"La direction va aller à un chantage à la signature", occupation et blocage de la verrerie du site Owens-Illinois qui fabrique les bouteilles de Perrier à Vergèze
Source : France 3 Occitanie
https://share.google/lFc9DM7N1V8AZUKin
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LES COCOS ET LES PLANQUÉS...
RépondreSupprimerLA PALANQUE D'AMARRAGE VIRE DE BORD...
"Le communiqué d’Alès maison commune, signé pour la section d’Alès du Parti socialiste par Christiane THOMAS et le secrétaire de section pour les Écologistes d’Alès, Pierrick TOUGUET, officialisant la rupture avec le Printemps alésien. " Alès, le 25 septembre 2024. Après plusieurs mois de discussions pour construire une union large des forces de gauche à Alès, les socialistes et les écologistes constatent que les conditions d’un rassemblement complet ne sont pas réunies à ce stade.
Les négociations avec la liste de Paul Planque n’ont pas permis de dégager une candidature unitaire. Le rapprochement avec Le Printemps alésien s’est heurté à l’impossibilité d’évoluer vers un mode de fonctionnement renouvelé, différent de celui de la campagne de 2020. Par ailleurs, au sein du collectif Alès Maison Commune, qui a été porté entre autres par les socialistes et les écologistes depuis des mois, et alors qu’une tête de liste socialiste émergeait majoritairement, la France Insoumise locale a suspendu son soutien et sa participation. Face à cette situation, et fidèles à leur engagement pour l’intérêt général, les militants et militantes socialistes et écologistes décident d’officialiser la création d’une liste commune aux élections municipales 2026.
Cette démarche est ouverte à toutes les forces progressistes ainsi qu’aux citoyennes et citoyens qui souhaitent porter un projet social et écologique ambitieux pour notre ville. Cette liste proposera la candidature de Basile Imbert comme tête de liste. Son expérience, son engagement et sa vision incarnent un projet de transformation qui allie justice sociale, transition écologique et vitalité démocratique pour Alès et son agglomération. Cette liste d’union portera une campagne constructive, déterminée et apaisée, avec une ambition claire : bâtir une ville plus juste, plus résiliente et plus solidaire, tournée vers l’avenir, la jeunesse, l’emploi local et la préservation de nos ressources vitales comme l’eau. Nous invitons toutes celles et ceux qui partagent cette volonté de changement à rejoindre cette dynamique collective pour écrire ensemble l’avenir d’Alès."
https://www.midilibre.fr/2025/09/26/ales-une-tete-de-liste-au-parti-communiste-et-une-scission-au-coeur-des-forces-de-gauche-12955258.php
la gauche d'Alès la plus bête de France !! le Maxou va s'étouffer de rire ...
RépondreSupprimerAu moins, ça lui fera une belle fin...
SupprimerPuisque c'est le ferrailleur Rivenq qui pilote le bagnole.
Et ses appels du pied au RN sont flagrants.
Les cancres ne sont pas toujours ce que l'on croit...
RépondreSupprimerLa secrétaire générale de la CGT Sophie Binet donne la note de 1 sur 20 à la copie de Sébastien Lecornu, le Premier ministre qui a révélé ses premières orientations dans un entretien publié dans le Parisien. "L'élève Lecornu n'a toujours pas décollé", commente la numéro 1 de la CGT.
(…)
"En position de force" face au patronat
"Nous sommes en position de force", ajoute Sophie Binet. "Le patronat en est réduit à organiser des meetings et des manifestations alors que d'habitude il tire les ficelles dans l'ombre, ça montre que nous sommes en position de force et qu'enfin on parle d'inverser cette inégale répartition des richesses", explique la numéro 1 de la CGT.
Le Medef a annoncé un grand meeting le 13 octobre à Paris. "On est dans une situation de totale indécence avec des grands patrons qui défendent leurs privilèges et qui n'ont honte de rien. Ils n'ont pas honte de ne pas participer à la bonne marche du pays", insiste Sophie Binet."
https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/questions-politiques/questions-politiques-du-dimanche-28-septembre-2025-5072751
https://france3-regions.franceinfo.fr/grand-est/vosges/on-veut-des-garanties-des-salaries-de-nestle-waters-manifesteront-devant-le-siege-mondial-pour-defendre-leurs-droits-3223955.html
RépondreSupprimer"Des puits aujourd’hui suspendus"
RépondreSupprimer"Le groupe affirme qu’elles sont "ponctuelles", que ces pollutions concernaient "des puits aujourd’hui suspendus", et ajoute que "toutes les mesures nécessaires sont prises en cas d’anomalie". "Nos eaux et nos produits ont toujours pu être consommés en sécurité", insiste Nestlé Waters auprès de l’AFP.
