jeudi 15 avril 2010

Éric Woerth à l'assaut du régime de retraite très spécial des parlementaires

LE POINT

http://www.lepoint.fr/actualites-economie/2010-04-14/defi-eric-woerth-a-l-assaut-du-regime-de-retraite-tres-special-des/916/0/444229
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LA ROCHE AUX FEES

J'ai cherché sur internet en quelques clics j'ai trouvé des entreprises concurrentes à la SOTRAC
On tape "géotechnique, travaux, entreprise, falaise etc..."
il y en a pas mal , le rocher de Peyremale n' a qu'à bien se tenir
J'ai même téléphoné à l'une d'elles , à suivre.
Par la même occasion on trouve de nombreuses pistes pour assurer ce rocher contre ses débordements.
Evidement il faut maitriser internet, et c'est possible

Le sherlockboussier

ALORS MAX ? SALINDRE CA "MERDE"

Le midi Libre édition du mercredi

Ales. Salindres Tricompostage, les travaux du centre à l'arrêt

RAPPEL : Ils avaient commencé en février après le feu vert du préfet fin 2009

Les escarmouches se poursuivent entre le Smiritom, maître d'oeuvre du centre de tricompostage des ordures de 53 communes du bassin alésien, dont l'installation du site a été choisie à Salindres, et l'Adisl, l'association d'opposants salindrois qui refuse ce choix.
Si, en définitive, le Smiritom a reçu toutes les autorisations requises, la dernière étant le feu vert du préfet du Gard en décembre 2009, un nouveau grain de sable est venu enrayer la machine à trier les ordures. Alors que les travaux d'aménagement du site venaient tout juste de commencer fin janvier, et qu'on allait installer les locaux préfabriqués du chantier.
Sauf qu'une plainte déposée par l'Adisl en 2007 a, plus de deux ans après - les lenteurs de la justice étonneront toujours - finalement été instruite fin 2009.
Curiosité supplémentaire, le Smiritom et Sita Sud, le futur exploitant du centre de tricompostage, ont été surpris de prendre connaissance de l'ordonnance prise par la juge d'instruction chargée du dossier, par l'intermédiaire de l'avocat alésien de l'Adisl.
A Sita Sud, on s'étonne aussi que la plainte, pour laquelle de nouvelles analyses d'eau, de terrain et d'air ont été demandées, ne vise que les parcelles dévolues au centre de tricompostage. Mais visiblement, on préfère en sourire et prendre un peu de recul. Et même beaucoup.
Car le chantier du futur centre a bel et bien été arrêté, peu de temps après avoir commencé. « C'est un arrêt volontaire en accord avec le Smiritom , explique Patrick Léger, de Sita Sud. A aucun moment, la justice n'a demandé l'arrêt des travaux, mais nous ne voulons pas gêner le travail de l'expert. » Certes, mais sachant que plusieurs types de ces analyses ont été déjà pratiqués, qu'elles ont été incluses au dossier du projet du centre de tricompostage et que nul n'y a trouvé à redire, cet arrêt peut paraître curieux. « Il a été décidé par une entreprise responsable » , justifie le responsable de Sita Sud.
L'entreprise sait pertinemment qu'elle marche sur des oeufs, que les ordures ne véhiculent une image des plus sympathiques, et que son image à elle dépend d'un projet salindrois qui entend être irréprochable sur le plan des nuisances.
Une image qui a un prix et, dans le cas présent, un coût. « Tout décalage des travaux a un coût », explique Patrick Léger. Sachant que l'expert mandaté par la justice doit rendre sa copie au plus tard le 15 mai, le chantier aura pris quatre mois de retard.
Un retard dont le montant est chiffré par la société Sita Sud à plus de 100 000 €. Sachant qu'il a fallu décommander les entreprises qui devaient intervenir sur le site, et qu'il sera peut-être compliqué de les avoir disponibles pour la reprise du chantier sera décidée.
Dernière remarque, ce coût ne tient pas compte de celui qui retombe sur la collectivité, si on part du principe que l'actuel traitement des ordures reste plus cher que celui qui sera en vigueur avec la mise en service du centre de tricompostage. Moins 30 % annonce le Smiritom.
Fred GAUTIER

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Vous avez sans doute suivi le reportage sur ce sujet dans le journal télévisé sur la 2 mardi soir
La phrase mémorable du maire de Salindre résume bien la situation:
Il confirme que sa commune est polluée , mais il donne la solution :
Il suffit de ne pas manger la terre .... Qu'il dit le monsieur.
Il répétera cette phrase au moins 2 fois dans ce reportage.
Car la pollution est uniquement dans la terre , on croit rêver.
Évidement le souci d'une partie de cette population est : trouver un job , leur rêve : dans le complexe chimique de Salindre le seul gros employeur industriel du coin.
C'est sur cet argumentaire que s'appuie le maire de Salindre
Des tonnes , que dis je, des mégatonnes , des montagnes de déchets domestiques et surtout industriels composent le sol de cette commune
Ajouter des ordures sur un tas d'ordures voila quelle est bonne la solution, un peu plus un peu moins hein?
Et bien ,c'est cette politique de traitement des déchets que la mairie d'Anduze a choisi
C'est pour cette raison qu 'Anduze a bloqué le choix fait par la 2c2a qui était je vous le rappelle moins cher ,mais vous savez Anduze et l'argent des autres...!
On connaît les limites du tricompostage et ce n'est pas la meilleure solution , surtout quand la station de traitement n'est pas construite (voir article du Midi Libre ci-dessus)
Actuellement les solutions modernes d'incinération semblent plus adaptées avec un plus en terme d'économie d'énergie.

le réboussieràordure
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