mardi 16 mars 2010

Extraits du Blog du Monde...

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Xavier Bertrand : rien n’est perdu, la stratégie de l’union au premier tour était la bonne, ces élections ne sont en rien un avertissement.

Alain Juppé : réflexion s’impose désormais sur le rythme des réformes, la méthode selon laquelle elles sont lancées et préparées, la concertation qui les accompagne, la façon dont elles peuvent être mieux comprises et acceptées

Christian Vanneste : À force de confier missions, rapports et responsabilités à la gauche, on est parvenu à faire comprendre aux électeurs qu’il était plus logique de donner directement le pouvoir à celle-ci. NDLR :ah elle est bonne celle là

Claude Gloasguen
: l’ouverture pratiquée”, qui “ne correspond pas à ce qu’attendaient nos électeurs en 2007″.

Lionnel Luca : le strabisme présidentiel de gauche avec l’ouverture.

Bernard Debré
:Une taxe carbone, pourquoi ? D’ailleurs elle est oubliée, voici des voix supplémentaires pour les écolos. Identité nationale : débat subi, débat stoppé. Voici des voix pour le Front national. Ouverture à tout va, qui se traduit dans l’idée des électeurs : gauche et droite interchangeables… Voici des voix pour l’abstentionnisme.

appel de Xavier Bertrand: J’appelle les électeurs du FN à ne pas faire que la gauche reste au pouvoir dans les régions”. Personne n’en parle encore mais c’est clair. Ce qu’il est entrain de dire c’est qu’il faut une union avec le FN
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L’élection des conseils communautaires dans la réforme des collectivités territoriales

http://democratielocale.wordpress.com/2010/03/04/3reforme2010/

Languedoc-Roussillon: Hollande prône le soutien à Georges Frêche au 2e tour







15/03/2010 19h38 - RÉGIONALES-PARTIS-PS-
LANGUEDOC-ROUSSILLON - Nouvelles de France - AFP


PARIS, 15 mars 2010 (AFP) - L'ex-premier secrétaire du PS François Hollande estime que le PS doit soutenir Georges Frêche (DVG) au second tour des élections régionales en Languedoc-Roussillon, puisque sa liste est "la seule face à la droite".


"La prime aux présidents de région sortants a joué partout, car les bilans étaient bons et le souci de la proximité conjugué à de fortes identités régionales a fait le reste", affirme le député de Corrèze dans une interview qu quotidien La Tribune à paraître mardi.


"Georges Frêche en a bénéficié. Aujourd'hui, puisque sa liste est la seule en face de celle de la droite, c'est elle qui doit avoir notre soutien", a ajouté M. Hollande.