Pour Me Macchetto, le risque est d’autant plus évident que Nestlé a récemment "remplacé ses filtres 0,2 micromètre par des filtres 0,45 micromètre", technologie "forcément moins efficaces" selon l’avocat à l’AFP.
Le 7 mai, le préfet du Gard avait donné deux mois au groupe pour retirer sa microfiltration à 0,2 micron, estimant, en se fondant sur l’avis des experts de l’Agence régionale de Santé (ARS) Occitanie, que ce dispositif "modifie le microbisme de l’eau produite, en contradiction avec la réglementation en vigueur" sur les eaux minérales naturelles.
Au moment de cette mise en demeure, le préfet avait bien spécifié que "les bouteilles Perrier commercialisées jusqu’à ce jour ne présentent aucun risque sanitaire pour les consommateurs".
Mercredi, Nestlé Waters s’est notamment appuyé sur ce changement de technologie pour remettre en cause le bien-fondé de la saisine de l’UFC. "On vient étendre le champ de votre saisine, ce n’est pas la même technologie", a pointé Me Yann Utzschneider, également avocat de la firme, arguant que les filtres utilisés au moment où l’UFC a intenté son action en justice ne sont plus utilisés."
https://www.midilibre.fr/2025/09/24/bientot-la-fin-des-bouteilles-perrier-dans-nos-rayons-ce-qua-dit-nestle-pour-se-defendre-au-tribunal-de-nanterre-12950833.php
LOCALE
RépondreSupprimerDe Nîmes à Uzès, 9,50 M€ pour
sauvegarder la ressource en eau
« Le projet Life Sources est un grand projet collectif qui va redonner vie au sol. Il concerne 36 communes, va engager 9,5 M€ et est soutenu par l’Europe à hauteur de 5,7 M€. C’est une formidable opportunité pour notre territoire »,soulignent Dominique Andrieu-Bonnet, présidente du Syndicat mixte des gorges du Gardon et Pierre Prat, président de la communauté de communes du Pont duGard.
Le projet a été un des lauréats du programme financier Life Climat de la commission européenne et va permettre de doter le territoire (de Nîmes à Uzès et tout le secteur des gorges du Gardon) de moyens conséquents pour adapter et augmenter sa résilience face au changement climatique. « On voit que les excès et les pénuries d’eau sont appelés à devenir la norme. Il n’est pas question de faire du catastrophisme ou du déni, seulement de se préparer »,souligne Dominique Andrieu-Bonnet.
De nombreux partenaires sont engagés dans ce projet qui va se déployer sur six ans : l’EPTB des Gardons, (organisme public en charge de la gestion de l’eau du bassin-versant des Gardon des Cévennes au Rhône) ; la Fédération
départementale des Civam, la société coopérative pour l’agroforesterie Agroof,
la Chambre d’agriculture du Gard, le CPIE (centre permanent d’initiatives pourl’environnement du Gard) et AgroParisTech/INRAe/IRD.
Le Sictomu (syndicat de collecte des déchets d’Uzès) et le camp des Garrigues(Ministère de l’Armée) seront également deux structures associées qui apporteront un soutien technique et logistique.
Tester des solutions encore peu déployées
Ce programme va permettre de tester des solutions encore peu déployées en France et en Europe comme les “keyline design” des aménagements qui permettent de ralentir, répartir et d’optimiser l’infiltration de l’eau. Des suivis scientifiques seront réalisés. C’est notamment le rôle du partenaire AgroPariistech-IRD-INRAe. « La durée, 6 ans, est intéressante pour avoir du reculet des retours scientifiques sur des méthodes et des pratiques sur lesquelles on manque encore de données », confirme le représentant d’AgroParisTech.
Autre objectif : pouvoir dupliquer à plus grande échelle les expériences testées.
Plusieurs actions transversales seront menées vers le grand public : animations scolaires, ateliers, journées festives, journées thématiques… 60 familles seront accompagnées pour réduire leurs consommations d’eau domestique. Des formations seront organisées vers les publics spécialisés : élus, professionnels du tourisme, de l’éducation, monde agricole… À noter aussi, la prochaine mise en service d’un musée mobile.
