela peut arriver à n'importe qui"
RépondreSupprimer"Aujourd'hui, Claire vit dans un logement social et touche l'allocation adulte handicapée : "Cela me sort de la très grande précarité et c'est un pallier très important pour moi." Avec le recul, cette ancienne soignante réussit à voir les aspects positifs de cette situation. "Cela peut paraître choquant de dire ça, mais je suis plus en accord maintenant qu'avant, cela m'a recentrée sur l'essentiel." Depuis, elle s'est engagée au Secours Catholique, elle aide à distribuer des paniers alimentaires solidaires aux personnes dans le besoin. "C'est pas parce qu'on est pauvre qu'on doit mal manger", explique-t-elle.
Aujourd'hui, elle témoigne car elle souhaite que davantage de mesures politiques soient prises en faveur des personnes précaires et elle le rappelle : tout le monde peut tomber dans la pauvreté."
https://www.francebleu.fr/infos/economie-social/le-taux-de-pauvrete-est-de-20-dans-le-gard-le-secours-catholique-presente-son-rapport-sur-la-pauvrete-8916260
https://www.objectifgard.com/economie/fait-du-soir-dans-le-gard-les-femmes-et-les-enfants-en-premiere-ligne-de-la-pauvrete-155650.php
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