jeudi 8 juillet 2010

L'ex-comptable de Bettencourt balance des noms



http://www.latribune.fr/actualites/economie/france/20100706trib000527805/l-ex-comptable-des-bettencourt-precise-ses-accusations.html


http://www.lexpress.fr/actualite/politique/l-ex-comptable-de-bettencourt-balance-des-noms_904873.html

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Anonyme a ajouté un nouveau commentaire sur votre message "" he! nous aussi on a des propositions à faire!"." :

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Dommage que le travail concernant ce projet de territoire ne soit que le reflet d’une mouvance politique minoritaire de notre communauté de commune
La composante Sénécal , Genieve Blanc, Vigne Massillargues attuech etc.
Qui sont tous très sympathiques et performants dans leurs domaines d’action
Mais qui ne savent faire fonctionner l’économie qu’ à travers le monde associatif, avec des subventions qui d’ailleurs seront de plus en plus difficile à trouver
Soyons réaliste notre économie ne se redressera pas avec ces recettes déjà testées et qui se sont avérées plutôt utopiques, oublions l’époque hippie ou autre, l’homme restera toujours égal à lui même
Le livre édité par la 2c2a n’est qu’une auto satisfecit de ce groupe et il ignore complètement le reste de la population
L’échec étant justement de ne pas avoir su les intégrer dans ce projet, vous leur avez fait peur ,vous occupez trop l'espace , vous manquez de tolérance
En résumé ce projet ne fait rien avancer du tout et isole politiquement un peu plus votre groupe
J’imagine que ce projet de territoire va générer « une génération spontanée » de chargés de missions que vous choisirez bien sur parmi vos proches.
Encore dommage, ouvrez les yeux et les oreilles

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Le haras qui rit de Florence Woerth


http://www.lexpress.fr/actualite/politique/le-haras-qui-rit-de-florence-woerth_904667.html

Message de votre ami(e)le réboussier : intéressant, le mélange des genres...
Cordialement,
La rédaction de LExpress.fr

Le blog de l’Adels7 juillet 2010... Il fait chaud, la réforme territoriale ne va pas fort…

En débat !,Réforme des collectivités 2010,démocratie — revueterritoires

deux communiqués de presse (ARF et PS) pour s’en rendre compte :

REFORME TERRITORIALE – DEBAT AU SENAT - Association des régions de France

Martin Malvy : « que le Gouvernement retire ce projet et abatte définitivement ce monstre qu’est le conseiller territorial »

« Habillé autour d’une réforme des collectivités, ce texte n’a jamais eu d’autre objectif réel que d’accroître les chances de l’UMP aux prochaines élections régionales et départementales. C’était l’objectif poursuivi avec l’élection des conseilles territoriaux par le biais du scrutin majoritaire à un tour vite enterré, y compris par une partie des élus de la majorité » a déclaré, Martin Malvy, président de la Région Midi-Pyrénées et porte-parole de l’Association des Régions de France.

« Le terrain ayant étant déminé, cette perspective se révèle chaque jour davantage au fur et à mesure de son examen au Sénat.
La loi nouvelle était censée simplifier, clarifier, économiser. Elle débouche sur la plus grande confusion, l’incompréhension et la dépense.
Hervé Maurey, sénateur de l’Eure, déclarait il y a quelques jours de ce texte : il n’a pas accouché d’une souris mais d’un « rat ». Hier, Jean-Pierre Raffarin, a déclaré « il dit tout et le contraire de tout ».
Le Gouvernement doit renoncer à défendre un dossier mal ficelé et renvoyer tout cela à l’examen serein et constructif d’un troisième acte de la décentralisation. Et commencer par abattre cet animal à deux têtes qu’est le conseiller territorial dont l’impossible accouchement témoigne de la monstruosité »

Communiqué d’Elisabeth Guigou, Secrétaire nationale en charge de la réforme des collectivités territoriales et de la réforme de l’Etat
Réforme territoriale : le gouvernement ne craint pas le ridicule

A l’approche de l’été, nouvelle grille de programme oblige, les Français se retrouvent orphelins de leurs feuilletons favoris. Qu’ils ne s’inquiètent pas : l’examen de la réforme territoriale au Sénat pourrait les tenir en haleine.

Le gouvernement comptait sans doute sur le début de la période estivale pour faire passer un certain nombre de mesures controversées. Mais c’était sans compter sur la vigilance et la ténacité des sénateurs, de tous bords d’ailleurs, hostiles à la réforme, et passablement agacés par les méthodes d’un gouvernement qui ne manifeste que fort peu de considération envers le Parlement. Mardi 6 juillet donc, en deuxième lecture, les sénateurs ont supprimé l’article du projet de loi de réforme des collectivités territoriales prévoyant la répartition des compétences entre régions, départements et communes, et ont renvoyé à une loi ultérieure la clarification des compétences entre différents niveaux de collectivités.

Les sénateurs socialistes ont voté pour cet amendement qui met fin à la valse-hésitation du gouvernement sur la clause de compétence générale : après avoir présenté en première lecture un texte qui prévoyait de supprimer ladite clause, le gouvernement avait cédé à la pression de sa majorité, et consenti lors du passage du texte à l’Assemblée à rétablir partiellement et de manière très encadrée la clause de compétence générale. Jean-Pierre Raffarin lui-même avait expliqué que ce nouvel article n’avait « ni queue ni tête ». Finalement, les sénateurs auront eu gain de cause : par un vote écrasant (335 voix contre 5), les élus de la Haute Chambre ont manifesté leur attachement à la clause de compétence générale, et ont pointé de manière éclatante l’absurdité de ce texte.

Dernier rebondissement, dans la nuit du mardi 6 juillet au mercredi 7 juillet, le Sénat a rejeté pour la deuxième fois le mode d’élection du conseiller territorial.

Le Parti socialiste appelle une nouvelle fois le gouvernement à prendre ses responsabilités et à faire preuve de bon sens en retirant ce texte.
L’acte III de la décentralisation mérite mieux que la pseudo-réforme du gouvernement.