« La transition énergétique est un des piliers de nos actions : la loi impose la neutralité carbone pour 2050 et nous, nous l’avons prévu pour 2040. Ce projet vient soutenir nos démarches et mobilise l’ensemble des forces vives du territoire », précise Pierre Prat. « Nous avons notamment proposé aux habitants des récupérateurs d’eau. Une action qui a connu un très gros succès avec 317récupérateurs installés, permettant d’économiser 160 000 litres à chaque orage», abonde Didier Gilles, vice-président de la CCPG.
Pour l’ensemble des partenaires, ce projet va être une magnifique opportunitéd’amplifier les actions déjà menées, d’en expérimenter de nouvelles que ce soit en milieu urbain ou agricole « en intégrant tous les publics », souligne Nicolas Cartailler vice-président de l’EPTB des Gardons. « 2050 c’est déjà aujourd’hui »,rappelle Philippe Cavailier pour la chambre d’Agriculture.
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RépondreSupprimerDes réserves foncières au camp des garrigues
« Le camp des garrigues œuvre depuis longtemps à la préservation de l’eau,rappelle, de son côté, la lieutenante représentant le 2e régiment étranger
d’Infanterie. Le camp, au cœur du périmètre géographique du projet offrira des réserves foncières pour divers projets comme des réserves d’eau ou une station de biocompostage
pour les agriculteurs ».
Le Sictomu proposera un accompagnement technique des microplateformes de
compostage : « Le compost est indispensable à un sol vivant et il a la capacité de récupérer six fois son volume en eau », rappelle Antonin Derenne, maître composteur.
Pour les porteurs de projet, des retombées économiques pour le territoire sont également attendues avec des bénéfices socio-économiques espérés autour de4,20 M€.
Le projet Life Sources, va se déployer durant six ans avec de nombreux
partenaires.
Catherine Mille
cmille@midilibre.com
Lundi 29 septembre 2025https://kiosque.midilibre.fr/reader/b5c78048-5717-421a-914d-785c7da...
Rassemblement de soutien annoncé
RépondreSupprimer"Depuis plusieurs jours, aux abords de l’usine gardoise, le climat n’était pas à l’enthousiasme. Les responsables syndicaux avaient appelé leurs collègues à bloquer les accès au site industriel pour déplorer la situation globale de l’usine et notamment le déroulement des négociations engagées avec la direction du groupe pour l’avenir salariés.
En fin de semaine, un rassemblement solidaire de soutien aux employés de la verrerie du Languedoc doit avoir lieu. Il est prévu ce vendredi 3 octobre, à partir de 18 heures, devant l’usine. Sollicités par Actu Nîmes, les délégués syndicaux FO et CGT de l’usine gardoise n’ont pas répondu, pour l’heure à nos demandes.
Les représentants de la CGT avaient rappelé le 27 septembre dernier dans un communiqué que la possible fermeture du site gardois pourrait avoir de terribles conséquences sur l’emploi local. Le syndicat avait évalué à « 220 à 250 emplois supplémentaires, dits indirects », qui pourraient être supprimés eux aussi, en cas de fermeture définitive de la verrerie."
https://actu.fr/occitanie/vergeze_30344/c-est-confirme-pres-de-nimes-cette-usine-historique-va-fermer-164-salaries-sur-le-carreau_63233284.html
PLEIN GAZ À PERRIER...!
RépondreSupprimerLes salariés de la verrerie à Vergèze maintiennent la pression et bloquent l’arrivée des camions à Perrier
"Depuis ce mercredi matin, près de 80 salariés de la Verrerie du Languedoc bloquent l’entrée de l’usine Perrier. Une importante réunion avec la direction est prévue dans le secteur de Lyon, ce jeudi.
Les personnels de la Verrerie du Languedoc (164 salariés) en grande difficulté et menacée de fermeture maintiennent la pression. Depuis ce mercredi matin, environ 80 salariés bloquent les accès au site de l’usine Perrier, toute proche. Les camions de livraison, qui amènent notamment les bouteilles nécessaires au fonctionnement de l’entreprise, doivent faire demi-tour.
Une réunion ce jeudi à Lyon
Une réunion importante entre les dirigeants d’Owens-Illinois et les syndicats, sur le devenir de la Verrerie du Languedoc et des salariés est prévue ce jeudi 2 octobre, près de Lyon.
La direction Owens-Illinois a communiqué aux représentants syndicaux, les premiers documents de travail, ce mercredi. Et les propositions seraient "faibles", constate Bruno Santiago, l’un des représentants de la CGT. Les négociations autour du PSE mis en place à l’échelle de la France par Owens-Illinois doivent s’achever au 31 octobre prochain."
https://www.midilibre.fr/2025/10/01/les-salaries-de-la-verrerie-a-vergeze-maintiennent-la-pression-et-bloquent-les-entrees-de-nestle-waters-12964430.php
Les salariés d'Owens Illinois bloquent le site de Perrier à Vergèze...
RépondreSupprimerhttps://www.facebook.com/reel/1868828773847946/
https://www.mediapart.fr/journal/economie-et-social/021025/la-verrerie-du-languedoc-proche-de-fermer-nous-sommes-l-illustration-de-ce-qui-est-denonce-par
RépondreSupprimerhttps://www.lemonde.fr/economie/article/2025/10/01/a-vergeze-dans-le-gard-la-colere-des-salaries-de-la-verrerie-owens-illinois-monte-d-un-cran_6643973_3234.html
RépondreSupprimer"Depuis plusieurs jours, ça ne désemplit pas devant la verrerie du Languedoc, à Vergèze. Les salariés tiennent bon, jour et nuit. Feux de palettes, barrages filtrants, banderoles… Les salariés de l’usine, promise à la fermeture par le groupe américain Owens-Illinois, continuent d’occuper l’entrée du site pour défendre leurs emplois.
RépondreSupprimerCe vendredi soir, à l’initiative du syndicat Force ouvrière, un barbecue s’est tenu devant les grilles. L’ambiance était fraternelle mais la colère bien présente. « Le blocage est permanent. On se relaie jour et nuit, sept jours sur sept. On ne sait pas encore quelles seront les prochaines actions, mais on ne lâchera rien », confie Saïda, déléguée FO.
L’annonce de la fermeture, en avril dernier, a frappé de plein fouet les 164 salariés du site, mais aussi les centaines d’emplois indirects qui en dépendent. Dans un territoire déjà marqué par les difficultés de l’usine Perrier voisine, la décision d’Owens-Illinois, géant mondial du verre, passe mal. « On parle de réindustrialiser la France, mais encore faudrait-il commencer par préserver ce qui existe ! » tonne Georges Carbonnell, secrétaire de l'union locale de Force ouvrière, devant les quelques dizaines de personnes rassemblées ce vendredi soir.
« Il faut une nationalisation temporaire du site »
Le syndicaliste appelle désormais à « une réponse politique » : rendez-vous avec le préfet, mobilisation de la population, voire un grand cortège devant la préfecture de Nîmes pour réclamer l’intervention de l’État. « Il faut une nationalisation temporaire du site, le temps de trouver un repreneur », plaide-t-il.
Parmi les participants, plusieurs élus étaient venus témoigner leur soutien, dont la conseillère régionale Katy Guyot ou encore la maire de Vergèze, Pascale Fortunat Deschamps. Entre les grillades et les discours, une chose ici ne change pas : c’est bien la lutte qui continue."
https://www.lereveildumidi.fr
/soci%C3%A9t%C3%A9/social/%C2%AB-on-ne-l%C3%A2che-rien-%C2%BB-devant-la-verrerie-%C3%A0-verg%C3%A8ze,-la-lutte-se-poursuit,-jour-et-nuit
"Un pan entier de notre identité industrielle"
RépondreSupprimer"J’ai trouvé des salariés déterminés mais beaucoup trop seuls dans ce combat. Ils défendent plus qu’un emploi : ils défendent un savoir-faire, une fierté, un pan entier de notre identité industrielle", selon la maire de Vergèze, qui appelle à une mobilisation générale, des élus locaux, de l’État, mais aussi de la population tout entière.
"Sans un engagement fort et collectif, cette verrerie, qui fait partie de l’histoire et de l’avenir de notre territoire, ne pourra pas être sauvée. Le temps est compté : c’est maintenant qu’il faut agir. Ensemble, refusons que cette histoire s’éteigne", insiste l’élue, qui appelle à un grand rassemblement et à une union sans faille pour défendre les emplois et refuser la fermeture annoncée de la verrerie.
Dans le cadre d’un plan de sauvegarde de l’emploi (PSE), un cycle de négociation est en effet en cours avec la direction du groupe installée près de Lyon. Dans d’après les délégués CGT et FO qui se sont rendus sur place, les premiers échos renvoyés par les délégués CGT et FO dépêchés sur place ne sont pas bons. Cette semaine, les salariés ont bloqué la RN113 pour tirer la sonnette d’alarme, alors que le PSE prendra fin le 31 octobre prochain."
https://www.midilibre.fr/2025/10/04/pascale-fortunat-deschamps-maire-de-vergeze-soutient-les-salaries-de-la-verrerie-le-temps-est-compte-12971584.php